Se faire transplanter une charrette d'émotions positives
Sa fille, préoccupée par ses problèmes de sommeil agité liés au tabagisme, le persuada de consulter son médecin de famille. Ariston suivit ce conseil et se trouva devant le cabinet du médecin, et observait les autres patients autour de lui avec une perspective positive. Convaincu que sa condition n'était pas aussi grave que celle des autres, il se sentit encouragé.
Le médecin le rassura après un examen approfondi et prescrivit un médicament à base de plantes pour améliorer son sommeil. Ariston, reconnaissant, exprima son intention d'arrêter définitivement de fumer. Il expliqua que son esprit avait besoin d'émotions pour vivre, et il avait décidé de ne plus être le pompier ou la cheminée de service.
Le médecin approuva sa décision, et soulignait l'importance de vivre sainement pour éviter une détérioration brutale du corps. Ariston, conscient de cette réalité, remercia le médecin et s'engagea à suivre le traitement prescrit.
Les jours passèrent, et Ariston réussit à réduire sa consommation de cigarettes. Grâce à la magie du cube qu’l tenait dans sa main pour éprouver des émotions positives et à sa détermination, il évaluait maintenant sa dépendance à seulement 4 sur 10. Cependant, il réalisa qu'il alimentait encore sa dépendance par des petites récompenses dont la volonté d’Ariston faiblissait car il ne voulait pas s’auto-enfermé dans une dépendance matérielle pensait-il.
Ariston décida de faire une pause pour comprendre et analyser le processus qu’il avait mis au point. Il admit être encore un fumeur tant que l'envie persistait. Pour surmonter ces envies, il récapitula les bonnes conduites à adopter, et se concentrait sur la canalisation des émotions positives dans son "cube mental", remodelé pour plus d’efficacité. Il lui restait à canaliser ses émotions positives ou récompenses mentales sous forme d’image de confort absolu par l’intermédiaire de son cube. Il comprit, en effet, que ses douleurs physiques étaient souvent le reflet de ses douleurs psychiques et décida de guérir ces dernières quand il aurait usé toute sa force intérieure dans des pensées créatrices d’émotions
Cependant, il reconnut la complexité du processus et la nécessité d'adapter son cube mental aux différentes origines de ses maux. Il expérimenta la combinaison de douleurs avec des sensations positives mais réalisa qu'il devait être plus constant dans son rituel pour maintenir sa motivation.
Ainsi, Ariston poursuivit son voyage vers une vie sans tabac, conscient des défis mais déterminé à les surmonter avec persévérance et introspection.
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