Ūrō
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C’est un brasier grandissant et criant en secret, né d’une braise-étoile,
Une flamme avide et vorace qui ronge mon ataraxe fondation.
Des langues dansantes me tiennent prisonnier et un noir panache
Cache une à une mes stèles éternelles, des astres muets.
Ce feu fustige, s’inflige inspiration,
Et j’ai peur que cette main infâme,
Calcinée d’ire abjecte,
La brûle et la blesse.
Une nitescence
Pernicieuse.
Un respire !
Un épître !
La sorgue,
Six lances,
Ōrō.
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