Chapitre 19

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### Olympe ###

Lorsque Marc entra dans l’appartement, je lui criai que j’étais dans sa chambre où je l’attendais nue sur le lit.

- Nous avons rendez-vous docteur ? dit-il.

- Oui, répondis-je en ouvrant mes bras.

Il défit son pantalon et enleva sa chemise, la vue de son sexe dressé ajouta une dose à mon désir. Il me pénétra en douceur, mais mon vagin était trempé, il aurait pu me pénétrer en force tant la copulation était fluide.

- Je ne serai jamais satisfait de la vue de tes seins dit-il, cela me rappelle toujours la vue de ton corps lors de l’entretien d’embauche.

- Avoue que tu m’as engagée non pas pour mes compétences mais pour mes lolos.

- Oui, et je suis tombé dans le piège vu que tu avais laissé les boutons largement défaits pour que je puisse admirer ta poitrine. De plus tu étais compétente et je voulus te donner une chance de retrouver un poste de chirurgienne après la fraude du gestionnaire.

Tout en disant cela il poussa son pénis aussi loin qu’il put, je sentis qu’il toucha mon utérus ce qui amplifia mon plaisir car j’étais prête à jouir.

Marc sentit la contraction de mon vagin et il se répandit d’une abondante éjaculation.

- C’est Corina qui t’a excité autant ?

- Oui, elle voulut encore que je l’étreigne une dernière fois en souvenir de nos rapports passés. J’ai refusé de me perdre dans son piège et je suis rentré sans délai pour libérer la tension de mon bâton avec toi.

- Je suis contente qu’elle abandonne votre relation, je ne suis pas certaine que j’aurais pu la concurrencer. Marc, recommence mais plus fort, je veux te sentir entre mes jambes jusqu’à ce soir !

- À votre service !dit-il.

Il poussa sa verge dure entre mes jambes et perça le rideau de mes lèvres intimes. Lorsqu’il fut bien installé dans mon corps, je le basculai et profita de ma position dominante pour me laisser aller sur son bâton. Je voulus jouer sur son corps et lui montrai mes seins qu’il adorait. Je voulus tant jouir que je gardai une main sur mes seins en pinçant mes tétons et en descendant l’autre main pour titiller mon clitoris. Il comprit ma manœuvre et poussa ses doigts dans mon vagin en écartant un peu son pénis.

C’était trop fort et je hurlai mon plaisir pendant qu’il déversa son sperme sans limite, puis il me retourna à son tour et sans débander me soumit à son plaisir pour un nouvel orgasme. Après qu’il eut joui, Il empauma ma poitrine et enserra son chibre entre mes seins. Je parvins à le mettre en bouche brièvement à chaque fois qu’il fit glisser son sexe en décalottant son prépuce. À la fin, je pus le saisir fermement dans ma bouche et il comprit que j’allais planter mes dents doucement derrière sa couronne et il stoppa son mouvement.

Que c’était bon de goûter le jus de mon amant et maître !

- Oh Oly, oui je vais encore jouir ! cria-t-il.

Je recueillis sa salve, puis avalai tout ce qui resta dans ma bouche. Marc attendit encore un peu puis se dégagea pour s’écrouler à mon flanc.

Peu de temps après qu’il eut repris sa respiration, il mit ses mains autour de mes joues, il plaça ses yeux dans les miens en disant : « Pour ce soir j’ai mon compte mais je te garde dons mon lit. »

- Oui Marc, reste près de moi, se suis certaine que cette nuit ou demain matin tu pourras m’honorer à nouveau.

- Oui, j’espère bien Oly, puis on devra parler de ta nomination d’administratrice à la Fondation. Corina est d’accord de voter en ta faveur et je suis certain d’obtenir un avis favorable de la majorité des administrateurs présents. Tu prépareras un rapport des opérations que tu as effectuées pour les douze derniers mois et le nombre des enfants que tu as sauvés, n’oublie pas de mentionner les accidentés du bus.

- Oui, Monsieur le directeur dis-je en lui souriant.

- Je suis fier de toi Olympe, tu es le pilier central de la branche européenne de la Fondation. Bientôt nous ferons un voyage aux Etats-Unis où je te ferai rencontrer tes consœurs américaines, vous pourrez ainsi échanger vos idées sur la manière de sauver les enfants. Ici en Europe nous devrons encore élargir notre activité car trop d’enfants restent handicapés faute de sécurité sociale ne couvrant pas les opérations lourdes. Nous ferons cela avant que tu reprennes le travail.

