Le second souffle

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Le second souffle

Un mois plus tard

Le matin se levait lentement dans l’horizon. Les doux rayons du soleil peinaient à traverser les nuages.

Pdv de Alice

J’ouvris un œil et regard le paysage à travers la vitre de la chambre de ma maitresse.

Je me levais après quelques minutes pendant les quel j’émergeais, puis rangea mon coussinet ma couverture dans l’armoire après avoir réveillé Margaux.

Je sortis ensuite de la pièce le plus silencieusement possible pour me dirigea vers le sous-sol, ou je courus pendant vingt minutes puis remonta à la cuisine.

Une fois arrivée à destination, je me lançais dans la préparation d’un petit déjeunée correcte pour ma maitresse ; des tartines avec de la confiture de bluets, des saucisses et un jus d’ananas.

Ma sœur arriva alors que j’étais en train de fini de cuir les saucisses, je lui montrais de la tête son bol de céréales et sa tasse de chocolat. Une fois ce dernier prêt, je mis l’assiette sur un plateau que je pris sur ma main gauche. Je montais ensuite les marches pour aller l’amené à ma maitresse tout en disant à ma sœur que je venais l’aide une fois ma tâche finie.

Une fois devant la chambre, je toquais à la porte de cette dernière, après quelques minutes une voix encore bien endormit et me donna la permission d’entrer.

Une fois dans la pièce, je me dirigeais vers le lit de dame rosalie pour déposer le plateau sur le lit de cette dernière, puis partis en direction de la chambre de la sœur.

Lorsque j’arrivais devant sa porte, je frappais à la porte puis entra pour voir ou en était ma sœur, ma sœur était en train de fini de mettre sa tenue en latex, je la regardais quelque minute puis lui rappelait gentiment que nous étions invitées chez dame Evangeline pour une journée et une soirée, de plus nous dormions sur place donc il fallait qu’elle prépare un pyjama dans sa valise.

Elle me regarda alors et me demanda quelle tenue elle devait mettre et pourquoi elle aurait eu besoin d’aide, avec un petit sourire je lui montrais de la tête une hausse accrochée à son armoire.

Lorsqu’elle l’ouvrit, Margaux vit une catsuit sans manche turquoise avec un corset intègre bleu foncé, en voyant ça elle se raidit légèrement et se tourna vers moi, elle me demanda, un peu gênée, si elle était vraiment obligée de porte la tenue en latex.

Je lui répondis que je ne savais pas trop, mais qu’elle pouvait venir avec moi pour demande à notre maitresse.

Après qu’elle a enlevé son body et mis une simple robe verte, nous partîmes vers la chambre de notre dame Rosalie. Je toquais à nouveau à sa porte puis attendis la réponse de dame Rosalie, après quelques minutes, sa douce voix nous permit d’entrer.

En nous voyant en arrivant, maitresse rosalie nous demande pour quelle raison Margaux n’était pas dans sa tenue.

Ma sœur commença a tremblé et resta muette, je pris alors sa main pour lui donne du courage.

Après avoir pris une grande respiration, Margaux dit qu’elle ne se sentait pas de porte la tenue imposer, notre maitresse la regarda quelque minute puis lui demanda si la tenue ne lui plaisait pas.

À cela Margaux répondit d’une voix un peu tremblante que oui la tenue était magnifique, mais qu’elle n’était pas sûr de supporte de la porter tout la journée et la soirée.

Quand notre maitresse repris la parole, elle dit d’une voix très douce qu’il n’y avait pas de soucis, que ma sœur pouvait si elle le voulait prendre la robe qu’elle portait en ce moment dans la petite valise que nous devions prendre pour notre séjour, mais que notre maitresse aimerait quand même que ma sœur porte au moins la tenue pour aller chez sa mentore.

Ma sœur laissa couler des larmes de joie et de soulagement tout b remerciant notre maitresse de sa clémence, elle partit ensuite se changer.

Une fois le plateau sur la table de sa chambre, j’aidais maitresse Rosalie à enfiler une longue robe en latex noir et blanc.

Pendant que je serais son corset, dame rosalie me demanda si je voulais aussi prendre en plus de ma tenue en latex un habit plus sobre pour la journée, je lui répondis avec respecte que je porterais avec honneur la tenue qu’elle me choisirait toute la journée. Elle me sourit dans le miroir puis me remercia de la confiance que je lui portais.

