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Derreck scrute Catlyn avec un air curieux avant de demander, toujours avec sa nouvelle voix :
-Comment ça ? Explique-moi... » Catlyn inspire une grande bouffée d’air et parvient à souffler :
-Je ressens le besoin d’obtempérer à tout ce que tu me demandes… Mon esprit s’embrouille, et mon corps se conforme à tes ordres... » Elle gémit en dardant le sexe de Derreck d’une œillade concupiscente : « Je t’en prie, laisse moi continuer... » Derreck est déconcerté, il n’imagine pas la roublarde se moquer de lui ainsi en prétendant devenir docile, alors qu’elle est naturellement bravache. Ce qui signifie qu’il a obtenu un nouveau don de Yag. Il s’approche d’elle, se lève et lui colle sa queue sous le nez. Catlyn tire la langue pour la lécher, mais Derreck lui murmure : « Non, tu ne touches pas. Tu regardes seulement. » La roublarde se met à gémir de frustration, à nouveau le jeune homme lui ordonne : « Qu’il y a-t-il ? Tu as une réclamation ?. » Catlyn le regarde, comme en prise avec un affreux mal de ventre, elle le supplie embarrassée :
-Pitié, est-ce que je peux au moins me caresser ?... » Derreck répond :
-Hors de question… Je vais te ramoner la chatte, mais tu vas devoir le mériter. » Elle ouvre de grands yeux ronds, semble folle de joie et répond dans un soupir rauque :
-Tout ce que tu voudras... » L’instinct prédateur de Derreck s’éveille et il lui dit :
-Tu n’es plus autorisée à me mentir. Je veux la vérité, et tu devras répondre à toutes mes questions. » Elle hoche la tête avec impatience et Derreck l’interroge : « Avec combien d’hommes as-tu couché par le passé ? » Catlyn détourne son regard, morte de honte :
-Quatre... » Derreck se met à sourire et continue :
-T’ont-ils fait jouir ? » Des larmes apparaissent aux coins des yeux de la roublarde :
-Non... » Derreck pouffe de rire et lui dit :
-Tu peux jouer avec tes seins, mais toujours pas ta chatte. » Comme prise de folie, Catlyn commence à malaxer sa jolie poitrine en poussant de petits soupirs, Derreck continue : « Qu’est-ce que tu penses de moi ?
-Je... » Elle serre les dents et se crispe de douleur, avant d’expirer : « Je ne sais plus. Je t’ai détesté pour m’avoir volé ma Lilou… Mais depuis que nous nous sommes rencontrés je… J’ai le cœur qui bat la chamade, et cette chaleur à l’entrejambe… Inextinguible » Derreck jubile sur place :
-Vraiment ? Tu as aimé notre petite sauterie ? » Elle se contracte à nouveau :
-Je… J’ai adoré ça… Je veux recommencer, encore et encore… Et faire que ça dure éternellement. » Derreck l’autorise à se masturber et la regarde se doigter avec frénésie, avant de lui demander :
-Et ma bite ? Est-ce que tu l’aimes ? » Sans hésiter elle déclare avec exaltation :
-Je l’aime à la folie. Je la veux en moi, dans ma bouche, dans ma chatte, dans mon cul, peu importe, je l’aime et je ne peux plus vivre sans elle. » Elle pleure et Derreck pouffe de rire :
-Bravo... » Il agrippe le crâne de Catlyn, dépose son gland sur ses lèvres et ajoute : « ...tu peux faire ce que tu souhaites de ta queue adorée... » Comme libérée d’une entrave invisible, les mains de Catlyn abandonnent son entrejambe pour se ruer sur les hanches de Derreck. Elle l’agrippe et avale son chibre dans sa totalité. Il en profite pour baiser sa gorge, pendant de longues minutes les bois alentours sont envahis des sons de succion jusqu’à ce que Derreck sente monter l’orgasme. Il murmure : « Tiens toi prête... » puis il éjacule. Il teinte légèrement son sperme d’Élixir et sent Catlyn engloutir sa semence alors qu’elle jouit. Il extirpe sa queue et laisse quelques jets de sa semence gicler sur le visage et le torse de la roublarde. Elle se l’étale sur le corps comme si il s’agissait d’une agréable crème de beauté. Derreck lui susurre à l’oreille : « Est-ce que quelqu’un t’as déjà enculé ? » Elle se lèche un doigt avant de répondre :
-J’ai déjà tenté de le faire seule, sans succès, mais en dehors de ça, personne... » Derreck caresse les cheveux courts de Catlyn :
-Mets-toi à plat ventre… je vais dépuceler ton cul... » Elle semble à la fois craintive et excitée. Elle s’allonge sur les cailloux lisses et lui présente son postérieur. Derreck crache dedans et le doigte. Il sent Catlyn ruer légèrement et se débattre, il demande : « Est-ce que ça va ?
