Une retraite bien méritée

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— Niros ?

— Oui ?

— Je désire une dernière mission. Après je pars en retraite.

On fume dans la cour pas loin de l’incinérateur. Il reste toujours peu causant et je n’ai jamais appris grand-chose de sa vie.

— Tu vas me manquer mec. Mais c’est noté. J’imagine que tu veux quelque chose de particulier ?

— Entre dix-huit et vingt-deux, elles m’excitent plus. Peut m’importe ce qu’elle a faite. Et une bonne paye.

— La durée ?

— Une journée comme la première.

— Ton prix ?

— Combien tu es prêt à me donner ?

— Tu as eu quelques primes mais pour tes bons services, je t’accorde jusqu’à mille euro.

— Vendu.

— Tu l’as désiré quand ?

— Ce soir.

— Tu t’en vas pourquoi exactement ? Ta queue devient hors service ? Tu n’aimes plus t’amuser ?

— Un peu de ça mais aussi me poser avec ma famille et voilà six mois, que j’ai promis à ma fille d’arrêter.

— Je comprends. Je vais te chercher ce qui te faut, ce soir vingt-deux heure dans mon bureau.

Il s’en va et je quitte moi aussi le lieu pour aller bosser. Puis, je le retrouve à l’heure.

— Suis-moi, je te paye après.

La jeune fille est attachée à un poteau et à un bandeau ainsi que du sotch.

— Origine ? Son âge ?

— Une blanche, dix-neuf ans. Je te dis quand même son crime. Elle a empoissonner ses cinq derniers amants. Elle est venue ici pour avoir de l’argent facile.

— Hum !!

— Une perle rare, on l’a trouvé dans une maison close et on me l’a fourni pour la punir.

— Comment on a su ses crimes ?

— Des proches de son dernier conjoint l’ont étranglé pour qu’elle avoue. Elle a balancer tout ses premiers. Amuse-toi.

Il s’en va et je libère ma proie. Je touche son visage et y décèle aucun regret. Je désire d’être cash.

— Tu vas mourir.

— Tue moi sur le champs sale pédé ! J’en ai rien à foutre !

— Dans la demi-heure ça sera fait. Toutes celles passés sous mes mains ont eu de regrets, pas toi. Pourquoi ?

— Les hommes sont tous où des chiens ou des faibles !

— Alors soit heureuse de me connaître ! Je serais le diable.

— Lâche-toi ! J’en ai rien à foutre !

— Tu me rappels mon jeune frère. Du moins à sa mort. Insolent jusqu’à l’os. Et je déteste ça !

Je la frappe, la tire pour continuer surtout au visage. Une fois à terre, je la met nue, la retourne et sort ma ceinture pour la frapper une vingtaine de fois. Je la sodomise et sors ma lame de ma poche pour retrouver la première sensation quand j’ai attaché Violette.

La jeune fille résiste à la douleur et plus je m’enfonce dans son ventre pour tirer, plus elle commence enfin à supplier.

— Amuse toi sale chien !! J’en ai rien à foutre ! Vous êtes tous les mêmes !!

— Tu es sûr ?

— Achève moi !! Je sais que tu en meurt d’envie sale rat !!

— Tu es ma dernière victime pour ma famille. Et je comptais finalement te laisser en vie et prendre la moitié de ma paye. Mais comme tu le désires, les ordres sont les ordres !

Je me retire en lui laissant la lame et me rhabille. Je vais chercher le plus grand couteau et l’allonge. Elle me regard encore impertinente et essaye de rire.

— Lâche toi ! Je te le demande ! Pour une fois qu’une putain accepte !

Je sectionne ses quatre membres et l’égorge d’un coup sec. Je continue ma découpe jusqu’à l’arrivé de Niros.

— C’était rapide.

— Elle me l’a demandé.

— Ah bon ?

— Ma paye, j’ai vais me doucher.

— Merci mec pour tout tes services. Bon repos, l’enveloppe est sur la table.

La douche me fait du bien et je brûle mes affaires en sang. Je suis enfin en retraite depuis ce soir-là. Mon entreprise est gérée par un autre employer mais ma femme gère les comptes.

Je commence parfois à m’ennuyer mais le retour au calme fait du bien. Ma fille passe plus de temps avec moi surtout pendant les vacances. Et aujourd’hui, je dois passer du temps aux shoppings.

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