Chapitre 20. La révélation pour Thalia.  Chaude étreinte avec Olympia

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### Marc ###

Comme promis, Thalia contacta sa maman pour une rencontre sans lui révéler le but de notre visite. Olympe nous accompagna, car je ne voulus pas que Thalia profite de notre intimité pour raviver notre relation.

Thalia pris l’initiative pour introduire le sujet sans lui révéler ma relation qui aurait pu devenir incestueuse.

- Maman, je ne vais pas tourner longtemps autour du pot mais Marc a trouvé des écrits de sa maman qui laissent penser que je suis née d’une relation que tu as eue avec Matthew, le père de Marc.

- Comment êtes-vous arrivés à cette information ? demanda-t-elle.

- Par les écrits longtemps restés confidentiels de ma maman lui dis-je, écrits qui se trouvaient dans le coffre de la maison de mes parents à Vathia et aussi dans un coffre géré par l’avocat de la famille. Nous ne voulons pas que cette information soit rendue publique vu que Thalia est la secrétaire de la Fondation et que j’en suis un des dirigeants.

- C’est une longue histoire finit-elle de dire, Je suis effectivement tombée amoureuse de ton père pendant une période où j’étais en rupture avec mon mari, cette relation a quand même duré quelque temps avant de me réconcilier avec mon mari. Au moment de cette réconciliation avant que nous reprenions nos relations intimes je découvris que j’étais enceinte. J’ai caché mon état pendant le temps de confier à mon mari que j’étais enceinte, ce qui fut pris comme le résultat de notre réconciliation. Je crois cependant que ta maman avait compris à la naissance de Thalia que le bébé n’était pas né avant terme comme je le prétendis. Pour me rassurer je fis analyser le sang de Thalia, le verdict que je n’ai confié à personne démontra que mon mari n’était pas le géniteur.

- Cette analyse n’est pas restée aussi confidentielle que ça dis-je.

- Non Marc, je ne l’ai communiquée à personne, à moins que le laboratoire ait divulgué l’information à ta maman. Nous avions gardé à l’époque notre relation secrète.

- Quelqu’un a dû avoir des soupçons, peut-être maman a déduit que vous aviez des rapports avec son mari.

- Donc je suis ta sœur ! dit Thalia.

- Oui, dit sa maman, mais à part qu’en cas de révélation tu pourrais réclamer une part de l’héritage de Marc, cela n’a pas d’autre conséquence. Pour cela c’est trop tard, l’héritage de Marc est clôturé depuis longtemps.

L’entretien n’eut pas d’autre suite, sauf que pour Thalia et moi la conséquence était bien plus grave, mais aucun de nous deux en révéla cette conséquence. Olympe aussi comprit la conséquence mais garda son bras fermement contre mon corps comme pour compatir à la révélation de ce secret.

Quelque jours plus tard, je téléphonai aux pilotes pour leur faire part de mon intention d’aller aux States. Ce fut Emily qui décrocha.

- Bonjour Marc, ça fait quelque temps qu’on n’a pas eu de tes nouvelles.

- Bonjour Emily, mon coup de fil avait un double but : prendre des nouvelles de votre maternité et planifier un voyage aux Etats-Unis pour rencontrer les membres de la Fondation.

- Oui Marc, le ventre de Bessie commence à montrer un léger arrondi, mais son envie de sexe avec toi ne se calme pas, je suis un peu jalouse.

- Emily je te rappelle le contrat que nous avons signé, mais Bessie pourra toujours recevoir des câlins… j’appelais aussi pour connaître les dates de possibilités pour un vol aller-retour aux states avec u séjour d’environ une semaine sur place.

- Il n’y a pas de problème, nous n’avons aucune réservation. Le plan de vol peut être établi dans la journée.

- D’accord prévoit alors un vol aller début de la semaine prochaine, nous serons quatre : Olympe, Thalia, Lora et moi.

- C’est toute l’équipe médicale de la Fondation.

- Oui c’est la première fois qu’on va organiser une rencontre de la branche américaine avec celle d’Europe.

En préparant nos bagages, Olympe profita de nos derniers moments d’intimité pour s’accrocher à mon cou et se serrer contre mon ventre.

- Oh mon doudou, dit-elle, j’ai envie de toi ! comme il n’est pas certain qu’on ait beaucoup d’occasions durant le voyage, je voudrais que tu me ramones vigoureusement avant de partir !

- Oui, ma chérie, nous avons encore toute la journée !

- Je sens déjà ton harpon tout raide !

Prestement elle défit ma ceinture et descendit mon pantalon, elle agrippa ma verge et commença une masturbation très lente, je suppose qu’elle ne voulut pas que j’éjacule trop rapidement.

Je soulevai sa robe qui me révéla sa nudité sous sa robe, sans aucun sous-vêtement. Je fis passer sa petite robe par-dessus sa tête et la couchai sur le grand canapé. Olympe était vraiment en chaleur ! Elle saisit mon chibre pour le présenter devant son vagin. La pénétration fut divine et elle fit onduler son corps sans interruption.

Je ne pus résister, je tins ses hanches puis remonta à ses seins, je pinçai ses tétons ce qui déclencha son orgasme. Je pus me laisser aller dans une éjaculation phénoménale. Je dus maitriser ma respiration suivant les conseils de la cardiologue et me couchai à ses côtés.

Mais Olympe ne voulut pas encore s’arrêter. Elle prit mon bâton en bouche pour lécher le jus mélangé de sperme et de cyprine, puis partagea le contenu de sa bouche avec la mienne. Comme je ne débandai pas elle put remettre le couvert mais cette fois elle resta dominante. Je vis le spectacle grandiose de ses seins agités par ses coups de butoir. Je parvins à les saisir et repris l’excitation de ses tétons jusqu’au moment où elle cria son plaisir. Le resserrement de son vagin autour de mon sexe fit le reste et je la rejoignis dans son plaisir. n

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