Restant une vingtaine de secondes à fixer son énorme front rouillé qui prenait tout son champ de vision, il ne remarqua pas directement que la statuette le fixer de ses yeux creux. C’est lorsque la jeune fillette d’environs sept ans, commença à bouger la tête et la tournée tel un serpent qu’il remarqua que ce n’était pas le ciel. Il vît ses dents crochues remplis de sang sur le point de le morde. Dans une poussée d’adrénaline il ne fit pas cas de sa douleur et, prit ses jambes à s’en cou, il courut à toute vitesse en direction d’une pente aride.

Il avait beau essayer de s’échapper et de courir de toute ses forces, ils sentaient sa présence derrière lui, il entendait encore son socle gronder contre le sol en pavés de pierres, la pente était si rude qu’il non voyait pas la fin, il avait l’impression de faire du surplace, sa respiration s’accélérait, des idées noirs et lugubre, tel que la mort ou rejoindre l’au-delà sonner dans sa tête, bientôt il sentait la fin arriver.

Mais c’est dans un dernier espoir qui doubla d’efforts et courut plus vite, il tourna avec rapidité et à bout de souffle dans une petite ruelle très peu accueillante à sa gauche, il s’arrêta, tomba à terre, et repris petit à petit son souffle, il se leva part la suite, puis guetta le palier de l’étrange magasin de boutique.

Après 15 minutes de course intensive, le blondinet regarda le tapis brun touffu remplis de poussière, puis, il observa l’étrange porte, en métal noir, avec une fenêtre qui montrer sur l’intérieur.

Le nom du magasin était affiché en grand sur la vitre et la calligraphie était faite avec une belle ligature, les lettre était fine à leur extérieur et épaisses à leur intérieur jouant une parfaite harmonie avec les pleins et les déliés, la calligraphie pencher néanmoins du côté gauche et la couleur de l’or accentuer ce côté fin, chic et soigneux : « Les apparences du monde enfouit » S’afficher sur la vitre, les mots se superposer les uns après les autres, de sorte à former un monde.

Après avoir lu ou il se trouvait, il prit la poignée de porte avec douceur et ouvrit délicatement la porte en sautant part dessus le tapis.

Une petite cloche retentie, indiquant à la personne responsable de la boutique qu’un nouveau client était arrivé.

Il regarda en face de lui, et il fixa le long et étroit couloir, il observa le sol lisse et noir avec des dessins dorés sous ses pieds, le parquet était si agréable qu’il avait l’impression de marché sur un neuf trampoline. Le plafond était si haut, qu’il se sentait comme une petite fourmi sous un graticiel, au centre de celui-ci se trouver une boule de terre beige qui tourner d’un quart de tour avant de changer de côté. Il marcha en sa direction, tous en regardant du côté droit ou il découvrit de multiples meubles remplis de livres, ils semblaient s’étendre jusqu’à l’infini, le côté droit était symétrique au côté gauche.

Il scruta alors les rangées de chaque bibliothèque semblant chercher quelqu’un dans ce vaste endroit, le magasin empester le vieux bois et les livres anciens. Ses pas raisonner à chaque fois qu’ils claquaient contre le sol. Puis arriver à sa destination il fit pris de panique lorsqu’il entendit une voix hurler :