Le bibliothécaire 3

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Au même instant, la porte de la bibliothèque s’ouvrit, laissant le froid recouvrir toute la pièce. Les bougies murales, s’affaiblissaient avant de s’éteindre. Des pas à peine audible raisonner contre le sol, une personne était dans la bibliothèque. C’était une jeune femme, aux cheveux cuivré attachés en queue de cheval, ses yeux étaient de couleurs noisette, elle était habillée en collégienne :


  • Bonjour monsieur Hennry, c’est Aïda ! Je... je suis venue vous rendre les livres que je vous avais pris, il y a de cela deux semaines, informa l’arrivante, qui regardait les livres qui l’encerclait. Elle marchait en direction de Marlow et Hennry, tout en se déplaçant en zigzaguant dû aux nombreux livres qu’elle portait, qui lui boucher la vue.
  • Tu peux venir ! cria l’homme.
  • Chute ! il ne faut pas crier dans la bibliothèque, informa Marlow en fixant Hennry.

L’homme le regarda d’un mauvais œil, puis se mit à rire.

En marchant en direction de la voix, Aïda tomba nez à nez avec le corps semi-dévêtu de Marlow, elle commença à rougir en voyant la musculature de l’héro, avant de faire tomber trois à quatre livres sur le sol.


  • Cela n’est pas un endroit pour exhiber ton corps ! placarda Aïda en regardant le vieil homme.
  • Bah si tu t’exhibée également, je me sentirai moins seul, Oh la gourde, chuis beauf mais vraiment beauf ! se défendit le blondinet.
  • Dé...désolé ! Je ne savais pas que vous avez un client ! Je repasserai un... une autre fois si vous voulez ! informa Aïda en bégayant et en reprenant les livres à terre avant de les poser sur une table en bois à sa gauche. Elle sentait le regarde de Marlow, qui scannait le moindre de ses faits et geste.
  • Ne ton fais pas ! Ce n’est pas un client important, on ria Hennry.

Frustré part la réponse d’Hennry, le jeune homme, rouge de colère et ne put qu’hurler :

  • Comment ça pas un client important ? Figurez-vous, que je suis venu ici dans le but de vous empruntait ces vieux machins fait avec de papier ! répondit en hurlant Marlow, avant de rire en voyant qu’il ne savait pas comment cela s’appelait.
  • Ça s’appelle un livre, informa Aïda toute timide en s’approchant de Marlow.
  • Tu vois, t’es pas crédible deux minutes ! J’ai honte de t’avoir comme p’tit fils Marlow ! répliqua le vieil homme.

Alors que les deux hommes se disputaient, la femme les interrompu et leur dit :


  • Celui à qui tout le monde veut sa mort est de votre sang ? souffla sidérée la jeune femme, avant de fixer les yeux vert pastel de Marlow.

Elle s’assit par la suite sur un long banc à sa droite, puis elle fixa les bouquins qu’elle venait de poser. En essayant de retrouver ses esprits, elle ouvrit l’un des tomes et commença à lire un passage pour essayer de reprendre ses esprits.

Marlow se mit à la hauteur de la jeune femme, puis il prit sa main et lui dit :


  • Ça... ça va ?

Face à sa réaction Aïda prit peur, elle écarquilla les yeux avant de fixer les pupilles de Marlow et lui envoya un regard froid, puis sans vraiment savoir pourquoi, elle lui donna une violente claque à travers la face.


  • Aïe... Aïeeeeuuuux ! sorti Marlow à terre.

Aïda vu, alors la blessure récente sur le ventre de Marlow, elle s’excusa et alla en face de l’homme, elle le plaqua contre le sol et ce mit sur lui, avant de poser ses deux mains sur la plaie situer sur son nombril. L’homme hurla car sa blessure était profonde, puis alors que la jeune femme ferma ses yeux de biche, des flammes vert et violet se projeta dans tout le pectoral de Marlow.

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