Au sein de la turbulence quotidienne de son état psychique, Ariston, architecte habile, se trouvait en proie à une dualité, imprégnée profondément. D'une part, la sagacité dans sa main le poussait à poursuivre sans relâche son travail et luttait contre l'envie irrépressible de ses envies irréfrangibles, avec ses moyens de bord. D'autre part, la réalité l'obligeait à jongler entre deux mondes : le projet ambitieux des monuments du nouveau parc municipal et des alentours et les obligations envers sa clientèle privée. Un équilibre précaire s’envisageait, où il semblait mettre toutes ses billes dans un seul panier, et Ariston risquait l'épuisement de ses ressources physiques et émotionnelles.

Pourtant, la résilience d'Ariston face aux aléas de sa triste condition ressortait comme une lueur d'espoir au milieu des choix difficiles à faire. Son quotidien était hanté par une addiction dévorante et une nervosité palpable envers Transakin, le maire et son employeur principal. Malgré ces défis, Ariston puisait une force intérieur hors du commun pour créer des intérieurs enchanteurs pour sa clientèle et chaque projet devenait une toile où il exprimait son art avec dévotion et addiction passionnée.

L’un de ses clients Monsieur Préludo, un commerçant dévot, entrait en scène et apportait avec lui une nouvelle trame pour Ariston et sa fille. Son souhait : rénover l'intérieur de son magasin de sa paroisse pour offrir aux fidèles, dont la valeur intrinsèque est indéniable, un sanctuaire de confort. Ariston, toujours prêt à relever de nouveaux défis, accueillit cette demande avec bienveillance. "Ne vous en faites pas, votre dossier sera examiné par ma fille. Que souhaitez-vous comme intérieur, un petit souhait particulier ? Je le mettrai dans le dossier," assurait Ariston d'une voix empreinte d'engagement.

Monsieur Préludo dévoilait ses aspirations et imaginait des espaces stratégiquement agencés, le parterre remis à neuf, des décors plus impactant sur le bien-être des paroissiens, et un comptoir accessible sans entraver leurs achats.