Une fois prête, elle alla chercher une robe violette courte dans son armoire, elle m’aida ensuite à l enfilé.

À peine étais-je prête que ma sœur entra à nouveau dans la pièce dans sa tenue en latex, notre maitresse lui fit un compliment qui la fit sourire et rougir.

Lorsque nous fûmes toutes les trois prêtes, je finis de remplir la petite valise puis la pris et nous partîmes en direction de la voiture de dame rosalie.

Après deux heures de route, pendant les quelle maitresse rosalie nous dit que nous allions chez dame Eva pour l’aider dans l’apprentissage d’une dominante, donc nous devions avoir le même comportement avec elle qu’avec dame Eva et notre maitresse donc la respecter. Nous arrivâmes devant la maison de dame Eva, je vis qu’une voiture était déjà parquée devant.

Une fois que j’eus récupéré la valise dans le coffre de la voiture, nous nous dirigeâmes vers la porte d’entrée. Maitresse rosalie toqua à cette dernière.

Une jeune femme, dans une simple robe blanche portant un large collier en cuir, vint alors nous répondre, elle nous demanda la raison de notre visite, car dame Eva ne voulait être dérangé sous aucun prétexte pendant ses séances de redressement ou ses cours.

Maitresse rosalie se présenta puis lui dit qu’elle avait été invitée par Evangeline pour la journée et la nuit. La jeune femme nous invita donc à entrer et nous proposa de prendre notre bagage pour l’amène dans la chambre d’amis.

Quand elle revint, elle nous proposa de passer devant, étant donné que notre maitresse avait rendez-vous, en passant à côté d’elle, je me fis la réflexion que je la connaissais peut-être, mais n’osa pas lui dire si c’était le cas.

Quand nous arrivâmes devant la porte du sous-sol, la jeune femme mit son doigt devant la bouche pour nous dire qu’il ne fallait pas faire le moindre bruit, elle ouvrit ensuite la porte.

La scène que nous vîmes me vit monter une vague d’excitation qui se traduit par le fait que je me morde le côté de ma lèvre inférieur ; dame Eva était assise à côté un vacbed dans lequel une personne se trouvait dedans qui portait un masque relier à une petite bouteille d’oxygène.

En nous entendant entrer, la dominante leva la tête dans notre direction.

Je restais comme ma sœur fige sur place devant les yeux froids de dame Eva.

La chose qui nous permit de revenir à la réalité fut le fait que la personne sous la toile de latex commença à se débattre, dame Eva tourna alors son regard vers cette dernière et ouvrit une petite valve sur le masque.au moment où elle le fit, la personne dans le vacbed se calma et commença a respiré à nouveau.

Elle ordonna, de sa voix glaciale, ensuite à la jeune fille en l’appelant Akio de sortir d’une armoire deux coussins puis de monter et chercher dans le salon un fauteuil.

Avec un hochement de tête, la jeune s’exécuta.

Pendant que la jeune fille remontait, dame Eva dite à notre maitresse qu’elle nous attendait un peu plutôt dans la journée, ma sœur en entendant ça se sentit directement coupable de notre retard.

Alors qu’elle allait s’excuser, maitresse rosalie dite à sa mentore que s’était sa faute elle n’avait pas sur choisir entre plusieurs tenues pour venir ici.

Avec un petit soupire d’agacement, dame Eva lâcha qu’il y avait un peu de relâchement de la part de son élève qu’elle mériterait presque de rejoindre les deux jeunes filles en apprentissage et de redressement.

En entendant ça, j’avalais avec peine ma salive.

Lorsque le fauteuil et les cousins furent installés, nous prîmes chacune notre place :

Margaux et moi sur les traversins, akio à genoux à côté de dame Eva et notre maitresse sur le siège.

Dame Eva quant à elle continue de temps à autre à priver la personne à sa merci d’air.

Au bout d’un petit moment, elle enleva le masque à gaz de la personne qui était dans le vacbed, elle ouvrit ensuite ce dernier laissant apparaitre une jeune femme qui ne portait qu’un simple collier en fer comme vêtement.

La jeune femme en sortant de sa prison dévisage dame Eva en signe de défis.

Après quelque seconde de jeu de regard, avec un sourire animal, la rousse attrapa la jeune fille par son collier, ce qui l’étrangla à moitié, dame Eva se mordille la lèvre en voyant la jeune femme étouffée, lorsque la jeune fille s’excusa finalement pour son comportement, dame Eva la laissa tombe à genoux en lâchant son collier.

