Le commencement
— Prenez l’une des chambres. Dite moi laquelle pour placer votre nom sur la porte.
— Oui Maitresse répond Paulia, je prends celle-là.
— Et moi à côté.
Quentin inscrit leur nom et s’en va. Les filles sont mal à l’aise et essayent de cacher leurs corps. Mon mari les en empêchent.
— Vous avez eu quelle idée pour gagner de l’argent ?
— On était un temps serveuse, marchande et on avait appris qu’on pouvait être escort-girl pour de riches clients…Votre mari nous a aborder pour découvrir cette école qui nous forme dans les métiers du massage par exemple mais vous nous...répond Kelya
Mon mari la plaque au mur en la faisant taire tout en caressant son sexe. Sa cousine panique encore plus et cherche le moyen de sortir.
— Hum…
— Il y a une partie de formation, c’est vrai, on vous l’a dit mais on a besoin de putes. Il faut savoir que les femmes sont soumises aux hommes. Votre rôle ? Leur faire plaisir. Et n’ayez pas peur, on tient à vous et vous sortirez libre après un an. Et contrairement à mon ancienne école, vous aurez votre belle paye à la fin. Donc soyez gentille, sinon il y aura des conséquences. Des caméras vous surveillent, vous êtes aimez.
— Hum…
— Il ne faut pas perdre de temps chérie, elles doivent commencer la première leçon.
— Oui, on y va. Relâche là.
Elle reprend sa respiration, un peu en larme. Mon mari caresse ses seins et elle veut le repousser.
— Laisse toi faire.
— Oui Maître
— Vous serez bien ici, on vous le répètes. Vous serez à l’aise avec votre corps. Je vous le promet, faite moi confiance, regardez ça.
Je me met en sous-vêtement et elles sont surprises de mes cicatrices.
— J’ai subis des coups pour non-soumission et j’ai failli mourir. Je suis aujourd’hui heureuse de vivre avec lui. J’ai une petite fille de quatre ans et j’aime faire plaisir. C’est dans mon sang. S’il est heureux, je le suis.
Je me rhabille après qu’elles acquiescent et elles me suivent dans la salle numéro Un.
— Asseyez-vous, on va vous expliquez.
Des chaises et une étagère remplie de divers tailles de pénis. Une fois installée, je continue.
— Bien, ici c’est la salle de la fellation. Vous devrez continuer jusqu’à qu’on dise de vous arrêter. Mon mari sera votre professeur pour toute les leçons concernant le sexe. Les autres cours seront faites par moi. Compris ? Des questions ?
— Non Maîtresse répond Paulia.
— Chéri, à toi.
Il se lèche les babines et je suis persuadé qu’il se mentait. Finalement, il adore dominer. La violence est dans son sang. Je me recule pour l’observer prendre deux pénis.
— Prenez.
— Merci Monsieur
— Maître, jeune jument.
— Pardon Maitre.
— Merci, commencer à sucer, je vous direz si vous faites mal mes petites coquines. En entendant, vous vous laissez faire compris ?
— Oui Maître.
— Merci ma poupée.
— Je vais chercher Vince ?
— Oui ma chérie dans deux minutes.
— Oui, je profite un peu du spectacle.
Pendant qu’elles se soumettent, il se penche sur la plus jeune et j’en suis jalouse. Il écarte ses cuisses le plus loin possible et la doigte doucement. Je reviens avec l’un de nos vingt-hommes qui restent ici. Vince est du pays et s’y connait en pute. Il imite Marx mais plus brutal.
— Je monte au bureau, je vais appeler Maya pour le massage de cette après-midi.
— Pas de soucis ma belle.
— Et après, elles se laissent faire par Vince.
— Avec plaisir Violette. Surtout la plus jeune, ma queue bande. Passe-moi ta putain Marx, je veux qu’elle suce une vraie.
— Tiens.
Ils inversent les rôles et Vince met à genoux Kelya. Il continue sa brutalité quitte à la frapper un peu. Je remonte souriante.
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