Crystal et Luigi étaient dans le grand hall. Le professeur K. Tastroff avait demandé au duo de mettre à sa place le mécanisme qu'il avait réparé, et d'aller dans la bibliothèque. En effet, il avait détecté la présence d'un fantôme qui dégageait une activité paranormale importante. Ils traversèrent le couloir où les gardes, qui faisaient tomber leurs lances, étaient placés. Ils avaient bien remarqué que les statues avaient disparu. " Qui a bien pu faire disparaître les cavaliers, pensa-t-elle. Bon, au moins, ils ne vont pas nous embêter. "
Ils entrèrent dans le grand hall puis se dirigèrent vers l'endroit où les rouages devaient être mis. Le plombier vert plaça le système puis manipula la manivelle. Les grands engrenages tournèrent, ce qui fit descendre l'aquarium en bas.
Quand le petit bassin fut en bas, le duo alla vers les escaliers, les monta puis virent une porte. La demoiselle aux cheveux roux ouvrit l'entrée. Ils virent un couloir bien sombre avec deux Sacripons qui jouaient au jeu " pierre, feuille, ciseau ". Le frère de Mario hurla de peur quand il aperçut les deux fantômes verts. Il se calma et fit signe à sa meilleure amie de le suivre pour essayer de capturer les deux esprits. Elle acquieça. Le duo marcha un instant. La jeune femme à la robe bleu marine remarqua les deux ectoplasmes, utilisa sa lampe de poche pour les immobiliser puis l'homme à la salopette bleu profita pour les attraper. Un Grobras fit son apparition. Ils capturèrent trois araignées puis le fantôme rouge qui commença à se préparer à frapper les deux adultes. L'éclairage s'alluma dans la pièce. Ils fouillèrent dans la lieu avant d'aller dans l'endroit suivant. C'était l'étage de la bibliothèque. Les meilleurs amis de la princesse Peach voyaient à leur droite en-dessous d'eux un piano qui jouait tout seul, et des livres qui volaient dans les airs.
Ils se déplacèrent tout en évitant les ouvrages qui se dirigèrent vers eux. Luigi ouvrit l’entrée puis le duo se trouva dans une salle avec une grande table remplie de bonnes choses à manger. " Comment descendre en bas ? pensa Crystal. Il y a un accès quelque part, c'est sûr. "
Ils explorèrent le lieu. Crystal fit signe à son meilleur ami car elle avait vu une corde qui pendait dans les airs. Il utilisa son Ectoblast 5000, aspira le bout du cordon puis tira, ce qui fit ouvrir une ouverture en face des deux adultes. La demoiselle avec des bottes grises entra dedans, s'assit sur le monte-charge, se déplaça un peu à droite pour laisser de la place au jeune homme à la moustache brune qui s'installa.
Soudain, le petit ascenseur descendit brusquement, ce qui fit hurler les deux meilleurs copains. Ils sortirent tout de suite puis observèrent le lieu. L'endroit était sombre. Des armoires, un réfrigérateur, une table et un évier se trouvaient dans la pièce. Ils marchèrent un peu avant de sursauter parce que des Sacripons équipés de couvercles, de rouleaux de pâtisserie et de casseroles étaient apparus. Crystal dut trouver le bon moment, c'est-à-dire après que les fantômes avaient essayé de frapper les humains, pour les immobiliser grâce à sa lampe. Elle réussit après dix essais puis Luigi captura les spectres.

Cinq minutes plus tard, les luminaires s'allumèrent. Ils inspectèrent la cuisine avant de sortir et de se trouver au rez-de-chaussée de la bibliothèque. Ils regardèrent le piano et aperçurent un esprit qui avait un énorme crâne où une boule violette était dedans et des yeux blancs. Il jouait tranquillement de la musique. Il scruta le duo, arrêta de faire du piano, s'éloigna de l'instrument, ria tout en utilisant la télékinésie pour faire bouger les livres dans les airs puis disparut. Crystal et Luigi cherchèrent partout avant de le trouver cacher derrière des piles de livres. Le fantôme fut tout de suite immobilisé par la jeune femme aux yeux verts puis capturé par son meilleur ami. Trois autres ectoplasmes jaunes arrivèrent. Le plombier vert et la demoiselle au sac à dos durent faire la même méthode tout en évitant les livres que les créatures envoyèrent sur eux.