-C’est… désagréable, mais la douleur s’atténue et… ce n’est pas si mal...
-Masturbe toi en même temps, ça t’aidera à te détendre. » Elle s’exécute et ondule aux rythmes des caresses combinées. Un orgasme la secoue et Derreck lui demande :
-Qui t’a fait jouir ? » Elle marmonne :
-Toi... » Il prend son membre en main, s’accroupit au dessus d’elle et pousse son gland dans l’anus de Catlyn qui couine légèrement. La pénétration est lente et se fait par étape, mais lorsque enfin son membre est entré en entier, la roublarde tremble, secouée par un nouvel orgasme. Il se met à imprimer de lents va-et-vient et à mesure qu’il accélère, il l’entend gémir de plus en plus fort, jusqu’à jouir encore une fois. Il continue de la sodomiser durant un long moment, la faisant à nouveau mugir comme un animal. À la fin elle cumule un total de cinq jouissances supplémentaires, après quoi il éjacule sur son dos en y mixant une petite part d’Élixir. Elle le recueille pour s’en délecter et demande avec un petit sourire provocateur : « C’est déjà fini ? » Ce à quoi Derreck répond en lui soulevant une jambe et en pénétrant son vagin à nouveau. Elle pousse un cri lascif, et tandis qu’il pèse sur elle pour atteindre les profondeurs de son écrin de chair, il s’approche de son oreille et lui murmure : « Je vais te prendre, jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter... » Elle pousse un râle rauque de joie et lui répond avec défi :
-J’ai hâte de voir ça... » Soudain habité par une colère sans précédent, il se met à la ramoner frénétiquement tandis qu’elle vocifère : « Oui ! Oui ! Juste là ! Vas-y ! » chaque fois qu’elle reprend sa respiration. Derreck est habité par une force qu’il n’a jamais soupçonnée, une perversité jamais atteinte et un désir jamais ressenti. Il lui demande : « Si Layla nous surprenait maintenant, que dirais-tu ? » Il la sent se serrer autour de lui et atteindre l’orgasme immédiatement. Elle baragouine entre deux couinements :
-Je… je… ne sais pas... » Il continue de la tourmenter en grognant par intermittence :
-Tu l’inviterais à nous rejoindre ?
-Non…
-Mais tu aimerais qu’elle le fasse ? » Elle jouit, jette sa tête en arrière, ses yeux se révulsent et elle tire la langue :
-Oui… ! Oui ! J’adorerais ça ! » Derreck lui pince les deux tétons, elle se cambre et est secouée de puissants spasmes :
-Si je pouvais faire de toi un homme et te donner un pénis, tu la baiserais avec ? » Elle semble soudain se réveiller et croise ses doigts derrière le cou de Derreck. Elle plonge ses yeux dans les siens et rugit :
-OUI ! J’en rêve ! Je la prendrais doucement, puis je la sauterais comme une sauvage ! » Derreck s’exclame de sa voix grave et impérieuse :
-Rejoins-moi ! Je sers un sombre maître capable de grandes choses ! Deviens mon esclave ! Et je trouverai un moyen d’exaucer ton souhait ! » Catlyn ouvre de grands yeux ronds, apeuré elle se crispe et son vagin se serre autour de Derreck. Elle jouit en hurlant :
-Oui ! Tout ce que tu voudras ! Si je peux coucher avec Layla, je suis prête à me damner ! » Puis elle l’embrasse alors qu’elle atteint un nouvel orgasme. Ils passent la moitié de la nuit à changer de position et à découvrir leur compatibilité, qui s’avère être très bonne… Ils s’arrêtent lorsque enfin, Catlyn le supplie de cesser. Après quoi elle affiche une mine boudeuse et lui demande : « Tu étais sérieux quand tu parlais de me permettre de devenir un homme ? » Ils sont allongés l’un contre l’autre, et il passe ses doigts dans ses cheveux courts :
-Je ne sais pas si c’est possible. Mais, si j’en deviens capable, je le ferai. Je te le promets. » Elle soupire :
-Dans ce cas, j’accepte de t’aider… et de rester à tes côtés. Mais si tu m’as menti... » Derreck l’embrasse avant de murmurer :
-Je sais... » Ils se sourient, désormais habités par une nouvelle complicité. Il se lève doucement et déclare : « Rentrons à l’auberge avant que Layla ne remarque notre absence. » Catlyn approuve, et ils ramassent leurs affaires avant de retourner vers Hiveren.
