La symphonie des météores
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C’est l’heure si leste qui lance l’ère à venir
Ces leurres célestes qui tancent l’air d’avenir
A ces deux météores qui, sans tête, amerrirent
Assez du météores qui s’entête à mourir
A mi-lieu du chaos, traquant les fosses où rire
Au milieu des cahots, troquant les faux sourires
Dès lors, or ! Astre à terre ! Nés, embrassant les chœurs
Dès l’aurore, astre à taire, néant brassant les cœurs
Ici, seuls, l’âme mitée, au frais d’comptes amarrés
Et si seule l’amitié offrait conte à narrer
S’aimant, sans sous venir, car l’important l’autre.
Semant cent souvenirs, car l’un portant l’autre
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