Vingt minutes plus tard, ils avaient réussi à vaincre les esprits qui étaient dans la pièce. La lumière vint dans l'endroit. Ce fut à ce moment-là que la DS du frère de l'amoureux de Peach vibra. Il sortit l'appareil puis l'alluma. Le professeur Karl Tastroff dit :

— Crystal ! Luigi ! Tout va bien ?
— Oui, répondit l'humaine qui pouvait donner vie à ses dessins.
— Vous m'avez fait très peur, l'espace d'un instant, remarqua-t-il.
— Ils étaient compliqués à attraper, avoua le jeune homme à la casquette verte.
— Oui, j'ai vu, fit le vieil homme. Ma foi, ces fantômes n'ont pas qu'un cerveau, ils ont aussi des muscles ! Et un sacré caractère ! Ils vous ont lancé des livres à la figure ! Cela me rappelle bien des souvenirs. À l'université, certains de mes professeurs aimaient m'attaquer de cette manière. Bref, je vais tout de suite vous ramener. J'ai hâte d'étudier ces spécimens ! Crystal, prépare-toi !

Luigi alla se cacher derrière le piano pour ne pas être emmené en même temps que sa copine.
Quant à la jeune adulte, elle ferma les yeux systématiquement, les ouvrit et aperçut qu'elle était dans l'endroit où le scientifique se trouvait.

Deux minutes plus tard, le frère du plombier rouge arriva. Il se leva et brancha l'aspirateur au tuyau qui prit tous les esprits. Il enleva l'appareil électroménager. K. Tastroff expliqua :

— Les Cérébrus sont nettement plus puissants que les autres fantômes, mais ce ne sont pas les meneurs. Malgré tout, on va sûrement apprendre beaucoup de choses en les étudiant. Toutes ces espèces de fantômes me fascinent au plus haut point, jeunes gens. Thèse, hypothèse, antithèse, synthèse... Quel bonheur d'être un scientifique !
— Qui peuvent bien être les meneurs ? demanda la meilleure amie de Peach, Mario et Luigi.
— Pour l'instant, je ne sais pas, répondit-il. Peut-être que nous aurons la réponse après avoir analysé ces esprits. Voilà qui ouvre moult nouvelles perspectives dans mes recherches sur le monde paranormal. Je suis à l'aube de découvertes fondamentales dans ce domaine, je le sens ! Quant à vous, Crystal, Luigi... Quand tout sera fini, vous pourrez enfin sortir de l'ombre du plombier rouge et devenir de vrais héros ! Vous avez l'air fatigué. Allez ! Reposez-vous un peu avant de repartir à l'aventure.

Le duo acquiesça puis se dirigea vers leurs chambres respectives pour se détendre un peu.

Une heure et quinze minutes s'étaient écoulées. Le duo revint voir le scientifique avec des lunettes. Crystal demanda :

— Quelle est la prochaine mission ?
— Justement, j'y viens, répondit-il. Dites-moi, jeunes gens, vous connaissez ce proverbe qui dit qu'il ne faut pas se fier aux apparences ?
— Oui, acquiesça le plombier vert. En quoi cela est en rapport avec la mission du jour ?
— C'est d'autant plus vrai dans notre situation, expliqua le professeur. Parfois la réalité laisse place à des illusions. Il y a quelque chose que j'aimerais vous montrer. C'est une Nébulosphère, une entité paranormale qui a la faculté de tisser des illusions. Et je crois que quelqu'un a libéré un grand nombre de ces entités dans le Manoir du désespoir ! Cela expliquerait pourquoi certains objets, y compris des armures, ont semblé disparaître ! Je dis bien " semblé ", car en vérité, ces objets sont toujours à leur place !
— Comment peut-on faire apparaître les objets ? questionna la jeune femme avec des bottes grises
— Pour nous aider à y voir plus clair, j'ai mis au point un accessoire unique pour l'Ectoblast 5000, fit-il. Je l'ai appelé le Révéloscope. Il permet de dissiper les illusions et de voir l'invisible. Cependant... Cet accessoire est toujours dans le laboratoire, et les fantômes sont trop agressifs pour que j'y retourne. C'est donc à vous que revient l'honneur d'aller chercher cet accessoire exceptionnel.
— D'accord, dit Luigi. Où... où... où est-il exact... exact... exact... exact... exactement ?
— Le Révéloscope devrait être posé sur son chargeur, indiqua le scientifique. Vous pourrez l'utiliser dès que vous l'aurez trouvé. Bien, je vous envoie sur les lieux. Allez, Crystal, Luigi, préparez-vous pour la Télépixelisation !

