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Chapitre 8
Agenouillé entre les cuisses d’une Elfe femelle solidement ficelée dans de savants et complexes entrelacs de cordelette blanche pâle telle la peau de cette frêle créature aux seins à peine naissants et tremblants à peine des spasmes de son à peine pubère propriétaire, le potelé Tahabitahingouh s’employait, débraillé le pantalon aux chevilles et son gros cul à l’air, à dévorer le petit à peine étroit vagin à peine rosi de fatigue épuisée de l’à peine adolescente. Quel mignon petit sexe pensa pour elle-même Fleurette que de troubles appétits venaient éveiller en son for intérieur du dedans. Et en effet, le délicat petit bouton de l’Elfe, humide et brillant de délicatesses juteuses et parfumées, donnait à penser aux pétales couverts de rosé d’une fleur des champs qu’un inspiré poète eut déposé entre ces cuisses trop maigres qui semblait une drôle de charcuterie sous le ficelage complexe, trop serré d’audacieux arrangements qui révélait à merveille les merveilleux goûts esthétiques du Merveilleux hôte à la langue goulue et alerte débordant de ses grosses lèvres affamées basanées qui broutaient cet elfique gazon naissant. « Hentrez hentrez mes hahamis » ahana le gracieux sans stopper ses précises et savantes activités. Et ils entrèrent silencieux et attentifs aux mouvements qui se jouait en ce lieux encombré par la chaleureuse présence de tant de curiosités objets livres cartes ou plans divers et infiniment variés qui ornait cette pièce si vaste et si lumineuse. Gourdin n’avait d’yeux quand à lui que pour le petit minuscule trou du cul tout blanc et à peine teinté d’une blafarde nuance de violet carmin clair, si resserré d’audaces rythmiquement syncopées, qu’il eu été impossible d’y introduire ne serait-ce que la tige d’une rose. Cette minuscule promesse de trou fit se perdre un instant celui-ci dans de compliquées élucubrations qui attisèrent et enflammèrent sur le champ les esprits et le vit de ce dernier. Et alors que l’elfique femelle gémissait de ces éternels et éculés trois mots : « trop beaucoup monsieur… Trop beaucoup Monsieur… Trop beauccc… cq… qk…!! » elle s’étrangla subitement. C’est que l’oriental mage à ce moment précis venait de brutalement introduire deux doigts curieux en le petit orifice de ce vagin qui n’avait encore connu nulle inquisition de ce genre, et que, fermement décidé, il enfonça le plus loin possible ces deux boudins gracieux et habiles en ces intérieurs elfiques. Épris de ce hoquet et déjà délicieusement mouillée d’envie, la jalouse Fleurette pressa son ami l’enchanteur, en merveilleuse érection, de bien vouloir lui faire subir un sortilège similaire. Gourdin ne se fit gère prier et d’un coup de sa queue magique il débarrassa l’encombrante garniture d’objet précieux et de bibelots mystiques de la table à manger pour y allonger Fleurette fraîchement déculottée. Il connaissait si bien ce beau vagin et ses alentours merveilleusement arrangés des chairs saturées de sang et de désirs de son amie, que sa langue alerte et experte n’eut aucune difficultés à ravir ce délicieux petit con ruisselant et avide si bien préparé par les imaginations écumantes et libres de Fleurette. Bientôt les cris éplorés et étrangement complices d’affections de l’Elfe et de la naine firent perdre la tête à Hilda qui, présentant ses bourrelets pubiens à l’Ogre gêné, pria implorant à mort celui-ci, de grâce, de s’exécuter de même.
« Mais belle et grasse amie : n’oubliez que mes goûts,
Récemment modifiés, n’apprécie ce bijoux… »
Mais après quelques pressées et pressantes tergiversations, il consenti à prodiguer à sa nouvelle et poétesse amie ces faveurs si urgemment réclamées.
« Mais où donc fichtre diantre trouve-t-on vos conduits
Dans cette grande abondance de chair et de replis ?…
- C’est là où qu’sa mouille et qu’sa sent… » Supplia l’obèse naine. L’Ogre, appliqué de serviables intentions, fini par aborder au but et entama les investigations attendues en la grassouillette tirelire de Hilda qui immédiatement se mit à fredonner d’obscures et improvisés poèmes aux inflexions étranges mais charmantes. Ainsi tout occupé, la petite assemblé roucoulait de ces plaisirs conviviaux si sympathiquement partagés. S’apercevant que son ami le Mage de sa main libre s’employait à branler son minuscule pénis, Gourdin que les violences de son érection tiraillaient affreusement, s’employa de même. Mais hélas il ne parvint par ce moyen qu’à moyennement calmer ses émotions et, délaissant Fleurette au sommet de ses sens, il pria Tahabitahingouh de lui céder la place. Celui-ci, dont le sens de l’hospitalité passait avant toutes choses, offrit prestement à son ami les étroitesses de l’elfique saucisson aux soins si pressants de l’Enchanteur. Retournant la malheureuse et sans même la défaire de ses liens, il dégaina sur le champ ses Quatre Coups de Rein Légendaire en cet anus étriqué qui se fissura affreusement de toutes parts. Il pria immédiatement l’assemblé d’assister dans l’instant au spectacle à venir. Tous cessèrent alors plus ou moins de bon cœur leurs précédentes activités pour admirer Gourdin coulisser en ce qui fut de l’Elfe le trou de son cul. Puis, pour la deuxième fois en ce jour, il couvrit le visage de sa proie de sa mains dispendieuse de magie. « Regardez mes amis maintenant ! » Hurla-t-il alors que les premiers jets de son éjaculation abordaient déments le bout de son gland tuméfié. Comme Fleurette s’y attendait en souriant, les deux fontaines merveilleuses jaillirent bientôt abondantes des oreilles effilées et pointues de l’inerte et ficelée Elfe. Tout ébahis par cet inattendu et puissamment réjouissant spectacle, tous applaudirent comme à la foire dans des liesses de cris enjoués ce miracle couronnant la fin de tant d’ébats si amicalement partagés.
Une discrète petite toux en provenance de l’entré fit tourner en cœur les regards encore tout éblouis. La stupeur un instant saisi cette foule. Sur les bords de la porte se tenait, comme sur les bords de toutes choses, l’angélique créature du ruisseau vêtu d’un humble habit pourpre de none qui leur demandait, de ses yeux suppliants tel une aurore aux enchanteresses promesses, l’hospitalité.
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