Chapitre Quatre : Rêve de libertés
Chapitre Quatre : Rêve de libertés
Cette épreuve m’avait rendue plus forte et téméraire.
Je préparais mes bagages toute seule.
Je fuis le docteur Simus.
Un nouveau départ pour contempler les paysages du monde avec un appareil photo.
J’eus encore du mal à marcher.
Je suis un exemple pour la société.
Les gens m’observent ; ils jugent sans connaître.
Je partis voir les plus beaux paysages du monde.
Je pris un car vers Paris.
Simus râla et contacta les services sociaux.
« C’est son problème ! »
« Elle sort d’un coma et d’un traumatisme lourd ! Bordel ! »
« Nous ne pouvons rien faire. »
« Bon … je perds patience, elle est fragile encore ! »
J’arrivais à Paris devant la tour Eiffel.
Il y avait du monde sur la place.
Un gars me bouscula et me fit tomber.
« Désolé ... »
« C’est pas grave. »
Les touristes me regardaient comme si j’étais un monstre.
« Qu’est ce que vous avez ? »
Puis les gens fuirent comme un air de mépris dans l’air.
Un député me rencontra.
« Vous êtes un exemple pour la société. »
« J’ai vécu un enfer, je sais plus très bien parler. »
« Venez dans mon bureau, vous êtes encore fragile. »
Il m’invita dans son bureau ou on discuta politique.
« Je ne peux pas vous laisser seule, perdue de tout repères. »
« Je sais. »
« Où étiez-vous ? »
« Dans une campagne. »
« Votre histoire me touche, un accident peut arriver à tout moment. »
« Oui. »
« Voulez-vous qu’on vous montre aux yeux du monde entier ? »
« Non ... »
« Vous n’avez pas à avoir peur … chaque être à son histoire, son courage sur la vie. »
« Pourquoi ? »
« Venez à l’assemblée ce soir, vous serez ma surprise du gouvernement. »
Le soir vînt, je rentra dans l’assemblée.
Ils étaient une centaine.
« Je suis le député qui va montrer le courage humain, voici Ludivina ! »
Il y eut une foulée d’applaudissement retentissant.
Je m’assieds et avait préparé un discours sur papiers avec pleins de fautes.
« Ne perds pas tes moyens ... » Pensais-je.
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