Ils se réveillent sur le lit de la chambre, dans les bras l’un de l’autre. Derreck extirpe doucement Catlyn de sa torpeur et lui parle. Sa voix est toujours grave et sensuelle : « Tu vas mentir à Layla en lui racontant que la nuit s’est bien passée et que je n’ai rien fait de particulier. Continue de te comporter comme si de rien n’était, fais-lui croire que tu me détestes. Dis-lui que depuis mon réveil, je ne parle pas. Je ne veux pas qu’elle m’entende et soit forcée de m’obéir, ou panique. Nous allons faire comme prévu et retourner au cimetière du domaine. » Elle hoche la tête, bondit hors du lit et s’habille, tandis qu’il fait de même. Ils vont ensuite frapper à la porte de Layla, elle l’entrouvre et Catlyn lui dit : « Tout va bien, on descend manger, rejoins-nous quand tu es prête. » Après quoi ils empruntent l’escalier ensemble et atteignent la taverne. Ils y commandent trois petits déjeuners, et quand enfin la barde arrive, Catlyn annonce : « Je vais me laver, garde-le à l’œil. » La ménestrelle hoche la tête et déguste des gâteaux secs avec une infusion aux herbes. Elle lance un regard en coin à Derreck qui mange en silence. Elle a l’air de vouloir lui parler, mais il ne la regarde pas et continue de fixer sa pitance. Le calme perdure jusqu’au retour de Catlyn, Layla lui fait signe et elle discutent à voix basse. Derreck parvient à comprendre ce qu’elles se disent. La ménestrelle demande à la roublarde : « Il s’est passé quelque chose ? Il n’a pas desserré les dents. Je pensais qu’il essayerait au moins de se justifier auprès de moi, mais... » Catlyn hausse les épaules :
-Non, pas que je sache, il n’a pas dit un mot depuis hier soir. » La barde semble intriguée, mais passe à autre chose quand le propriétaire vient leur demander si tout va bien. Elle lui présente alors son insigne d’aventurière et lui explique leur déconvenue de la veille. Elle le questionne au sujet des morts-vivants et demande si de telles créatures étaient déjà apparues avant leur arrivée. Le tavernier lui répond que non, elle le rassure en lui disant que les créatures ont été éliminées, mais qu’il leur faudrait des pelles pour enterrer les corps à nouveau. Le brave homme lui annonce qu’il va aller en demander à ses voisins et les laisse. Quelques minutes plus tard, Layla va se laver, laissant Derreck et Catlyn seuls. La roublarde se lève et vient s’asseoir à côté du jeune ranger qu’elle embrasse à pleine bouche. Après quoi elle lui murmure : « J’ai fait exactement ce que tu m’as demandé… Tu es content de moi ?» Il glisse sa main dans ses cheveux courts et lui répond avec un sourire :
-Très. Continue comme ça, et si nous en avons l’occasion, je te baiserai avant la tombée de la nuit. » Catlyn se mord la lèvre inférieure et l’embrasse à nouveau. Fourrageant sa langue dans la bouche du jeune homme en poussant des gémissements étouffés. Puis il la repousse gentiment en lui rappelant que la tavernier ne va pas tarder à revenir, et elle retourne à sa place. Ils terminent leur repas et sont rejoints par Layla, Derreck annonce vouloir aller se laver, et Catlyn déclare le suivre pour garder la porte, afin de l’empêcher de s’enfuir. Une fois devant la salle de bain, le jeune ranger prévient la roublarde qu’il ne faut pas qu’elle entre. Forcée d’obéir, elle n’en reste pas moins extrêmement frustrée. Il se décrasse autant que possible, avant de se sécher et de se rhabiller. Après quoi le propriétaire de l’auberge rentre et leur fournit les outils dont ils ont besoin. Ils quittent Hiveren et retournent au manoir, pour passer la matinée à creuser des tombes et enterrer des morts.
