Prise au dépourvu

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— John ?

— Oui chef ?

— C’est qui la jolie blonde qui dandine son petit cul sur le pole dance ?

— Aucune idée chef. Elle vous plaît ?

— Tu ne peux pas te l’imaginer. J’ai connu des nanas de toutes types et âges. Mais une petite qui doit avoir moins de vingt ans, qui se déhanche, ma queue la désir.

— Il me semble qu’elle vous regarde chef.

Je le remarque bien ainsi que son clin d’œil de salope. Elle ne sais pas qui je suis et pourtant elle me trouve séduisant. Depuis plus de vingt ans, je viens voir mes employés. Et j’ai appris que depuis un mois, il y a une nouvelle. J’aurais penser que mon fidèle lieutenant saurai son petit nom. Ayant eu un voyage à faire à Madagascar pour remercier mes hommes du dernier assassinat tant mérité, je n’ai pas eu l’occasion de mettre les pieds.

— Si Castain passe pour faire son rapport, dit lui que je suis occupé à échanger avec la petite.

— Pas de problème chef. Au fait ?

— Quoi ?

— On dirait pas la fille de Marx ? Le dernier… on avait eu des photos il y a quelques années.

— Peut-être bien.

— Mais…

— Mais quoi ?

— Vous avez signé un papier avouant que c’était vous. Peut être qu’elle a chercher des informations pour vous retrouver et vous tuer.

— Et même si c’était vrai, j’en ai rien à foutre. Elle pourra tenter quoi que ce soit, j’enverrai un petit doigt de là où elle vient. Ou bien, un bon coup de pression, lui fera aussi du bien. Ou apprendre à mieux la connaître. Je verrais bien. Pour le moment, je vais m’amuser, et c’est vrai que c’est plus existant de baiser la fille de ce bon à rien de qui lui server de père. Dire que le gars n’est même pas capable d’être un vrai dominant sans chialer comme un bébé.

On rit franchement avant que je me lève. J’écarte les badauds et me lèche mes lèvres en continuant de mater la petite en petite tenue.

— Suis moi.

— Oui Monsieur.

Elle m’accompagne à l’étage un peu anxieuse où je réserve toujours une chambre pour la baise. À peine fermer, que je la jette de dos en position de sodomie. Je lui descend sa culotte pour la fessée.

— Attendez ! Laissez moi vous parlez !

— Ferme là ma salope ! Tu as voulu attirer le loup ma mignonne. Alors laisse toi faire et après promis, quand j’aurai bien saigner et marquer ton petit cul, on parlera. Et si tu ose bouger, tu seras sévèrement punis !

****

Un mois où par les leçons de Quentin, je réussis à danse. Je suis rentré rapidement au club. Puis j’ai enfin repérer le monstre. Comme Quentin, je ne sais pas grand-chose de lui.

La seule manière d’en savoir plus, c’est le contact tranquille après une bonne relation sexuelle pour le mettre bien.

C’était si facile de l’attirer, pour mon bonheur mais aussi ma peur. Et je suis au piège. Moi qui pensait parler posément en disant tout ce que je savait ou mieux, faire semblant de tomber amoureuse.. Ce n’est pas le cas.

Il continue de frapper fort jusqu’à que je ressente une rougeur. Il retire aussi mon haut pour malaxer mes seins avec beaucoup de violence.

J’ai beau hurler, tenter de dire non, il continue. Alors je le repousse de dos, ce qui lui plaît pas. Il me retourne pour frapper mon visage deux fois avant d’éloigner mes poignets derrière la tête, tout retenir d’un main ferme pour de l’autre me doigter.

— Je t’avais expressément expliqué les consignes. Tu as désobéis et on ne dois jamais ne pas se soumettre à moi !

— Je suis désolé… je pensais pas comme ça.. S’il vous plaît ! Libérer moi !

— On t’a pas expliqué qui je suis ! Je suis K, le grand patron de beaucoup de villes et d’endroit du monde ! Aimer, adulé ! On me dois le respect ! Et quand une pute désire jouer avec ma queue, c’est moi qui joue avec sa chatte ! Les femmes sont soumises à moi ! Compris ?

— Oui !!

— Merci ma belle !

Il fait tomber ensuite pour me sodomiser. À la fin, elle tire ma tête en arrière pour me dire :

— Je sais pourquoi tu es là, je sais qui tu es et jamais tu pourras m’atteindre. Ton salaud de père devait mourir car il était trop faible, trop vieux pour être comme nous. De vrais dominants. Je te conseille donc trois solutions, ou tu t’en vas définitivement, ou tu continues d’être une pute ici ou bien, et je pense que c’est la meilleure pour te surveiller, c’est d’être ma pute. Tu prends quoi ma petite chérie ?

— La dernière option…

— Parfait. Je vais te donner mon numéro personnel pour venir me sucer. Tu seras payer si je le veux.

— Merci Monsieur.

— Je t’en pris.

Il se retire et s’allume une cigare tout en notant le numéro sur un papier. Il le place dans une enveloppe avec des billets et d’un regard, je me rhabille, prend ce qu’il me tend et m’en vais.

Je rentre prendre une bonne douche et me demande si je devrais vraiment continuer à le voir. Quentin me rassure comme il peut et veut aussi tout stopper tout en admettant que pour le tuer, je dois être proche de lui.

Deux jours passes et j’écris à K. Il me répond sur le champs et je dois le retrouver seule chez lui. Je repère un arrêt de bus et vers vingt heure, je sonne au portail menant à un luxueux château.

Je repère des caméras et tente de retenir le maximum de choses pour que Quentin s’infiltre pour le tuer. Comme prévu, je n’ai aucune arme et je suis nue sous ma robe.

— Entre ma chérie. Entre. Sens le privilège d’être baiser dans chaque pièce de ce lieu ayant appartenu à… enfin je m’en fiche. Je l’ai acheter c’est tout. J’ai préparer l’apéritif, sent toi comme à la maison, à part des caméras, aucun garde.

— Merci Monsieur.

— Appel moi Lazare. Et ton petit nom ?

— Eléonore.

— Enchanté.

— J’ai une question. Enfin deux.

— Je t’écoute.

— D’abord, pourquoi votre surnom est juste K ? Et enfin, que me vaux se privilège ?

— Déjà, K, en vérité c’est ton oncle qui m’a donner sans réfléchir ce pseudonyme. Et puis, rassure toi. J’ai réfléchie depuis notre rencontre. Si tu restes une pute pour mon plaisir, je ressens par rapport à mes habitudes, l’envie de te connaître. Tu apprendra à mieux me connaître aussi et comprendre, je l’espère que ton père et moi, nous sommes pas si différents. Bien, va t’asseoir au salon, j’arrive.

Je m’assois avec moins de peur. Si tout les mâles arrivent à changer… pourquoi le tuer ? Il a certes ordonner… mais j’ai senti que son invitation n’est pas un piège pour me manipuler. Quentin et mon père m’ont appris comment le reconnaître à l’occasion.

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