• Yan ?! Yan ? C’est toi, mon grand ? hurla un homme en entendant les pas de Marlow.
• Non M’sieur, c’est Marlow, Marlow Mortimère, se présenta le héros.

D’un pas lent et lourd, Marlow se rapprochait de la personne, il boitait et se tenait le ventre, la douleur l’accablait, on aurait dit un zombie dans une usine hanté. Les effets de l’adrénaline s’estomper petit à petit. Lors de sa course, il avait fait un faut mouvement et c’était bloqué le genou gauche.

Il continua sa marche en titubant et tomba sur le vieux Hennry Ronsonne. C’était un vieil homme d’une soixantaine d’années, assez gras souillard. Son ventre était si imposant qu’il cachait ses petites et fines jambes.

Il portait sur lui, un gilet noir avec des boutons doré sur les côtés. Il avait une chemise blanche et un large pantalon de style écossais. Il accentuait son regard fin et mystérieux sous de petites lunettes rondes, positionné légèrement plus bas que la moyenne. L’épaisse moustache qu’il avait lui arriver jusqu’à ses clavicules. L’homme souffrait à son âge d’une forte calvitie, seul restait ses cheveux bien présents sur les côtés, sa touffe était grisâtre.

• Lign... Marlow ? souffla l’homme, en prenant conscience de qui était entrer dans sa vieille boutique. Il donna un ordre à une machine qui prit le bouquin, grâce à un bras artificiel puis, il le rongea, alors qu’Hennry commença à marcher en direction de Marlow.

Par la suite, Hennry entrepris une marche dynamique et impatiente. Il arriva vers son client, il le prit dans ses bras, avant de le porté et de le faire tourner tel un tourniquet.

• Argh ! Tou... tout doucement m’ssieur chuis pas aussi co...staut que j’en ai l’air, informa Marlow étouffant dans les bras de l’homme.
• Qu’elle bon vent t’amène ? demanda l’homme en le reposant à terre.
• À vrai dire... j’essayais d’échapper à la statue et je me suis retrouvé là, sort gêner Marlow en se frottant l’arrière de son crâne alors qu’il restait assis sur le sol.
• Eh moi qui pensait que tu t’étais enfin décidé à être plus intelligent, grommela l’homme en riant.

En entendant la déclaration de Marlow, Hennry le regarda. Son nez comme à son habitude était recouvert d’un sparadrap brun, ses cheveux étaient de couleur blond cendré clair, une couleur qui malgré les apparences étaient celle d’origine.

Il portait toujours une paire de lunettes Steam punk sur la tête, un ustensile qui avait trois à quatre verres, en prime d’avoir une protection contre les projections de la soudure.

Il s’en servait pour réparer les engrenages des horloges, des boîtes à musiques et tous ce qui pouvaient contenir un mécanisme élaboré.

Le jeune blondinet adorait, crée de nouveaux engins, qui pouvait servir à la vie quotidienne des citoyens de son village.

Il portait une chemise blanche et une veste plus grande que lui, lui arrivant à ses cuisses de couleur noir, sans parler de son large pantalon, qui faisait tenir grâce à une corde autour de sa taille, la corde était vieille, tellement du reste qu’elle s’usé au fur et à mesure qu’il l’utiliser, elle restait fripée.

• Qu’est-ce que tu t’es fait à l’œil et au ventre ?? C’est... C’est Yan qui t’a tapé ? demanda l’homme soucieux, tous en continuant son travail.
• Hein ? De quoi... vous parlez ? rétorqua Marlow en gesticulant et hurlant de gêne.
• Tu pisses le sang abruti ! Si tu continues comme ça tu vas clamecer ! hurla aussitôt Hennry.
• Qu... Quoi !!! Je pensais que ça c’était arrêter depuis, brailla à son tour Marlow, en voyant sa chemise mal repassée déchiré vers le nombril et remplit de sang, il retira sa veste et enleva sa chemise restant avec son pantalon noir.
• Eh ! Mais c’est que tu pourrais en faire tomber plus d’une avec ce corps d’attelet, complimenta Hennry qui partit dans ses rayons.
• Vous… vous pensez ? demanda Marlow en hurlant dans la bibliothèque.
• Cri pas dans la boutique, comme un hystérique tu veux ! Tu vas faire fuir tous mes clients !
• Pff, vu le peu qui on a, pas sûr que c’est moi qui les faits fuir ! pensa Marlow en regardant de côté.

Alors que le jeune homme, se retrouvait quasiment tout dévêtu, ses épaules étaient très bien taillées ainsi que ses biceps, son pectoral était mis en avant, le haut de son corps former un V, ses hanches étaient fines, mais le pantalon qui porter le mettait en avant. Il avait beaucoup transpiré, tout son corps était trempé ajoutant une brillance sur sa peau légèrement dorée.

Le plus âgée revenu avec un linge chaud et une bande, qu’il passa contre la cicatrice, cette blessure étaient en réalité de nombreux trous, provoquée à cause de poings américains taper à de multiple reprise en bas de son ventre, il encercla alors le bas de son ventre pour le recouvrir de cette bande.

Hors-mi, cette plais, le corps de Marlow restait sévèrement bleuté du au nombreux coups, certaines parties de son corps notamment ses flans étaient noircis dû aux coups reçus à de nombreuses fréquences.

• Tu es vraiment un abruti complet ma parole ! Franchement ! Tu vas encore te laisser te tabasser comme un vulgaire animal ou tu vas enfin te décider à te défendre ? Ah ce stade tu vas finir par mourir ! J’ai honte de toi ! gronda Hennry en finissant de mettre la bande.
• Aïe... aïe ça... ça pique ! Ce ne serait pas l’idéale ? Payer ma dette, ça serait parfait, j’en peux plus… j’arrive plus à vivre, je culpabilise à chaque fois que je respire, ça m’écœuré je… je me sens mal ! J’en peux plus c’est beaucoup trop dur de vivre en sachant ce que j’ai fait, avoua Marlow, au bord des larmes.
• Oh ! tu me fais quoi là ? demanda Hennry. Tu es responsable de rien Marlow tu m’entends ? Eh ! Arrête de te culpabiliser pour ça ! répliqua sur un ton dure le plus âgée tous en se redressant.
• Si on me tabasse à longueur de temps, qu’on me crache dessus, et qu’on veut me tuer, c’est qu’il y a bel est bien une raison vous ne pensait pas M’ssieur ? rétorqua le blondinet en criant.