En une minute, les deux meilleurs amis se retrouvèrent dans le hall d'entrée. Ils se mirent debout, traversèrent le couloir avec les gardes qui faisaient tomber leurs épées, le grand hall et le petit vestibule. Au moment où ils se dirigeaient vers la porte qui menait vers le laboratoire, celle-ci disparut soudainement. Un rire se fit entendre. " Comment allons-nous entrer dans l'endroit ? pensa Crystal. Il y a un autre accès quelque part, non ? J'ai reconnu ce bruit ! C'est un Boo qui a fait ça ! Où est-il ? "
Elle fut sortie de ses pensées en entendant la vibration de la DS. Le frère de Mario sortit l'appareil. Le vieil homme interrogea :

— Est-ce que j'ai la berlue ? La porte du laboratoire a disparu, pas vrai ?
— Je confirme, acquiesça la demoiselle à la robe bleu marine. Elle a bien disparu.
— Je vois, dit-il. C'est sûrement à cause des Nébulosphères qui se trouvent à l'intérieur ! Elles vont tenter de maintenir cette illusion ! Hmm, je suis persuadé qu'il existe un autre moyen d'entrer dans cette pièce...

L'appel se finit à ce moment-là. L'homme à la salopette bleue et l'humaine qui pouvait donner vie à ses dessins se regardèrent puis continuèrent leur chemin. Ils retournèrent dans le lieu avec une fontaine. Ils commencèrent à monter les escaliers. Cependant, les escaliers se transformèrent en un tobogan, ce qui fit glisser le duo jusqu'en bas. Un Cache-Cacheur sortit de sa cachette, fit une grimace et alla trouver un autre endroit pour se cacher. Ils s'apprêtaient à fouiller la pièce avant de se faire interrompre par un Grobras qui surgit de la fontaine. Luigi et sa meilleure amie s'approchèrent de l'esprit rouge. Elle utilisa sa lampe de poche pour immobiliser l'ectoplasme puis il prit son aspirateur pour le capturer. Ils attrapèrent trois fantômes bleus qui s'étaient cachés respectivement dans une commode et dans un pot. Le dernier n'avait pas eu le temps de trouver une cachette. Les luminaires s'allumèrent signe que le lieu n'avait plus d'esprits en vue. Ils montèrent les escaliers, allèrent dans un couloir puis entrèrent dans le salon. Crystal fit signe à Luigi de regarder la cheminée. En effet, le feu de l'âtre s'éteignit et des boules blanches apparurent. Elles firent disparaître la pendule avant qu'un rire se fit entendre. Le duo se dirigèrent vers le foyer, s'installèrent sur les bûches avant de crier et de se trouver dans le laboratoire dont les lumières étaient éteintes. Les deux meilleurs amis virent le Révéloscope sur une table. Les deux meilleurs copains de la jeune femme aux cheveux blonds s'approchèrent du bureau blanc. Le frère du plombier rouge s'apprêtait à le prendre mais un Sacripon avec des lunettes de soleil apparut devant les deux adultes qui hurlèrent de peur. L'ectoplasme vert ria, prit l'objet et partit de la pièce par le tableau noir qui tournait. Le jeune homme aux yeux bleus s'approcha avec précaution vers le tableau puis utilisa son Ectoblast 5000 pour faire retourner le panneau, ce qui fit sortir l'esprit de sa cachette. Il aspira les lunettes solaires du monstre puis Crystal l'immobilisa. Luigi captura le fantôme vert. Deux Sacripons se montrèrent avant d'être capturer par le duo. Les lampes de l'endroit s'allumèrent. Le Révélescope atterrit sur une table noir avec une sorte de vieux projecteur. Le plombier vert prit l'ampoule puis le mit tout de suite sur l'appareil électroménager. La demoiselle à la robe bleu marine et son meilleur ami se tapèrent les mains avant que la DS vibra. Il sortit l'appareil. Le professeur Karl Tastroff cria presque :