Elle se tourna ensuite vers Akio et lui demanda si elle voulait punir Maya pour son comportement ou si elle avait une idée de punition.

D’une voix un peu hésitante, Akio dit qu’elle n’avait pas vraiment d’idée, mais que trente coups et devoir être à genoux sur du riz cru pendant le repas devrait suffire.

Dame Eva regard alors la jeune fille en blanc, puis lui dit que son jugement était correct. Avec un soupir de soulagement, Akio remercia sa formatrice, mais elle s’étouffa à moitié quand cette dernière lui annonça qu’elle devait donner les trente coups.

Akio prit une grande inspiration, puis ordonna sur un ton hésitant à Maya de se mettre vers la croix de saint André, l’intéresse ne semblait pas vraiment motivée a bougé, mais lorsque ce fut dame Eva qui lui ordonna sur un ton sec de le faire, elle s’exécuta rapidement.

Après avoir fermé les poignets de la jeune fille sur la croix, Akio prit en premier un martinet. Au raclement de gorge de dame Eva, la jeune fille comprenait qu’elle devait plutôt opte pour un fouet en cuir tressé.

Elle donna ensuite un premier coup, l’autre jeune fille tressaillit, mais ne compta pas.

Akio redonna un coup un peu plus fort, à ce moment Maya poussa un petit cri de douleur et dit « un ».

Au bout de trente-cinq coups, à bout de souffle, Maya remercia akio pour la punition, à ce moment-là la jeune femme plia le fouet tout en félicitant sa partenaire de session de sa résistance et son courage. Après avoir déposé le fouet sur le mur, la jeune femme alla libère de ses liens Maya.

À ce moment-là, dame Eva proposa de faire une petite pause pour aller déjeuner après que Laureline ait mis de la crème sur le dos et les fesses de zoé.

Je me rendis compte que oui je connaissais bien la dénommée Akio ; c’était une de mes amies d’école secondaire nous étions à l’époque inséparable, mais la vie avait fait qu’après la fin de notre scolarité, elle était dans une autre école pour ses études médicales alors que moi je m’étais lancée dans le monde du travail en tant que réceptionniste dans un salon de tatouage. Je poussais alors un petit cri de surprise.

Dame Eva me dévisage puis me demanda d’une voix froide si tout allait bien, je m’excusais alors en me penchant en avant pour mon cri. Elle s’approcha de mon oreille et me dit qu’elle serait tout à fait capable de me punir pour ça, mais que comme cela n’avait pas vraiment dérangé ma maitresse elle ne ferait rien sans son accord. J’avalais avec peine ma salive, à ce moment-là maitresse Rosalie vint à mon secours en disant qu’elle avait un peu faim et que la petite pause serait bienvenue puis m ordonna de remonter le trône.

Je me levais alors, puis suivit le groupe pour remonte au salon en oubliant mes obligations.

En arrivant en haut, dame Eva me fit remarque que notre maitresse a Margaux et moi n’avait pas de fauteuil étant donné que ce dernier était encore au sous-sol.

J’avalais à nouveau ma salive avec peine, mais avoue cette fois ma faute, car notre maitresse nous avait déjà beaucoup protégés. Rosalie me regarda alors quelque seconde, lorsqu’elle remarqua mon regard, elle comprit que je voulais assumer ma faute. Elle me demanda si j’avais une idée pour me faire pardonner mon oublie, je proposais vingt coups de cravache.

Avec un petit sourire amusé maitresse rosalie proposa une autre solution, être enfermer dans le vacbed pendant toute la pause, je compris alors que dame rosalie avait vu ma réaction devant le supplice qu’avait dû subir à notre arrivée Maya. J’avalais alors ma salive et dis que ma maitresse savait mieux que personne la punition que je méritais pour ma faute.

Dame Eva nous regarda à tour de rôle tout en levant un sourcil, elle poussa un petit soupire et dit à Laureline de prépare la punition de Maya et de servir le repas le temps qu’elle aille me mettre dans ma punition. Je suivis donc, avec Margaux qui venait chercher le trône de notre maitresse, dame Eva au sous-sol.

Pdv de maitresse rosalie

Pendant que mes deux soumises et mes mentors étaient partis au sous-sol. Je suivis akio et Maya dans la cuisine.

