Le temps à filer mais on a aussi profiter. Deux après notre rencontre, je suis enceinte et on décide d’habiter chez ma mère pour que cette dernière s’occupe de moi.
On a pu garnir notre blog et mon petit frère est toujours heureux de connaître les animaux à travers les photos mais aussi en vrai quand on peut.
De retour à la maison, on a eu la surprise de voir rentrer Quentin. Il nous a expliquer qu’il à décider de faire réviser son jugement. Par son avocat, il a plaider la perte de mémoire suite à l’alcool.
Je suis heureuse de le revoir comme ma mère. Et j’ai l’impression qu’elle est de nouveau amoureuse de lui. Une nuit, alors que Nathan était parti photographier la lune, je les ai entendu faire l’amour dans sa chambre.
Mais, le revoir me fait aussi de l’effet. Il est toujours bel homme et une passion m’anime. Pourtant j’essaye de résister comme lui. Je ressens en effet qu’il m’aime encore.
Un autre soir, un mois après son retour , alors que je suis enceinte de deux mois, Nathan est parti une nouvelle fois mais cette fois pour un mois chez ses parents en Belgique, je suis seule.
Ma mère passe la soirée chez une amie proche qui a une fille de l’âge de mon frère. Quentin reste donc dans les parages et la situation est tendu.
On regarde un film sur le canapé et il se rapproche, jusqu’à que je sente sa main sur ma cuisse. Il la caresse et je le repousse.
— Je vais me marier Quentin. Le temps à passer….
— Juste une fois ma belle.
— Quentin.. Tu joue à quoi ?
— Le sexe m’a manquer. Je vous aime pareil toute les deux. S’il te plais, fait moi plaisir.
— Quentin…
Il éteint la télé pour éloigner ma cuisse et reprendre ses caresses avec insistance. Dire non est difficile tellement j’en ai aussi envie.
— Quentin…
— Tu en as envie, ne me ment pas… profite juste de ce moment de retrouvaille avant que je crève.
— Oui j’ai envie mais promets moi que c’est la seule fois.
— Bien sûr ma belle.
Il m’embrasse avec passion et je ne perd pas de temps. On s’agrippe sauvagement et ça me manquait. Nathan est plus doux…
Quentin me fait jouir comme avant et à la fin, j’en redemande. Mais il faut se rhabiller avant le retour de ma famille.
Sauf que, plus les jours passent, les mois passent et la peine, en plus à l’annonce de ma fausse couche, puis à l’éloignement encore plus long de Nathan qui doit être auprès de son père malade, mon jeu de la souris avec ma mère…me rend instable.
Durant un an de plus, Quentin couche avec l’une ou l’autre. Et le pire arrive quand Nathan découvre le secret.
Jaloux, blessé, il décide de s’en aller définitivement. Cependant ma mère est aussi au courant car Nathan lui a dit. Et devant lui, elle joue la surprise. Et après son départ, elle sourit. Elle sait très bien que Quentin nous aimes. Il ne peut choisir et elle se refuse de ne pas me le laisser.
Elle change même de comportement comme lui. Et cherche un moyen de me faire garder. Je pensais que j’étais libre … un matin, je dois les rejoindre dans la cave aménagée en salle de porno.
— Non ! Je refuse !
Je recule mais il ferme à clef et ma mère en garde la porte. Elle a le flingue de mon père à la main… la prison a rendu taré Quentin ! Il a aussi manipuler, ce n’est pas possible !
— Maman ! C’est d’un glauque ! Tu ne peux me faire ça ! Elle est où ta volonté de liberté ! Il t’a manipuler ! Et toi, Quentin ! La prison t’a rendu encore plus fou ! Je préfère mourir que plutôt jouer du porno ! Qu’en penserais papa, hein !?
— Ton père aurait adoré !
— Maman !
— J’ai longtemps réfléchit quand tu es partie. J’ai toujours aimé coucher et cette violence, cette colère, j’aurais aimé ressentir comme toi la vengeance d’avoir tuer K pour ton père !
— C’est pas vrai ! Tu… tu… tu ne peux, ne pouvait pas accepter ça ! Il t’a fais souffrir ! Et pourquoi ? Juste pour satisfaire ses pulsions !
— Oui… au début.. Puis j’ai compris, grandis avec lui. C’est moi qui est trouver ses missions. Qu’il est convaincu de continuer.
— Maman ! Tu… tu me fais peur…
— Je t’aime ma puce. On t’aime tous ici. On veut juste passer du bon temps, gagner de l’argent. Même veuf, je suis rester soumise. Une femme reste soumis aux hommes. Ils nous aiment pour ça.
