Une décision à prendre

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Six mois ont passés et deux autres filles nous ont rejointes. Les cours se déroulent bien et aucune rebellions n’est à signaler. On a décidé par leurs désirs de permettre une totale liberté. Elles peuvent dormir ailleurs et parler autour d’elle. Comme c’est un quartier chaud, on n’aura aucun problème.

Le seul qu’on commence à avoir c’est la gestion du flux d’argent en concurrence avec une autre bande déjà bien installer. Les garçons essayent de négocier un pan du quartier voir de travailler avec eux. Pour le moment, aucune violence ne nous concernent.

Ma mère apprécie la douceur de vivre et ma fille s’est faite des amies. Et pour la première fois, moi aussi. Je m’entend bien avec les parents surtout les mères et on part quelques fois en week-end à la plage ou au restaurant. Le magasin aussi tourne bien surtout les jouets.

Hors je sens mon mari en manque de violence. Il est pourtant heureux de se vider sur de pauvres jeunes chattes…mais il m’a dit que ne plus torturer est difficile pour lui. Il se met à la boxe après avoir pris de la coke et me baise aussi souvent que possible.

Il me frappe avant de s’excuser et me supplie de le pratiquer sur nos filles. Mais je me suis trompé sur ma propre envie d’aventure. Le luxe, le pouvoir, le hors-la loi oui avec le moins possible de violence extrême.

Si j’ai aimé le premier jour, des remontés acides sont revenus… Des cauchemars me réveillent et le quotidien avec Marx devient à nouveau un enfer… Ma mère dors dans un studio au fond de la villa cependant les moments de violences se manifestent dans la cave.

Depuis deux mois, il me viole, me frappe, me menace de mort avant de pleurer. Et deux fois par semaine. La nuit, au lit c’est à mon tour de désespérer et je l’entend revenir plus calme. La journée on fait semblant et cela commence à me peser.

Il continue à vouloir que je cède à ses caprices de jouer avec nos femmes. Un jour, je vais craquer et ce jour arrive enfin. Hors, je tente une négociation. On se retrouve dans notre rituel malsain. Il est là à sniffer sa poudre sur la table en bois. Ce soir, ma mère dors avec ma fille qui est invité par une amie. Le lendemain c’est l’anniversaire de la petite et une sortie est prévu dans un parc d’attraction.

Mon mari a toujours son regard de fou et il prend le fouet pour jouer avec. Je m’avance sans peur pour lui parler enfin franchement.

— Non !

— Comment ça non ?!

— Non mon cœur ! Il faut que ça cesse, il faut qu’on en finisse avec ça ! Laisse-moi t’expliquer.

— Il n’y a rien à expliquer ! Tu es ma femme ! Tu as accepté librement ta soumission ! Et comme tu me refuses de vider ma dose sur nos parfaites putains, je t’ai toi ! Ma femme ! Tu sais bien que c’est un rôle ! Que plus jamais je n’irais aussi loin que de te frapper ! Tu es là pour m’aider ! Je t’aime crois moi ! Mais c’est le seul moyen pour moi pour gérer mon trop plein ! Je le sais que j’ai toujours aimé ça ! Et…

Je me suis vite approchée pour lui retirer l’objet et l’embrasser longuement de manière sensuelle. Il y a un moment qu’on ne l’a pas fait. Il reste bloquer à mon plus grand plaisir.

— Je sais que tu m’aimes. Cependant, je suis fatiguée d’être frappée, longtemps que je refuse de me baigner par tes coups. Tu as besoin de gérer cette frustration qui ne vient plus d’une quelconque vengeance. Je ne sais pas d’où elle vient et la boxe te permet de te calmer. Tu sais, ce qui nous différencie c’est la pure violence. Je voulais voir ce que ça donne de l’être pour moi, le premier jour et cela me dégoûte surtout quand ça me renvoie à moi. Tu aurais pu m’expliquer ton amour pour moi alors que je l’avais au fond de moi sans me l’avouer.

Je lui caresse le torse et l’embrasse encore jusqu’au cou. Il m’imite un peu avec lenteur.

— Le sexe oui, la torture non. Cependant, si tu y tiens à jouer les meurtriers, il existe une solution.

— Laquelle ?

— Pourquoi des femmes et pas aussi des hommes ?

— Ma queue dans leur chatte.

— Et des animaux ?

— Non, je veux des femmes. Pas tuer, juste torturer…

— Vince connaît un type qui peut te fournir des moins de trente ans, qui ont étaient punis pour adultères ou vols par exemple.

— Un type ?

— Dans le quartier et ceux comme d’habitude à éviter, Niros fait la police. Il prête ses services pour récupérer principalement les coupables et les punir plusieurs jours. Elles sont violées, battus et viennent aussi d’Afrique. Un beau trafic cachés dans une prison sous terre. Parfois elles meurent. J’ai donc penser à toi. J’aimerais pourtant que tu stoppe tout ça…pour moi, pour ma mère, pour ta fille. Hors, tu serais malheureux. Le calme n’est pas ton fort. Donc, je te suggère d’y aller pour un temps. Et surtout de penser à ta famille, aux efforts que tu as fournis au retour de ta prison. Ainsi que la promesse faite au juge en France quand tu y retourne pour donner des nouvelles. Je t’aime, je vais prendre un bain.

*****

Elle me laisse là et je prend du temps pour les informations montent au cerveau. Tout ce que je détester est donc revenu. Pourquoi ? En attendant, faut que je me vide. Je me masturbe en pensant à ma femme. Le lendemain, je prends contact avec Vince après avoir accepté l’idée et je me retrouve directement avec ma proie. On m’a expliqué la mission, bien payé et je m’introduit dans la salle des tortures. Vingt-deux, adultère pour la première fois, premier jour de peine. Elle est là jusqu’à qu’on choisisse de la libérer.

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