L’heure du déjeuner approche et ils ont presque fini. Derreck porte le corps de Rosach pour le remettre dans son sarcophage lorsque son œil est attiré par un reflet au fond du cercueil vide. Il s’en approche et découvre un petit bloc de pierre noire, nervurée de rouge et de pourpre. À peine plus gros qu’une pièce de monnaie et en plein centre de la tombe. Il reconnaît ce minerai, le même que celui de l’autel du temple de Yag. Il aimerait pouvoir interagir avec, mais Layla est encore dans les parages à le surveiller. Il dépose le corps de l’ancien Grand Dépravé pour dissimuler la pierre et va discrètement s’approcher de Catlyn pour lui murmurer : « J’ai besoin d’éloigner Layla d’ici, des suggestions ? » La roublarde hoche la tête :
-Je peux lui demander d’aller chercher à manger. » Derreck opine du chef. Le temps que la barde se rende à Hiveren, qu’elle achète de la nourriture, et qu’elle revienne, il sera en mesure d’étudier le tombeau :
-Va. » Catlyn se redresse et rejoint Layla. Elle discute avec elle, annonçant que leur labeur est presque terminé, et lui demande d’aller chercher des repas en ville. La ménestrelle s’inquiète de laisser son amie seule avec Derreck, mais cette dernière la rassure. Comme à contrecœur Layla s’en va, laissant la roublarde et le ranger à nouveau seuls. Le jeune homme s’active pour terminer de nettoyer le cimetière, et lorsqu’il finit enfin, il se rue vers le mausolée pour réfléchir. De mémoire, il tâche de se souvenir quelles ont été ses interactions avec l’autel de Yag jusqu’à présent. Et en réalité une seule chose lui revient. Il soulève le corps de Rosach et le sort du cercueil, il dégaine son couteau de chasse et se pique le doigt au dessus. Une goutte tombe sur la pierre et immédiatement elle bout avant de laisser échapper un mince filet de fumée rose. Catlyn qui se tenait à la porte jusqu’à présent, pousse un gémissement agréable : « Ça sent bon… Qu’est-ce que c’est ? » Derreck ne lui répond pas et l’invite à le rejoindre. Il attrape sa main, l’étreint, avant de lui cracher un nuage de Souffle et de lui susurrer : « Tu te souviens que je t’avais promis un orgasme avant la fin de la journée ? » La roublarde l’embrasse et le caresse sous ses vêtements. Derreck la déshabille, glisse ses mains le longs de son corps moucheté de cicatrices et finit par titiller sa fente et son clitoris. Elle couine et halète, puis supplie dans un murmure : « Ta queue, prends-moi avec ta queue... » Elle se cambre en avant et de ses deux mains, écarte sa fente en minaudant : « Aller, vite… j’en peux plus... » Derreck adore la nouvelle Catlyn… Docile, sensuelle et complètement addict à leur parties de jambes en l’air. Il extrait son sexe de son pantalon et vient le frotter contre celui de Catlyn, afin de se lubrifier. Elle pousse des soupir rendus rauques par le désir, et quand enfin il la pénètre lentement, elle crie. Il ondule doucement, s’incline sur elle et agrippe ses seins, avec lesquels il joue. Il lui lèche le cou et lui demande : « Tu me détestes toujours ? » Entre deux gémissement, elle parvient à articuler :
-Non… » Derreck attrape son menton et l’embrasse à pleine bouche. Il la sent se resserrer autour de lui et accélère ses mouvements. Les cris de Catlyn montent crescendo et elle atteint l’orgasme dans un tremblement. Soudain la pierre au fond du cercueil s’illumine et projette un fin rayon de lumière pourpre en direction du plafond. Derreck y découvre une sculpture en forme d’homme allongé, les mains jointes sur sa poitrine. Le faisceau pointe pile au centre du thorax, et la pierre se met à luire de l’intérieur. Le cœur de Derreck manque un battement, il remonte son pantalon sans le fermer, remet le corps de Rosach en place, scelle le sarcophage et monte dessus. Il attrape son couteau de chasse et tend les bras pour briser la pierre. Il reçoit quelques éclats de roche dans la figures, recrache ceux qu’il a avalé et se frotte le visage en pestant. Il parvient enfin à briser les doigts de la statue et découvre une sphère de cristal rouge et pourpre. Il s’emballe à l’idée qu’il a peut-être trouvé l’Aethog et tire dessus. À sa surprise, l’objet, tombe, pesant le poids d’une pomme, et il n’est arrondi que sur un côté, son autre face est couverte de cinq pieux acérés. Il se dépêche de le dissimuler dans son sac et descend du cercueil, Catlyn est en train de se rhabiller et lui demande : « Qu’est-ce que c’est ? » Il lui sourit :
-La raison pour laquelle j’étais venu. » Il l’attrape par un bras alors qu’elle reboutonne sa veste et lui murmure : « Tu ne crois pas que tu as oublié quelque chose ? » Il lance un œillade à sa bite toujours à l’air, et Catlyn se mord la lèvre inférieure, avant de se mettre à genoux pour la lui lécher et le faire durcir. Elle s’attelle ensuite à le sucer bruyamment tandis qu’il jubile avec triomphe. Lui qui pensait avoir complètement échoué la veille, voilà que désormais il avait renversé la situation et allait rentrer à Langekan victorieux. La roublarde l’amène à l’orgasme et il éjacule une petite quantité de sperme qu’elle avale. Après quoi ils se rhabillent et Derreck sourit, il ne lui reste qu’à régler le problème de Layla, et son expédition sera une réussite sur toute la ligne. Il lui faut cependant encore apprendre à maîtriser sa nouvelle voix…
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