La liberté

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Les clichés ont la peau dure et mon mariage est comme attendu douloureux, célébrer une semaine après. Je fais semblant d’être heureuse.

Cependant, je dois vivre avec Mat dans un appartement en face de la maison. Ma mère revient comme avant quand je n’ai toujours pas le choix de ma propre liberté. Quentin est aussi plus sage.

Mon mari me bat quand je refuse, m’enferme à clé quand il part dans la journée. Parfois, je suis à nouveau dans la cave de mes parents. Une fois, deux ans, ça fait deux jours que je suis attachée car j’ai refusé une nouvelle fois d’obéir.

J’entend vaguement ce qu’il se passe en haut. Des choses se brisent, des disputes. Mon petit frère ne peut vivre dans cet enfer ! Il me voit quelque fois. Soudain, j’entends la porte s’ouvrir et je vois avec horreur, le corps de Quentin tombé. Je ne peux parler et je m’agite, prend peur quand arrive Mat.

Il a me vise de son canon et je le supplie en larme. Je ne comprends pas mais il va m’expliquer.

— Tu me déçois pour quelqu’un censé être ma femme ! J’ai eu, une petite discussion avec Quentin sur ton éducation. Il m’a expliquer pourtant que tu es bien soumise. Il faut que je te fasse disparaître.

— Hum !!!

— Ensuite je ferais ta mère et ton frère. Eux aussi, ils doivent être rayer de la carte pour éviter tout témoignages. Adieu ma chérie.

— Jamais !

Ma mère arrive en courant et le touche sur l’épaule. Elle a le visage tuméfier, en rage et j’ai plaisir de la voir comme ça.

— Jamais tu n’iras plus loin ! Si j’ai autoriser cette union pour son bien, c’est une erreur. Je préfère te voir mort, qu’elle !

Sans un mot, il lui tire une balle dans le ventre. Il se lève pour lui retirer l’arme, la jeter vers moi et pointer la sienne sur sa gorge.

— Finalement ta chienne de mère ma chérie. C’est une traite. Elle t’a vendu, éduquer et ose remettre en question les règles.

— Hum !!

— J’ai encore la force de t’achever sale monstre !

Elle lui donne un coup de poing sur ses couilles. De douleur, il ne remarque pas qu’elle récupère l’arme et tire une balle dans son cœur. Elle se relève difficilement pour l’achever d’une autre dans la tête. Puis, elle fouille ses poches pour me libérer.

— Je suis désolé… j’ai… perdu… je…

— Maman… oublie maman. Oublie. Maman !

Elle tombe par terre, perd beaucoup de sang et j’essaye de trouver une solution en attendant les secours.

— Laisse moi…. Prend ton envol. Je suis une mauvaise mère… une mauvaise femme… je t’aime quand-même de tout mon amour. Prend ton frère. Prend soin de lui…

— Non ! On va appeler les secours !

— Écoute moi une dernière fois…

J’applique une pression en larme. Je murmure que je reviens et court à l’étage chercher de quoi bander. Mon frère pleure dans sa chambre et je n’ai pas le temps de le rassurer. Je repart en bas avec le nécessaire et le téléphone.

Je serre fort la plaie et en attend des secours, je remonte mettre une nuisette. Redescend déplacer les deux corps. Quand les secours arrivent, ma mère est déjà presque partie…

Personne ne pose des questions… sans doute l’habitude… je remonte me doucher et pleurer enfin après tant de mois contenus. Je joue avec mon petit frère qui a l’âge de comprendre. Il n’a rien vu enfermé dans sa chambre par peur. Mais entendu oui. Je lui ment une partie mais lui annonce que mon mari voulait discuter avec maman et Quentin. Ça a dégénérer dans la cave et maman m’a défendu.

On part à l’hôpital pour avoir le miracle de la savoir sauver. Elle sortira plusieurs jours après et décidera d’enterrer Quentin dans le même cimetière que papa. Pour Mat, elle l’incinérera et disposera les cendres dans la mer.

Pour vivre loin de tout ça, on déménage en Italie. On suivra des thérapies et mon frère découvre aussi la France par nos voyages.

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