Au grand départ 6
Marlow qui s’était assis sur l’une des chaises en bois de sa salle à manger, se releva, il longea le couloir vertical de sa maison et partit ouvrir la porte. Là, où il tomba nez à nez avec son cousin, essoufflé, énervé, le bras dans une attelle.
- Elle est où ma salope, elle est chez toi ? demanda aussitôt furax Yan qui fixer de ses yeux bleu vif, Marlow, tout en tentant de pénétrer dans la demeure.
- De qui tu parles ? rétorqua calmement le héros.
- Ma copine ! Elle est chez toi ? Tu l’as baisé, c'est ça ? T’as posé tes grosses pattes dégueulasses sur mon trésor, tu l’as fait jouir ? De toute façon, elle n'est bonne qu’à ça ! Se faire baiser comme une chienne ! À écarter les jambes et à recevoir des tonnes de bites dans tous ses trous, gueula dans le couloir, Yan hors de lui.
- Yan, je vais le répéter une seule et unique fois, Aïda ou Sophia, bref, appelles-la comme tu veux ! Elle n’est pas chez moi, maintenant tu te casses de chez moi et va taper dans un sac de frappe, ça va te calmer les idées de merde que tu as ! ordonna aussitôt Marlow qui commença à perdre son sang-froid.
- Je suis sûr qu'elle est là, elle a sûrement voulu chevaucher une autre queue pour m’insulter !
- Mais arrête de la traiter comme une pute ! Je ne sais pas ce que tu as contre elle ou ce qui s'est passé entre vous deux, mais arrête de l’insulter, respecte là un minimum, c'est ta meuf ou un chimpanzé ? Tu l’aimes, n’est-ce pas ? Alors pourquoi tu la traites comme un objet ? s’énerva aussitôt Marlow qui poussa son cousin doucement pour le faire revenir à la raison.
- Cette salope m’a quitté après notre combat, je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas ce que j’ai fait pour mériter un tel rejet, avoua en larmes Yan.
Aussitôt les dires de Yan prononcés, Marlow vit rouge, il lui donna un fort coup de poing dans la face :
- Rassure-moi ? Tu te moques de moi, hein ??? T’AS ESSAYÉ DE LA DÉFONCER À DE COUP DE POING AMÉRICAIN, ESPÈCE DE DÉGÉNÉRÉ, c’est en aucun cas parce que t’as perdu un stupide combat de merde qu’elle sait barrer et encore moi parce que c’était moi la personne qu'avec qui tu te battais ! Non, elle s'est barrée parce que t’es… un putain de taré ! Yan, Aïda a dû se sentir menacer et ont insécure lorsque t’as fait ça... ou je ne sais quoi, elle s'est toujours sentie rassurée dans tes bras, t’aurais dû voir comment elle te regarde, comment elle parlait de toi... mais t’as merdé frérot, je suis désolé de te l’admettre, mais tu lui as foutu les boules, c’est pas par ma faute si elle est partie Yan, encre-le dans ton crâne, bordel, t’es encore plus hystérique que moi ! expliqua aussitôt Marlow qui ne contrôlait plus sa colère et octroya une tourniole à son cousin.
Dû au coup, Yan se retrouva au sol, il se releva et se plaqua contre le mur derrière lui, Marlow s’avança d’un pas lourd et déterminer vers lui, il a perdu tout sent de la raison, aussitôt en face de son cousin, il donna un violent coup de poing, à côté du visage de Yan. Le mur format la taille de son poing avant de laisser tomber quelques morceaux de cloisons sur le vieux carrelage aux motifs bruns du bâtiment.
Il revenu sur ses talons et cria :
- Ne la traite plus jamais de salope ! Son poing droit restait marqué par le coup, du sang sorti et coloria sa peau, son sang coula sur les dalles.
Face à la réaction peu ordinaire de Marlow, Yan se laissa tomber contre le sol, prit de panique, il regarda son cousin rentrer dans sa demeure et le laissa attrister et débiter sur le sol.
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