Obstination
Le temps passe, je souffre et mon amour se transforme en haine quand elle me permet de la voir. Elle a son regard plein de tendresse et me rassure en me faisant manger.
— Maman…
— Tu me déteste, je le sais. Mais c’est pour ton bien.
— Je refuse de me soumettre aux hommes ! Je ne marierais jamais ! Je suis libre de ma vie, de mes décisions, de mon corps ! Et libère-moi ! S’il te plais ! J’ai extrêmement mal !
— Je vais te faire changer de position. Cependant, je ne changerais pas d’avis. Tu vis encore chez moi, dans notre quartier avec nos règles.
— Pourquoi tu n’acceptes pas que j’ai puisse libre ?
Elle ne répond pas pour libérer mes chevilles ainsi que mes poignets. Elle me tend une bouteille d’eau et je m’hydrate avec plaisir. Je suis forte de soif.
— Debout !
Une fois debout, elle pose le plateau sur l’escalier derrière la porte avant de revenir vers moi.
— La liberté engendrera ta perte. Vers mes dix-sept ans, quand ton père m’a eu, j’étais comme moi, curieuse, sérieuse, parfois battu par mon père…je ne comprenais pas pourquoi il me disais que c’était par amour. Ton père faisait de même et puis je t’ai déjà tout expliquer. Ma liberté me perdais, il me fallait un cadre.
— C’est ta vision des choses ! Pas la mienne !
Elle me force à la regarder et Quentin arrive à ce moment là pour récupérer le plateau.
— J’en suis désolé ma puce, je suis ta mère et tu dois vivre avec mes enseignements. Et comme je ne veux pas te perdre, comme je désires te voir en vie et heureuse, je te conseille vivement de m’écouter. Rappel toi, qu’ici, c’est un jeu. En haut, on est une famille unis
— Tu es vraiment jalouse de moi ? Je n’ai rien fais que d’avoir craqué pour Quentin ! J’étais prête à te le laisser !
— Disons que ça dépend des jours. Ça finira par me passer.
— Maman…je peux monter ?
— Non. Viens !
Elle me dire le bras pour me faire assoir sur un matelas. Elle me menace avec l’arme en attendant Quentin. Je n’arrive toujours à la cerner. Je pense qu’elle est sincère, je me dois d’essayer chaque jour de la convaincre qu’elle me perdra pas, que son propre bonheur doit passer avant tout.
— Attache le boulet. Ne bouge pas ma puce
— Maman ! Il faut que tu m’écoutes ! C’est lui qui t’a….
Quentin me gifle violemment quand j’essaye de bouger. Plus je m’agite, plus il me frappe pour ensuite me tirer et réussir enfin à serrer mes chevilles au boulet accroché au mur. Je pleure et il me relève pour mieux m’installer dos contre le mur. Il me caresse le vagin, m’embrasse et ma mère lui donne des menottes pour mes poignets. Il me susurre :
— On t’aime ma puce. J’ai toujours voulu ça, j’ai testé longtemps une vie rangé mais c’est triste. Même à ta mère, ça lui a manquait, surtout à la mort de ton père.
— Quentin…il faut que…vous avez eu la…
— Chut, pleurer ne sert à rien. On ne changera pas d’avis avant que je crève. Je suis entrain de chercher ton mari. Un comme ton père, comme moi. Tu m’aimes non ?
— J’aimais ta douceur, ton côté paternel, ton humour, notre amour sauvage...on t’a manipulé en prison ! Et tu as fais de même pour maman !
— Ne pleure pas ma puce, il n’y est pour rien. On est comme ça.
— Maman…tu ne peux pas me voir comme ça ! Ta propre fille ! Tu es quelqu’un sans cœur pour me faire subir ça ! Me menacer en plus !
— Au contraire, je t’aime vraiment ma puce. Il faut juste apprendre les règles de soumissions. Ton futur mari peut te faire subir ça et il faut en passer par là. Ça ne dure jamais longtemps. Une journée en général.
Elle range l’arme et Quentin continue ses attouchements comme un chien. Ma mère revient avec un sex-toy.
— Insère lui ça.
— Avec plaisir.
Il libère une cheville, éloigne l’autre et me le rentre au niveau maximal. Je gémis n’ayant jamais utilisé ça. Je pleure aussi dans l’indifférence. Ma mère à ramener la caméra et la fait tourner. Puis elle prend un parpaing et une corde. Elle enserre l’autre cheville au parpaing.
— Laisse lui profond. Ramène-moi un gode.
— Maman ! Je peux être libre ! Si tu veux, je peux…
— Laisse toi faire. Une femme n’a jamais son mot à dire ! Promis, c’est temporaire. Et ramène-moi de quoi la faire taire. Merci, met le lui gode, je m’occupe de sa bouche et de ses yeux.
Quentin me soulève un peu pour insérer le gode dans l’anus. Je gémis de douleur mais rapidement, ma bouche est fermée par un lien en tissus. Mes yeux à nouveau bander.
— On va s’amuser avec les intensités et le plaisir. Après, promis, tu pourras revenir en haut. Ça ira pour aujourd’hui, on recommencera un autre jour pour laisser le temps à la leçon de rentrer.
— Hum !!
— Quentin ? A toi de jouer. Masse ses seins, qu’elle sente le plaisir d’être aimé.
Le jeu semble durer une éternité puis je suis enfin libre de mes mouvements. Une semaine passe mais j’ai du mal à retrouver mon rythme. Je suis heureuse de jouer avec mon petit frère quand je n’ai pas le droit de sortir en dehors du jardin et de la piscine. Quentin continue de coucher de temps en temps avec moi et là aussi, mon désir s’est effacé. Je ne mange pas souvent et il me frappe pour que j’avale un morceau.
Il le fait aussi quand je commence à me scarifier sans que l’enfer ne s’estompe non plus. Bien au contraire, ma mère donne plus d’ordre à Quentin. Deux mois passent, et je dois à nouveau dormir dans la cave pendant une semaine sous peine d’autres coups. Aucune parole ne semble les faire changer…et mes rebellions m’épuisent.
Quentin, me trouve enfin mon mari. Un homme de l’âge de mon père, à la gueule encore plus fou que ce dernier et Quentin et même de K. Il me présente à lui, alors que je suis attachée sur mon matelas.
— Voici mon épouse ?
— Oui. Elle vous plaît ?
— Faut que je la teste avant.
— Quentin ! Si tu m’aimes, ne fais pas ça…je ne suis pas à vendre…
— On ne veut que ton bonheur.
— Mon bonheur est ailleurs…
— Je te demande pas de vous l’achetez. En tout cas, si elle me convient, elle me fera une belle descendance.
Quentin me libère et me demande :
— Soit mignonne, d’accord ? Si tu veux éviter une punition, tu sais ce que tu dois faire ?
— Oui Quentin…
— Parfait. Elle est à vous.
L’homme se met nu et commence sensuellement avant la surprise. Il me déplace pour me positionner en levrette.
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