J’avais déjà entendu parle de Zoé par mon amie, c’était une bonne soumise, mais elle avait comme petite habitude de se rebelle ou de provoquée son ou sa dominante ce qui avait pour effets qu’ils l’envoyer quelques jours chez Eva qui la ramène dans le droit chemin, sauf qu’une fois qu’elle était de retour auprès de son ou sa dominant(e) elle recommençait à mal se comporter par conséquent, qu’elle n’arrivait pas à garde une relation de soumise/dominant très longtemps.

Je m’étais souvent demandé la raison de pourquoi ma mentore acceptait de s’occupait d’elle alors que Zoé n’avait pas de dominante.

Elle avait souvent évité de me répondre j’avais donc décidé que pendant ce repas j’allais lui demander.

Au moment où j’allais propose d’aider l’apprentie d’Eva, elle me dit que tout allait bien en finissant de mettre le riz sur le sol puis parti rapidement dans la cuisine.

Je fus un peu surprise de sa réaction, mais je ne voulais pas l’embarrasser donc je n’insistais pas et la laissa partir sans rien dire de plus.

- Elle est un peu timide.me annonça l’autre jeune fille en s’agenouillant sur les grains.ne lui en voulez pas trop.

- Je vois. Dis-je un peu perturbée par son annonce. Tu peux me tutoyer, tu sais ?

- Je ne préfère pas. Dit la jeune fille avec un petit rire.si je le fais, dame Eva risque d’empire ma position, après c’est tentant de le faire.

- Je ne pense pas qu’elle le fasse. Dis-je d’une voix douce. Elle est sévère, mais elle a dit juste avant que vous soyez en pause.

- Haha. Rigola la jeune fille en posant ses mains sur ses cuisses. C’est vrai depuis que je la connais, elle annonce des punitions, mais quand on est en pause elle ne rajoute jamais des châtiments en plus que ceux que j’ai déjà.

Au moment où j’allais pose la question de pourquoi Eva s’occupait d’elle, Margaux et Laureline arrivèrent dans la pièce.

Margaux posa le fauteuil devant la table puis une fois que je fus assise, elle alla se mettre à genoux à côté de Zoé et attendit de voir se qu’on allait manger.

Laureline quant à elle portait un plateau avec dessus une salade verte et de la charcuterie qu’elle déposa sur la table, elle alla ensuite sur la chaise la plus éloignée de moi puis se servit à manger.

Pdv de Alice

Une fois ma sœur repartie, dame Eva me conseilla, tout en préparant ma sanction, car d’enlever ma tenue, car sinon j’allais mourir de chaud sous la toile en latex, j’enlevé alors ma tenue et la plia sur une petite table en fer.

Une fois que je fus nue, dame Eva me fit entre lentement dans le vacbed, lorsque je fuis bien installer elle ferma la housse en mettant quelque chose dans ma main gauche puis me mit un demi-masque à gaz relier à une bouteille avec un petit minuteur dessus.

De sa voix glaciale elle m’expliqua que toutes les quatre minutes le minuteur allait coupe l arrivé d’air et cela pendant cinq minutes après je pouvais à nouveau respire et ensuite le cycle recommençait. Ne pouvais pas répondre, je lui fis comprendre que j’avais compris grâce à un hochement de tête.

Juste avant de partir elle me dit d’une voix rassurant qu’après quatre cycles elle demanderait à une personne de descendre pour surveille que tout se passait bien jusqu’à la fin de repas du midi, mais qu’aux moindres soucis il y avait une sécurité dans ma main gauche a utilisé qu’en cas d’urgence.

Lorsque je ne pus pas respire la première fois, je ressentis un peu de peur, mais je sentis aussi un vague d’un plaisir nouveau monté en moi.

La deuxième fois je sentis que du plaisir.

La troisième fois je planais à cause du plaisir et du manque d’oxygène.

La quatrième fois j’avais atteint un nouveau niveau dans ma subspace.

Encore un peu dans ma subspace, j’entendis à peine la porte s’ouvrir.

Quand soudain une voix inconnue m’appela par mon prénom normal, pour une raison inconnue je paniquais et commençais à m étouffé.

La personne enleva alors le masque, je pris alors de grande respiration et revint lentement à la réalité, je vis alors que la personne qui m’avait appelé était Akio, elle s’était changée et portait un corset a fleur et une longue jupe noire et avait attacher ses cheveux en un chignon, elle en plus un demi masque comme maitresse rosalie quand elle était venue pendant ma remis en forme chez dame Eva.

