Poésie en forme de papillon
A.C tu m’avais dit,
Assez, cela suffit !
Assez, où te crois-tu ?
A.C ne te veut plus !
Alors désespéré
Jacques a dit c’est râpé
Si A.C ne te veut plus
Et préfère un intrus
C’est que bien mieux que moi
Il sait mettre son doigt
Sur les lèvres d’A.C
L’empêchant d’dire assez.
Mais tu finiras bien
Un beau jour, un matin
Par t’rendre compte enfin.
Mon doigt est mieux qu’le sien
Car il est tout en or.
Lors méprisant la mort,
Nous irons tous les deux
Toi mon papillon Bleu
Ma belle séductrice
Moi, pauvre caprice
Sur le sable vermeil,
Nous ferons des Soleils,
Nous nous embrasserons
Et nous nous aimerons
Jusqu’au petit matin
Et toi mon assassin,
Ma perverse ingénue
Qui te promènes nue
Au bord de l'océan
Toi, fille de satan
Sach' que tu pleureras
Quand tu m’égorgeras,
Puis tu regretteras
Alors tu périras
par la main destructrice
D'la déesse Némésis.
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