Une visite surprenante

7 minutes de lecture

Deux semaines plus tard

Pdv de Alice

Les rayons du soleil arrivaient lentement dans ma chambre.

J’ouvris avec lenteur mes yeux, puis regarda mon réveil matin ; 7 h 30.

Je me levais pour aller, prépare le petit déjeune pour Cléo, ma sœur et dame rosalie, mais faillis tombe en m encoublant sur le panier dans lequel ma sœur dormait encore.

Margaux ouvrit un œil lors du choc, au moment où j’allais lui faire une remarque, elle me fit ses petits yeux doux de chatte, je poussais alors un petit soupire amusée en lui disant qu’elle pouvait si elle voulait venir dans ma chambre, mais que je préfère qu’elle vienne dans mon lit plutôt que de ramenés son panier dans ma chambre.

Elle me demanda sur un ton faussement innocent, si j’allais la punir pour ça, je compris alors ce qu’elle voulait et me rappelais qu’elle m’avait déjà fait le coup depuis que nous étions maitresse et soumise.

Je me dirige donc vers mon armoire pour récupère la boite dans la quel se trouve le collier en fer de Margaux, en me voyant revenir avec notre lien, Margaux ne peut retenir un petit sourire.

Je sortis donc son collier l’ouvrit puis lui ordonna de se mettre à genoux pour que je puisse pose ma marque.

Une fois le bijou à son cou, Orphéa joua avec la boucle très fière de son coup, lui ordonnais de mettre un vêtement un peu plus convenable que son pyjama pour venir m’aider à faire le petit déjeune.

Une fois qu’elle est revenue habillée d’une petite robe vert clair, nous descendîmes dans la cuisine puis commençâmes à faire des œufs au plat et des saucisses accompagnées d’un jus de fruits.

Lorsque nous eûmes fini de cuisiner, je fis sonne la clochette pour appelle notre maitresse et Cléo pour manger.

Une fois le petit déjeune fini, dame rosalie me demanda pour quelle raison Margaux portait en plus de son collier a clochette son autre collier, je lui chuchotais à l’oreille qu’Orphéa cherchait un peu à être puni donc je comptais le faire dans la journée ou la soirée.

À peine avais-je fini de parle que la sonnette de la porte d’entrée retentit.

Je me dirigeais donc vers l’entrée et ouvris la porte, je vis alors dame Hanna dans l’encadrement, la jeune femme portait des vêtements civils ; une jupe mi-longue rose, de bas noirs et un haut bleu clair.

La dominante me salua poliment puis demanda si dame Rosalie était là.

À ce moment-là, ma maitresse me rejoint, elle salua d’abord son amie puis lui demanda la raison de cette visite.

L’autre jeune femme répondit à sa question en disant qu’elle venait nous proposer de passer quelques jours chez sa demi-sœur.

Maîtresse Rosalie demanda ensuite si cela dérangeait que Cléo soit là avec nous.

Avec un petit sourire, dame Hanna dite que normalement cela devrait allez, mais qu’elle allait quand même appeler l’intéressée pour demander.

Une fois son appel terminer, elle nous confirma qu’il n’y avait aucun problème.

Ma maitresse et moi allions donc dire à Margaux et à Cléo de se prépare et de prend des habites de rechange pour notre séjour, à ce moment-là Cléo nous demanda un peu triste s’il devait se changer en constance, avec un sourire d’ange, dame Rosalie le rassura qu’il n’eût aucunement besoin de le faire.

À ses mots, quelques larmes coulèrent des yeux du jeune homme.

Une fois que nos affaires étaient prêtes et nous changer, nous partîmes en direction de la demeure à la demi-sœur de dame Hanna.

Après une heure et demie de route, nous arrivâmes devant une maison perdue dans la compagne avec un immense jardin.

Une fois parquer, Margaux et moi prenions les valises dans le coffre de la voiture et suivions ensuite Cléo, dame Hanna et maitresse Rosalie pour aller sonner à la porte.

Lorsque la porte s’ouvrît je faillis tombe à la renverse et ma sœur poussa un petit cri de surprise à cause de la tenue de la personne qui nous accueillit, cette dernière portait une combinaison en latex noir avec un masque en latex aussi, des ballets boot, à son cou se trouvait un collier de positionnement en métal, elle ne pouvait pas parlé à cause de son harnais de tête, ses poignets étaient reliés par une courte chaine à un harnais en métal et à une ceinture de chasteté, il y avait en plus des chaussures, une petite chaine qui les reliait et un cadenas qui empêchait d’enlevé les chaussures.

La personne nous fit poliment signe d’entrer puis ferma la porte, en passant à côté d’elle je reconnus le bruit d’un objet vibrant.