— Crystal ! Luigi ! L'Occultographe ne détecte aucune trace de celui qui a libéré Nébulo... Attendez un peu ! C'est bien ce que je pense ?
— Nous avons le Révéloscope, dit l'humaine au sac à dos violet pâle.
— Beau travail, jeune gens ! s'exclama-t-il. Luigi, essaie-le en appuyant longtemps sur le bouton pour allumer la lampe ! Je suis sûr qu'il y a des illusions quelque part ici.
— Dommage que je n'ai pas cette option sur ma lampe torche, fit-elle. Ça nous permettrait de fouiller les pièces plus rapidement.
— Essaie de dessiner l'ampoule, proposa-t-il. J'espère que ça marche.

Il montra le Révéloscope à la jeune femme aux bottes grises. Celle-ci sortit son carnet et son crayon de son sac, fit disparaître la lampe de poche, dessina une lampe torche avec l'objet, rangea ses affaires de dessin dans son sac puis alluma l'objet. Elle appuya sur le bouton, ce qui changea la lumière blanche en les couleurs de l'arc-en-ciel. Elle souria. " Youpi ! pensa-t-elle. Aucune illusion ne m'échappera ! "
Ils testèrent la nouvelle fonction du luminaire et firent apparaître la porte, un coffre et une boîte. Ils sortirent du laboratoire. Ce fut à ce moment-là que l'objet électronique trembla légèrement, signe que le vieil homme appela le duo. Le plombier vert sortit la DS puis le scientifique félicita :

— Beau travail, Crystal, Luigi ! Vous avez réussi à mettre ces Nébulosphères à la porte !
— Merci, dit la jeune femme aux yeux verts.
— Hem, continua-t-il. Bref. Vous vous souvenez de ce rire sinistre, jeunes gens ?
— Bien sûr, confirma le jeune homme aux chaussures marron. Nous l'entendons à chaque fois que ces boules blanches apparaissent.
— Oui, constata K. Tastroff. Celui qui a libéré toutes ces Nébulosphères a l'air de bien s'amuser à nos dépens... L'Occultographe n'arrive pas à retrouver sa trace, alors je compte sur vous !
— Très bien, déclara-t-elle. Nous allons chercher le responsable tout de suite.

Le duo observa les couloirs et les pièces où ils étaient allés avant d'arriver dans le laboratoire. Ils firent apparaître des meubles manquants et parfois, ils virent des traces dans les murs qui s'étaient vraiment familiers pour les deux camarades. Crystal remarqua :

— La forme qui est sur le mur pour montrer qu'un fantôme est passé par ici, me rappelle quelque chose.
— Oui, c'est sûr.
— Les Boos sont de retour parmi nous ! C'est un Boo, le responsable. Allons le chercher !
— Euh... t'es sûr ? hésita-t-il. J'ai... j'ai... j'ai peur.
— Luigi, nous allons réussir à capturer ce fantôme. Je suis certaine ! C'est parti !

Ils allèrent dans le vestibule où l'ascenseur se trouvait, firent apparaître une porte, entrèrent et virent qu'ils ne pouvaient pas continuer leurs chemins parce qu'une énorme toile d'araignée bloquait la piste.

