Ariston et ses échéances
Ariston, pressé par des délais plus serrés que jamais imposés par Transakin, se trouvait dans une situation délicate. Il était contraint de respecter ces échéances sous peine de voir son financement compromis pour son projet ambitieux de rénovation du jardin municipal. En tant que seul architecte d'intérieur de la cité, la moindre escadrille de sa part aurait terni sa réputation, déjà bien établie auprès de clients satisfaits de son travail.
Conscient de l'impact potentiellement dévastateur sur sa carrière, Ariston se dirigeait vers le chantier où les ouvriers l’attendaient. Il devait leur annoncer que les travaux devraient être accélérés, une tâche difficile dans l'attente du verdict concernant la mystérieuse relique découverte. Les ouvriers, reconnaissants de pouvoir compter sur la probité d'Ariston, réfléchissaient à la meilleure façon de faire face à ces nouveaux défis.
Ahlipo, le porte-parole du groupe, se rendit dans le garage transformé en atelier par Ariston, une initiative motivée par le besoin de préserver l'intimité de sa fille depuis la disparition de sa mère. Ariston, dévoué à sa fille unique, accordait une importance particulière au soutien qu'elle lui apportait, notamment lorsqu'elle esquissait des projets sur une simple nappe de table.
Les ouvriers, conscients de l'incertitude à peine voilée sur l'avenir d'Ariston, étaient prêts à dépasser leurs propres limites pour l'aider dans la quête de préservation de son aura bienveillant. Une détermination, témoin de la solidarité au sein de l'équipe, prête à affronter l'inconnu pour soutenir leur architecte dans cette période délicate.
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