- On ne sera que nous deux pour ce voyage ?

- Oui ma douce, cela nous permettra d’approfondir notre relation on fera aussi un tour à Tolo où la Fondation a acquis la propriété des parents de Lora. C’est un immense terrain d’oliviers et de vignobles que j’ai l’intention de convertir en centre de rééducation pour les enfants opérés.

- Tu as encore rencontré récemment Lora ?

- Non, depuis la soirée philanthropique de la Fondation je n’ai plus eu de contacts avec Lora. Je sais qu’elle opère pour l’association mais je ne l’ai plus croisée.

- Tu voudrais l’avoir dans ton lit ?

- Oly, serais-tu jalouse ? Lora n’a pas cherché à me revoir ni coucher avec moi, la sécheresse de son vagin ne l’incite pas à des rapports hétéro avec moi. Je préfère me limiter à une relation dans le cadre de notre activité professionnelle.

- Avant que je ne l’oublie Marc, pour aller aux States il me faudra un visa.

- Oui, je vais m’en occuper, la Fondation a des facilités pour régler cette procédure.

Après un sommeil réparateur Marc m’invita à une balade dans le quartier de l’Acropole. Je fus contente de me promener avec Marc, en fait je ne connaissais pas tellement la ville d’Athènes. Avant de travailler pour Marc je vivais à Thessalonique, ce n’est que depuis mon incorporation dans l’équipe de Marc que je vivais à Athènes.

Durant notre promenade, Marc reçut un appel de Thalia qui l’avertit que la demande de mon visa était encours et qu’on aurait un avis favorable dans quelques jours. Marc demanda aussi à sa demi-sœur comment allait son moral depuis la révélation de sa parenté. Marc fut rassuré d’entendre que Thalia avait assimilé sa situation.

### Marc ###

L’appel de Thalia me surprit, elle me communiqua que la demande de visa pour Olympe était en bonne voie. Sa voix était joyeuse et le lui demandai comment était son moral.

- Je crois que ça va mieux, je pense encore souvent à toi et à nos ébats mais je n’ai pas encore eu le courage de parler avec ma mère, j’attendrai que tu sois disponible pour qu’on aille ensemble parler avec maman.

- D’accord, contacte ta maman, on ira ensemble la semaine prochaine.

Après l’appel de Thalia, j’en parlai avec Olympe. J’avais l’idée qu’elle pourrait m’accompagner, car je voulais éviter un dérapage entre Thalia et moi.

- Oly, mon chéri, si je te demande de m’accompagner avec Thalia pour connaitre le fin mot de l’histoire de ma demi-sœur, accepteras-tu ?

- Oui, Marc à condition de ne pas retomber dans son piège. Thalia a de bons arguments pour t’attirer dans ses bras, voir dans son lit.

- C’est bien pour cela que je te demande de m’accompagner, dis-je, en la serrant tendrement contre moi.

- Marc, je sens ton érection, est-ce moi qui te provoque ou est-ce le souvenir de tes étreintes avec Thalia ?

Je pris Olympe par les épaules pour l’attirer dans une chambre de l’appartement. Je défis sa robe boutonnée dans le dos en passant mes mains sur les boutons, Olympe comprit mon désir et serra ma verge par-dessus mon pantalon.

- Marc, oh tu me fais envie dit-elle, je sens l’humidité couler entre mes jambes.

Elle défit brutalement ma braguette et libéra mon chibre et le porta à sa bouche. Je ne pus résister à cette caresse avec sa langue. J’étais fort excité mais je fus quand même surpris par mon éjaculation rapide, elle me garda néanmoins entre ses lèvres pour savourer mon jus et parvint à maintenir mon érection. Je libérai sa petite culotte et elle orienta ma verge entre ses jambes. Ce fut le signal pour un assaut en règle de son intimité. Je la couchai sur le lit sans nous désunir, Je sentis les crampes de son vagin et elle cria son orgasme contre mon épaule.

- Oui Marc, je suis convaincue que tu bandes encore en pensant à Thalia, dit-elle.

- Non, Oly mais sans doute dans mon subconscient j’ai encore des images qui y contribuent. J’ai réfléchi à notre voyage aux States, Lora pourrait nous accompagner, ainsi l’équipe chirurgienne sera complète et l’échange de votre expérience sera plus fertile.

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