Le soleil déclinait dans le ciel et peignait des teintes chaudes sur la façade de la maison familiale. Ariston, après avoir félicité ses ouvriers et son maître d’œuvre, fut rejoint par son fils Enestor en cette fin d’après-midi paisible.

Enestor, laissani sa femme vaquer à ses occupations domestiques à Liz MArgeles, s'approcha de son père près de la porte d’entrée. « Papa, comment te sens-tu ? As-tu réussi à surmonter cette lutte contre l'addiction ? » Ariston, le père conciliateur, répondit avec une sincérité touchante : « Non, mon fils, mais je m’active pour me délivrer du joug du tabac. Je trace ma voie. Au commencement, je t'ai sollicité pour tes conseils. Malgré cela, j’ai continué à fumer. Toi, tu as réussi à arrêter. Chacun est différent, et pour moi, dans la cinquantaine, la lutte est plus ardue. J'ai besoin d'un défi unique. Si je triomphe, sois assuré, tu seras le premier informé. »

Ernestor, préoccupé, répliqua, « Bien, papa, mais comment envisages-tu de réussir sans renoncer fermement à cette essence ? »

« Viens, mon fils, entrons à l’intérieur, je vais tout te dévoiler. » Les deux compères pénétrèrent dans la maison, se dirigeant vers la cuisine.

« Je suis en train de percer les secrets de mes envies. Une fois compris, je serai enfin libre. Actuellement, la bataille est difficile, mais demain marque le début d’une avancée majeure sur cette addiction. » Ariston parlait avec une assurance qui touchait le cœur.

« Bien, papa. Ma sœur m'a parlé de tes projets. Comment se déroulent-ils ? »

« J'ai des hauts et des bas, mais je salue l'engagement remarquable de mes collaborateurs. Et toi, comment va le côté professionnel ? »

Enestor reprit, « Tout se passe bien. Je travaille à l'extension de nos salles de jeux. Nous envisageons d'ajouter de nouvelles offres, dont une évaluation actuelle implique un forfait pour l'utilisation de nos machines à sous. Une fois ce seuil atteint, le client ne peut plus jouer jusqu'au mois suivant. »

« D'accord, honoreras-tu de ta présence le dîner ce soir ? » demanda Ariston, la fierté brillant dans ses yeux, satisfait du succès de son fils. Il alla trouver sa fille pour lui demander de préparer trois assiettes, et pendant que sa fille s'activait aux fourneaux, il profita de l'occasion pour savourer une cigarette.