EPILOGUE JONATHAN
Trois mois que je suis rentré de vacances à Biscarrosse. J’ai un vide dans ma vie, elle me manque. On a beau se parler tous les soir voir plus en visio, sa présence au quotidien me manque. Je ne pensais pas que l’éloignement serait aussi dur à vivre malgré avoir passé quelques week-end où je l’ai rejoint. Pendant cette période, je suis monté plusieurs fois passer des week-end avec elle. Mes retours étaient de plus en plus compliqués à vivre. Un soir ou j’étais invité pour le dîner chez ma sœur et mon beau-frère, je leur ai expliqué que j’allais rejoindre Serena. Je leur ai expliqué que j’avais démissionné, que j’avais un contact avec une entreprise qui se trouve à quelques kilomètres d’où elle habite. Puis lui explique que j’ai rendu mon appartement et que je partais dans quinze jours pour la rejoindre. Je senti Vanille heureuse pour moi, mais avec une pointe de tristesse du fait que je ne sois plus à côté d’elle et que l’on se verra beaucoup moins souvent. Je la rassurais en lui disant qu’il y avait le téléphone et que je viendrais souvent les voir.
Je m’hâtelle aux derniers préparatifs avant mon départ pour rejoindre ma dulcinée. Je ne lui ai rien dit, ce sera une surprise. Je lui avais parlé de ce projet de la rejoindre pour la retrouver et vivre le plein amour avec elle. Je n'espère pas me tromper dans mon choix. Pendant le voyage, je n’arrête pas de me demander si je ne me trompe pas et comment va-t-elle réagir en me voyant ?
Je suis devant sa porte le doigt arrêté à quelques centimètres de la sonnette, Je prends une grande inspiration et appuie sur le bouton. L’attente avant que la porte s’ouvre me semble une éternité. Quand le visage de Serena apparait dans l'embrasure de la porte. Un sourire se dessine sur son visage et son regard se fige quand elle aperçoit ma valise à mes pieds.
- Bonjour mon amour, dis-je timidement.
- Bonjour, répond-elle toujours avec un regard interrogatif.
- M’accepteras-tu dans ta vie ? enchainais-je en la regardant droit dans les yeux.
Je la vois ouvrir en grand le battant avec un cri strident de joie, se jetant dans mes bras puis enroule mon cou de ses bras se précipitant sur mes lèvres avec fougue pour m’embrasser. Une fois qu’elle se sépare de cette étreinte, elle reprend son souffle et elle me regarde et ajoute.
- OUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIII…… pour la vie.
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