Un quart d'heure à chercher une autre issue pour aller dans la pièce où le Boo s'était cachés, Crystal et Luigi traversèrent un couloir et s'aperçurent qu'il manquait une entrée et que la clé était prisonnière dans un tableau. Le plombier vert ramassa le trousseau puis l'inséra dans la serrure de l'ouverture. Le frère de Mario et l'humaine qui pouvait donner vie à ses dessins, arrivèrent dans un endroit qui ressemblait à un jardin avec un coté avec une fontaine et un autre pour le potager et pour la balançoire. Ils firent apparaître une fontaine, une porte et une statue. Comme la sculpture avait une sorte d'hélice, l'homme à la moustache utilisa l'aspirateur. La statue s'éleva un peu et dévoilà une clé. La meilleure amie du plombier rouge et de la princesse ramassa le trousseau. Ils allèrent vers l'entrée qui se trouvait tout près de l'accès d'où ils venaient. Luigi inséra la clé puis poussa la porte. Ils entrèrent dans la cuisine où deux Sacripons et deux Cache-cacheurs les attendaient. Ils attrapèrent les fantômes verts, fouillèrent l'endroit puis capturèrent les deux autres esprits qui s'étaient cachés dans des placards. Les luminaires du lieu s'allumèrent. Le duo se dirigea vers le monte-charge. Crystal s'installa en premier puis se décala pour laisser de la place pour son compère.
Quand ils eurent fini de s'asseoir, le petit ascenseur monta brusquement, ce qui les emmena dans la salle à manger. Ils descendirent du monte-charge et observèrent la pièce. Lorsqu'il regardèrent à leur droite, ils sursautèrent parce qu'ils avaient vu un Boo. Celui-ci fit apparaître des petites boules blanches qui firent disparaître la table où des assiettes, des verres, des bouteilles, un chandelier, des couverts et des serviettes étaient posés sur la nappe blanche. Il ria avant de partir par une fenêtre. Crystal et Luigi profitèrent qu'il soit absent pour faire réapparaître le meuble.

Quelques secondes plus tard, le Boo revint. Il était enragé et se posait beaucoup de questions. " Pourquoi la table est-elle revenue ? pensa-t-il. Je l'ai fait disparaître pourtant ? Qui est le responsable ? "
Il observa à droite puis souria machiavéliquement en voyant le duo. Il s'avança vers les deux humains qui étaient sous le choc, avant de disparaître. Tandis que Luigi cherche à gauche de la pièce, Crystal fouilla à droite.
Tout à coup, elle tressaillit d'effroi parce qu'elle avait senti quelqu'un lui taper l'épaule. Elle se retourna et remarqua le fantôme blanc qui lui fit signe de le suivre tout de suite. Elle hésita. " Où va-t-il m'emmener ? se demanda-t-elle. Vers Roi Boo ? Quand même... "
Elle fut tout de suite sortie de ses pensées parce qu'elle avait perçu que l'esprit la poussa vers la porte puis lui fit signe d'ouvrir l'entrée tout de suite. Ils pénètrèrent dans de nombreux couloirs et pièces avant de se retrouver dans le jardin juste avant d'entrer à l'intérieur du Manoir du Désespoir. Lorsque la jeune femme à la robe bleu marine se retourna, elle vit beaucoup d'esprits blancs. Elle demanda :

— Qui est le Boo qui m’a fait sortir de la salle à manger ?
— C’est moi, répondit ce dernier. Boogie Woogie ! Babooin ! Boostade ! Booling ! Emmenez-la à l’endroit où sa Majesté se trouve ! Je m’occupe de distraire ce satané plombier vert.
— Vous allez m’emmener voir le Roi Boo ? comprit-elle.
— Oui, Crystal, dit Booling. Il n’arrête pas de parler de toi à tous les fantômes.
— J’ai cru que c’était la copine de la princesse Peach, fit Babooin. Celle qui porte une robe jaune.
— Non, ce n’est pas elle, dit Boogie Woogie.
— Hé ! s’énerva Booling. Aidez-moi à porter Crystal !

Les trois Boos arrêtèrent de discuter, puis obéirent à leur compère.