### Marc ###

Thalia était toujours d’apparence fragile, mais l’expérience m’avait appris que pour son travail, elle avait toujours pu distinguer l’important de l’accessoire. Maintenant couchée dans mes bras, elle sut que le danger était écarté. Elle allait pouvoir occulter l’épisode Luke et penser à un avenir plus serein.

Olympe tenait à la rassurer également. Sous mon regard, les deux femmes s’embrassèrent avec tendresse, j’avais l’impression qu’Olympe voulait initier ma secrétaire à des jeux qu’elles n’avaient jamais expérimentés. Très rapidement les mains d’Olympe défirent le haut de Thalia révélant pour moi le même choc que des années en arrière, lorsqu’elle se trouva pour la première fois dans mes bras.

Ses seins de taille plus modeste que ceux d’Olympe ou de Corina, étaient fermes au toucher et surtout très sensibles. Je glissai ma main de concert avec celle d’Olympe pour révéler les tétons érectiles de ma secrétaire, ce qui fit frissonner les deux femmes. Ma bouche chercha alternativement les lèvres des deux femmes, leurs goûts étaient différents mais fraîches à souhait.

– Oui ! Oh c’est délicieux Marc, j’ai des frissons jusque dans la plante de mes pieds ! Vos caresses ensemble avec Olympe me font déjà grimper vers le firmament. Je veux qu’Olympe dégage ton harpon et l’enfonce dans mon corps.

– Pas de précipitation ma jolie, avant d’enfoncer mon « harpon », il faudra d’abord nous protéger ! Tu devras encore continuer ainsi jusqu’au moment où on aura la certitude que tu es clean.

Olympe attrapa un blister dans la table de chevet et avec le concours de Thalia déroula le caoutchouc sur mon sexe. Après ce cérémonial, Olympe souleva le bassin de Thalia en écartant ses jambes. C’était trop tentant. Je la pris en levrette, sa tête coincée dans les coussins. Cette union me fit fantasmer et me replongea dans le passé.

– Oh Thalia ! ton couloir étroit est un délice. Olympe, ajoute tes doigts dans son vagin.

– J’ai une meilleure idée, dit-elle, je vais masser ta prostate, comme enseigné à l’école de médecine. Je commencerai doucement car au début mon doigt dans ton anus pourra te sembler un peu brutal. Mais je vais bien te lubrifier avec mon doigt.

Je grimaçai un peu au début, puis pris un plaisir inattendu. J’eus le sentiment que l’introduction de son doigt fit encore augmenter mon érection et durcir ma tige !

– Oh oui, Olympe, la bite de Marc me donne encore plus de jouissance ! Continue ton massage, je ne tiendrai pas longtemps, et je parie que Marc aussi va sombrer dans sa jouissance.

– En parlant de « sombrer » Marc, n’oublie pas de ventiler, comme t’a enseigné Iona !

J’eus encore la possibilité de pincer un sein de ma douce avant que le massage d’Olympe ne me donnât le coup de grâce. Je suivis à la lettre les recommandations de la cardiologue. Mon orgasme fut puissant, Olympe posa un doigt sur ma carotide pour sentir mon pouls. Durant les spasmes de mon orgasme, je restai conscient, mon « harpon » resta raide et Thalia gémit pendant que tout son corps ondula sous le plaisir. Elle retrouva sa respiration au bout de quelques minutes tout comme moi, et avant que quelqu’un n’intervienne elle se pencha sur l’intimité d’Olympe.

Je trouvai que Thalia s’affranchissait très rapidement et pendant qu’elle attaqua le bijou de la chirurgienne, je pris les seins d’Olympe que je savais sensibles. Olympe ne résista pas, elle appuya sa main sur la tête de Thalia, ses caresses buccales devaient être inattendues. Olympe prit avec sa main libre, ma main qui s’activa sur ses seins. Elle la mit devant sa bouche pour placer une sourdine sur ses cris de jouissance.

– Oh, Thalia, parvint-elle à dire quelques minutes plus tard, ta langue est aussi performante que les caresses de Marc. Je resterai bien toute la nuit ainsi dans vos bras.

Je me défis du préservatif, sous les yeux avides de ma secrétaire et le jetai dans la salle de bains attenante à la cabine.

Olympe regarda son amie et puis nous serra dans ses bras. Elle prit juste le drap de la couche pour nous couvrir tous les trois. Les deux filles se firent face pendant que je poussai mon engin entre les fesses de la chirurgienne. C’est dans cette position que nous nous assoupîmes.