Elle nous propose avec des gestes ensuite de prendre nos sacs pour les monter vers nos chambres respectives.

D’une main un peu tremblante nous donnions nos sac et valise je lui proposais quand même que ma sœur l’aide, mais elle fit non de la tête avec un sourire sous masque et à travers son bâillon.

Au moment où la servante monta les bagages, la voix douce, mais ferme de dame Sanae nous invita d’une pièce, nous partîmes donc vers ce qui semblait être le salon.

Quand nous arrivâmes, dame Sanae, dans une longue robe bordeau a longue manche, était assise dans un fauteuil en cuir.

Elle nous propose un grand canapé avec un seul coussin à côté, nous prîmes donc chacun à notre place ; maitresse Rosalie, Cléo et moi sur le sofa, dame Hanna dans un fauteuil et Orphéa sur le coussin.

Lorsque nous fûmes installés, ce qui semblait être Elsa arriva dans la pièce puis alla se mettre juste à côté de sa maitresse.

Après quelque seconde de silence un peu gênant et de bruit de vibrations, dame Hanna dit que malheureusement sa petite Diana ne pourrait pas être là avant deux jours, car elle avait des choses à régler avec sa famille et qu’elle s’excusait de ne pas pouvoir être là.

D’une voix douce, notre hôte lui dit qu’il n’y avait pas de problème.

Sa demi-sœur lui demanda ensuite pourquoi Elsa était autant contrainte, dame Sanae répondit que sa vilaine petite esclave avait pour commencer oublier de faire ses devoirs journaliers (payer ses facturé, laver la maison avant l’arrive d’invités ou de client, ranger ses affaires) ensuite elle avait mangé des sucreries en dehors de son jour de triche et que finalement Elsa avait fait une nuit blanche pour fini un projet de bijou.

En entendants ça, ma sœur, Cléo et moi avalions avec peine notre salive.

Hanna, nous voyant faire, dit soudaine « sana tu n’abuses pas un peu trop, je te rappelle que nous avons avec nous un jeune homme très peu expérimenté et une soumise qui débute »

avec un petit rire amusé, dame Sanae s’excusa et nous dit qu’elle voulait voir notre tête quand Elsa allait ouvrir la porte, mais que malheureusement cela n’aurait pas eu de sens qu’elle vienne avec sa femme nous ouvrir la porte.

Dame Hanna là regard quelque minutes comme si elle lui en voulait, mais fini par rire puis lui dit que sa demi-sœur avait raté un moment magique.

Rosalie poussa un faux soupire d’agacement puis dit qu’elle comprenait de qui venait l’humour de son amie et le côté légèrement sadique.

Dame Sanae s’excusa à nouveau de sa supercherie, que normalement pour les fautes que sa moitié avait faites elle devait juste porte un collier de positionnement, des bracelets au poignet et écrire des lignes de textes.

Tout en éteignant l’œuf vibrant de sa femme qui poussa a traversé son bâillon, un râle de soulagement. La jeune femme, pour essaye de changer de sujets, dit qu’elle aimerait bien voir, si c’est possible bien sûr, une performance de shibari, car sa demie sœur lui avait fait beaucoup d’éloge sur mes capacités dans cet art.

Avec un petit sourire, dame Hanna nous regarda Orphéa et moi, puis dit d’une fois douce que sa demi-sœur connaissait le shibari, mais ne le pratiquait pas vraiment elle préfère regarder d’autres personnes pratiquer, et qu’en plus je devais remettre ma soumise à sa place.

Je regardais alors notre maitresse, elle détourna la tête et commença à observer les tableaux sur les murs, mais ne put cacher un petit sourire malicieux.

Après quelques minutes de silence, je me tournais en direction de Margaux, je vis qu’elle se tenait les mains qui montraient un peu de peur.

Je demandais conseil alors à notre maitresse, car il était vrai que je devais faire une remise à l’ordre de ma soumise, mais je ne savais pas vraiment si je serai à la hauteur, de plus Orphéa ne semblait pas vraiment à l’aise.

Avant que maitresse rosalie répondre, Margaux dit que cela ne la dérangeait pas, enfin pas trop s’il y avait d’autres personnes pendant sa punition.

Je me levais alors et alla m agenouillé à côté de ma sœur, je lui dis que cela pouvait attendre et que nous avions le temps de faire ça chez nous.

D’une voix légèrement tremblante, Margaux dit qu’elle se sentait prête et qu’elle avait confiance en moi pour gère si jamais s’il avait un problème. Avec un petit sourire je me tournais en direction de dame Sanae et lui dis que si elle avait de quoi pratiquer et un lieu pour le faire, nous serions heureuses de lui montre notre niveau.

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