Les enfants d'Ariston, dotés d'une intelligence exceptionnelle, apprirent de leur père que les travaux avaient repris, et ils en furent soulqgés pour diverses raisons. Malgré le fait qu'Ariston fumait toujours abondamment, une de ses qualités notables résidait dans la direction de la cible qu’il atteignait avec une éloquence particulière dans ses interactions.

Rarement, Ariston se laissait emporter par la colère envers son personnel et préférait les considérer responsables de leurs actions. Il croyait fermement que les individus importants dans le métier, comme les ouvriers, méritaient d'être traités sur un pied d'égalité, tout comme un homme tel que Transakin. Bien sûr, il reconnaissait la difficulté d'accorder autant de crédit à ceux qui ne possédaient ni richesse ni renommée, mais Ariston se distinguait en tant que météore solitaire parmi les penseurs éminents de la cité de Chachatan.

Son fils Ernestor le complimenta chaleureusement par téléphone et disait dans des propos de félicitations: "Bravo, papa, tu démontres une fois de plus que ton aura, bien que diminuée par ton tabagisme, a encore de beaux jours devant elle." Ariston répliqua avec humilité, "Merci, mon fils, pour ces éloges. L'essence de la vie réside dans l'amour que tu offres à autrui. Certes, les liens familiaux sont plus forts, mais n'oublie jamais de traiter ton prochain comme tu aimerais être traité. Puisses-tu tirer des leçons de tes propres aventures."

Conscient de l'ampleur considérable de son œuvre, Ariston demanda à sa fille Vérphunia: "Ne ressens-tu pas de fierté pour ton père ?" Elle répondit avec une sincérité éclatante, "Oui, papa, je ressens une immense joie. Je suis particulièrement honoré de ce que nous offrons aux habitants de la cité. Ce parc restera le témoignage magnifique de ton génie pendant de nombreuses décennies à venir."