Chapitre Cinq : Un modèle de courage mondial
Chapitre Cinq : Un modèle de courage mondial
« Je crois, j’ai fait du coma à long terme. Je voulais voyager. Prisonnier du Docteur Simus.
J’ai eu mon visage défiguré à cause d’un accident de voiture. Ma mémoire a subit un choc assez puissant. Je ferai court. »
Je fus diffusée aux télévisions du monde entier.
Je pleurais.
Les députés s’approchèrent.
J’eus des coups de téléphones dont des patrons me voulaient.
Le député m’invita chez lui.
« Les gens sont et ont toujours été cons entre le racisme, l’homophobie … Toi tu as quelque chose que les autres n’ont pas. »
« J’ai vécu un truc de dur, personne peut comprendre. »
« Il faut que tu voyages et rencontre des gens, ça t’apporterait beaucoup, il faut privilégier l’humain avant tout. »
Puis le grand-père du député entra.
« Papa ... »
« Voilà une autre image du monde, le symbole du courage, votre histoire est fascinante et poignante oui arrachant. »
« Papa, tes cachets ... »
« Je sais mais cette petite est magistralement forte oui ! »
« Papa ! Laisse là. »
Je m’endormis sur le fauteuil du salon.
Pendant ce temps, les médias me considérèrent telle une héroïne « Une histoire unique et d’espoir ! »
Je me leva ce matin, l’homme costumé était sans doute allait travailler.
Je sortis, je prenais l’air.
J’arrivais mieux à marcher et à comprendre le monde qui nous entoure.
Je pris mes bagages mais une assistante sociale interpella.
« Madame ! Vous devez être en sécurité, à l’extérieur l’horreur humain domine. »
« C’est Simus qui vous envoie ? »
« Non, ça vient de plus haut, nous connaissons votre histoire. Et avec la bêtise humaine, on doit vous protéger. »
« Je refuse ! »
« Non, venez ! »
Elle prit mes poignets d’une force intenable.
Je fus mise dans une maison d’handicapée à Paris.
Simus était là.
« Vous courez un danger à l’extérieur et ce député de diffuser ces images de vous ! Avez-vous perdu la tête ? »
« Vous m’aviez dit être un exemple ? »
« C’est moi qui coupe et qui tranche, vous m’échapperez pas Ludivinia, vous avez besoin d’aide. »
« Et pourquoi ? »
Le psychiatre Jeremy Lyber entra avec ses cheveux frisés, regard noir, petit nez, veste noir et blanc.
Annotations
Versions