**

### Iona ###

Le grand gaillard de Panos ne sut pas quoi faire lorsque je refermai la porte de la cabine derrière nous. De son propre aveu quelques heures plus tôt, je devinai qu’il me laissa l’initiative ce soir. Pendant le rangement des vivres, je l’avais assez bien émoustillé et sa verge bien longue pointait intensément dans son maillot. Je bavai à sa vue et plutôt que d’abaisser brutalement son maillot et découvrir son pic, je commençai à le masser sur le tissu. Au bout de quelques minutes j’estimai que Panos était à point et je défis son maillot, découvrant le sexe qui me faisait fantasmer depuis des heures. Effectivement sa taille était impressionnante et malgré sa longueur, il était raide comme un fer à béton.

Comme d’habitude, lorsque je couchais avec des inconnus, je lui mis un condom, puis le couchai sur le lit et je me mis debout jambes écartées pour me laisser descendre en douceur en pliant mes jambes. Mon vagin devait être bien lubrifié, je n’eus aucune difficulté à m’enfoncer profondément sur son mât.

Panos grinça de plaisir, il ne devait pas avoir baisé une femme depuis des lunes ! Mais j’avais beau y aller en douceur, au bout d’une série de va-et-vient, Panos ne put se retenir et éjacula précocement.

- Oh non ! nous criâmes de concert. Sans aucun doute à cause du plaisir écourté.

- Ce n’est pas grave, dis-je, on remettra cela au deuxième tour.

Après avoir éliminé le préservatif, constatant quand même que le réservoir était bien rempli j’entrepris de lui donner une nouvelle vigueur, d’abord à la main, puis en fellation, vu le manque d’enthousiasme de son épée. Malheureusement, malgré mon désir de le sentir à nouveau, mon traitement ne donna pas grand résultat. Lorsque j’eus finalement mal à la mâchoire, je vis qu’il était aussi déçu que moi.

J’étais profondément frustrée. Comme je ne fus toujours pas satisfaite, je me levai et dans le plus simple appareil allai toquer à la cabine où Alec se reposait seul. Il fut sans doute surpris de mon apparition et comme il se redressa, je pris son bras et l’attirai dans la cabine.

### Panos ###

Je râlai de déception en voyant Iona quitter la cabine. Elle revint quelques secondes plus tard entraînant Alec à sa suite.

– Je veux sentir deux bites dans mon corps, peu importe qui devant et qui derrière ! dit-elle.

Alec encore surpris ne fut pas long à se ressaisir et exhiba son engin qui se dressa sans complexe. Il prit l’option « derrière », tandis que je restai sur mon dos, Iona reprit la fellation. Mon sexe ne me laissa pas tomber cette fois-ci et se redressa pour mon plus grand plaisir. Sans tarder, Iona saisit une nouvelle protection puis me chevaucha. Mon sexe reprit une vigueur inattendue. Alec suivit les instructions de la cardiologue et pénétra l’anus de la doctoresse en douceur.

La cardiologue cria son plaisir sans retenue, car Alec une fois bien enfoncé dans l’orifice, entama un pilonnage qui fit vibrer mon engin dans le même rythme. Comme c’était mon deuxième rapport, je tins la distance et ce fut Alec qui lâcha sa salve.

– Reste Alec, c’est trop bon et toi Panos continue ! je veux jouir maintenant !

Alec ne perdit pas le Nord et il prit les seins de la femme et recommença son va-et-vient avec une nouvelle intensité. Iona eut un sourire de jouissance et se laissa emporter dans le maelstrom du plaisir. Alec et moi atteignîmes notre orgasme dans un cri bestial.

Je me retirai pour évacuer le condom tandis qu’Alec fît aussi un passage par le cabinet de toilette. Iona resta étalée sur la couchette et nous la rejoignîmes dans la même position que pendant le rapport.

Iona reprit conscience et chercha nos deux verges pour les caresser, ensuite elle rapprocha nos flancs pour mettre nos bites alternativement en bouche.

– Tu aimes ? demanda-t-elle à Alec.

– Oui, j’ai beaucoup apprécié, dit-il. La sodomisation m’est familière, même si habituellement je la pratique avec des hommes. Mais j’ai été surpris agréablement.

– Et la fellation ? demanda-t-elle encore.

– J’aime la recevoir aussi bien des hommes que des femmes. Les bouches sont les mêmes ! je ne refuse pas d’en donner non plus.

– Panos te fait envie ?

– Oui, d’autant plus qu’il est bien membré ! Mais ma préférence va quand même vers ce jeu à trois avec toi Iona, c’est nouveau pour moi !

NDA : c’est une première dans ce récit, j’aborde timidement il est vrai, une relation de deux hommes avec une femme. J’attends vos réactions…