— Maman…
Elle s’approche de moi pour sécher mes larmes.
— Ne pleure pas ma chérie. C’est comme ça.
— Maman… faite le tout les deux mais je veux pas. C’est mon droit !
— Frappe !
— Maman !
Quentin me donne un coup de poing violemment et je tombe en larme. Fait que ce soit un rêve !
— Maman ! Tu… si tu m’aimes… tu ne peux pas me faire de mal !
— Tu es vingt deux ans, tu es si belle et je te garantis rien. Ici, dans cette salle, tu n’es plus ma fille, Quentin n’est plus non plus un proche. On est dans notre entreprise. L’argent, le profit. Compris ?
— Oui maman….
— Je t’aime ma chérie. Comme pour ton frère, je vous aime. Et ici, tant que Quentin sera là, tu vas apprendre ton rôle. On va te trouver un mari digne de ce nom. Tu ne sortira pas tant qu’on a pas finit avec toi. Tu reste à la maison sous bonne garde. Suis-je clair ?
— Oui maman…
— Sinon… de grave punitions. Oublie donc que je suis ta mère. Si tu m’aimes, que tu veux nous aider, alors obéit !
— Oui maman…
— Je suis heureuse que ce Nathan soit parti. Trop faible, trop rêveur. Une vie fade. Et puis son sperme n’a pas permis de faire tenir ton gosse ! Bien, assez discuter, profitons que ton frère soit à la crèche pour notre première leçon. Nue !
— Maman…
— Dépêche ou Quentin le fait.
— Oui maman…
Je me soumet par peur. Une fois nue, on m’attache contre le mur pour me fouetter une dizaine de fois.
— C’est de la torture ça ! Pas du sexe !!
— Fouette plus fort, elle n’a pas compris !
— Maman !!
Pendant qu’il recommence une deuxième fois, ma mère m’explique :
— Un petit plaisir pour un homme heureux. Une femme se soumet à tous ! Sans rébellion.
— Maman !!
— Tu as mal ?
— Oui !!
— Parfait. Ton dos est bien rouge. Bienvenu en enfer pour les femmes, un plaisir pour les hommes. Occupe toi d’elle librement. Je vais continuer de filmer.
— Avec plaisir.
— Quentin… va doucement s’il te plaît.
Il écarte mes cuisses, le plus loin possible après avoir libérer mes jambes. Il masse mes seins en même temps que me doigter. Plus il va fort, plus je ne retrouve plus la sensation qu’on avait ensemble.
— Quentin !! Plus doux s’il te plaît…
— Chut ma fille, oublie qui je suis.
— Quentin !!
— Tu es une petite pute, je préfère les chattes fraîche. Laisse toi faire. Je t’éduque pour ton futur rôle ma coquine.
— Tu n’étais pas comme ça…
— Au fond si. Et je veux retrouver ces sensations avec ma queue avant de mourir. Tu l’a sens ? Je vais rentrer de toute manière !
Il tâte mon anus, insère un doigt tout en me masturbant. Je gémis jusqu’à qu’il me sodomise violemment et en fermant mes yeux, je repense à K. Puis, je me dis, que je les aimes et que je dois subir par amour.
Une fois terminé, le calvaire continue un peu. Il me libère pour me faire asseoir dans un autre coin. Les membres écartés, il me frappe avec un martinet pour sexe. Il s’arrête enfin, mais de courte durée car il me bande les yeux, me faire taire et reprend plus fort. Ma mère rit un peu.
— Hum !!!
— Stop ! Elle a bien souffert là.
— Oui, je suis d’accord. On l’a libère ?
— Non…
— Hum !!!
— Monte, je te rejoins.
Je l’entend se rapprocher, elle caresse mes seins et mon sexe. Qui est vraiment ma mère ? Elle ne peut passer du traumatisme à ça ?!
— J’ai oublié de te dire ma puce, que ma jalousie à grandit. Quentin m’a dit qu’il te voulais aussi, il m’a convaincu qu’on peut gagner de l’argent avec ta jeunesse.
— Hum !!!
— Je t’aime, ça c’est vrai. Pour le moment, on s’amuse. C’est qu’un jeu. Subis ma jalousie, apprécie son amour, et apprend ton rôle.
— Hum….
— Je reviens dans une heure pour te faire manger. Tu vas rester ici jusqu’à ce soir quand ton petit frère sera là. Je t’aime.
Elle embrasse mon front en sueur et je pleure. Ils sont tous vraiment fou dans cette famille ! Suis-je la seule, vraiment censé ? J’espère que Thad ne sera pas un homme violent. J’ai la fureur de vaincre la malédiction, je m’en sortirais !