Elle me regard quelque seconde, puis me demande si l’expérience était plaisante, je détournais les yeux et lui répondit que oui.

Elle me demande pourquoi je détournais le regard, je lui répondis qu’au vu de son statut je n’avais pas le droit de la regarde dans les yeux.

Dame Akio me demande s’il y avait un mot d’arrêt, car elle voulait me parle d’égale a égalé.

Je dis que chaque dominante avec son propre safeword, je me redis alors compte que je ne connais pas celle de la jeune dominante.

Je dis que le mien était « knife » en tout cas avant d’être au service de maitresse rosalie, à peine l’avais-je dit que Dame Akio le répéta. Je la regardais dans les yeux puis lui demandait de quoi elle aimera parler.

Elle s’éclaircit d’abord sa voix, puis me demande en premier si j’étais Alice Haibīsukasu, je lui sourire tout en acquiesçant.

La jeune fille me demande si je me souvenais d’elle, je lui répondis que oui, c’était la raison du cri que j’avais fait avant.

Alors que j’allais à mon tour lui poser une question, la porte de la cave s’ouvrit laissant apparaitre maitresse rosalie et Margaux, je repris alors mon rôle et demande avec respecte si le repas s’était bien passé.

D’une voix douce, ma dominante dit notre mot d’arrêt puis me demanda si j’avais faim.

Je lui répondis que oui, mais que cela serait un peu dur de manger vu ma situation. Avec un petit rire, dame rosalie dit que Margaux s’était proposée pour me nourrir et qu’une fois mon assiette finie, elle me libérait de ma prison, car nous n’étions pas venues pour moi, mais pour donne un coup de main à dame Eva.

Pendant toute notre discussion, Laureline resta en retrait comme si elle avait peur de déranger ou de dame rosalie.

Une fois que je fus libre et de nouveau en tenue, maitresse rosalie me demande si je pouvais lui présenter mon amie, je dis que c’était Laureline Moonlight une amie d’école que je l’avais perdue de vue il y avait huit ans en arrière, car notre chemin s’était séparé.

L’intéresse salua maitresse rosalie avec beaucoup de respecte, dame rosalie la regarda quelque second puis lui qu’elle n’avait pas besoin de le faire, que mon amie comme elle portait le masque elle n’était pas soumise et que de plus elle n’était pas sa maitresse.

À ses mots, Laureline se détendit un peu puis me demanda pourquoi je l’avais fait alors qu’elle n’était pas ma maitresse, je répondis alors que c’était une consigne que ma maitresse m’avait faite avant de venir donc c’était pour ça que je l’avais fait.

Au regard un peu perdu de mon amie, maitresse rosalie lui dit que cela pouvait arrive, car il y avait des dominant(e)s qui n’accepte que de se faire tutoyer par des personnes à leur égale et que sauf si on donne sa permission il fallait par politesse vouvoyer les personnes que l’on rencontrait.

Akio hocha alors la tête et remercia dame rosalie pour son explication.

À ce moment-là, dame Eva arriva et demande pour qu’elle raison je n’étais plus dans la toile de latex, a cela maitresse rosalie lui dit que nous étions venues pour aider pas pour que je sois punit.

Avec un sourire animal, dame Eva avertie que si bien sûr ma maitresse acceptait, je pourrais être amené à être puni par son élève en formation.

Avec un sourire d’ange, dame rosalie dit que cela serait possible seulement si c’était nécessaire, mais qu’elle me faisait confiance pour plus faire de fautes pendant tout notre séjour.

Le reste de la journée et le début de soirée se passèrent assez bien, Maya fit quelque écarte qui lui fallut des punitions et des remis à l’ordre de la part de dame Eva et de dame Akio, quant à moi je reçus trente coups de la part de Dame Akio pour avoir oublié de remercier ma maitresse pour sa permission et pour avoir fait tomber un verre en servant ma maitresse.

Au moment où Zoe et Laureline partirent, car elles ne dormaient pas sur place, je demandais le numéro de téléphone de mon amie d’enfance pour pouvoir se voir dans d’autres circonstances, elle me le donna avec une grande joie puis partit avec son amie pour rentrer chacune chez elles.

Le reste de la soirée, je découvris une minuscule partie de Evangeline. Mais tu peux que je pus découvrir, je me compris qu’elle prenait à cœur son rôle de mentore et de dresseuse de brat.

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