Les engagements politique de Transakin: Ariston dans une position favorable
Après avoir surmonté les douleurs de la séparation causée par le départ d'Enestor, nos protagonistes s'engouffrèrent avec détermination dans leur salle de séjour, et portait en eux la résilience, valeur atemporelle de la famille.
Soudain, dans l'éclatante lumière de l’ après-midi baignée de soleil, le téléphone d'Ariston retentit et émettait une sonorité vibrante. La voix puissante de Transakin retentit et Ariston le prit de court: "Bonjour, Monseigneur! Quelle agréable surprise que votre appel en ce jour radieux. Que puis-je faire pour vous?" Transakin, le maire éminent de Chachantan, répondit avec solennité : "Nous devons discuter. Demain, 9 heures, à ma résidence. Au revoir."
Ariston, imprégné d'une inquiétude face à l'urgence perceptible dans la voix de Transakin, fit immédiatement appel à Adhipo : "Bonjour Adhipo, pourrais-tu accompagner Monsieur Préludo dans les travaux de rénovation à ma place ? Je ne pourrai pas être là. As-tu bien assimilé le plan ?" Alors qu’il souriait avec confiance, Adhipo répondit : "Bien sûr, Ariston, ne t'en fais pas. Tout est gravé dans ma mémoire, et je serai à la hauteur. J'ai l'habitude."
Ariston, quand bien mêmeil il se murmurait à lui-même, il en profita pour se réconforter : "Heureusement que je peux compter sur Adhipo; il est véritablement inestimable." En effet, Ariston considérait Adhipo comme un membre à part entière de sa famille.
Ainsi, le jour suivant, Ariston se présenta chez le maire comme convenu. Alors qu’il montait rapidement au troisième étage, il rencontra Transakin, debout, altier, prêt à déclamer le discours prévu pour la commémoration du parc municipal. Transakin, avec fierté, lui confia : "Je peux compter sur vous, Ariston. C'est pourquoi je souhaite que vous soyez le premier à découvrir ce que je dirai demain." Après une lecture attentive, Ariston répondit à Transakin : "Monseigneur, je vous suis reconnaissant pour l'honneur que vous me faites lorsque vous citez à plusieurs reprises. Transakin, d'un ton un peu gêné, répliqua : "Oui, en effet, j'ai eu l'occasion d'observer votre comportement. Contrairement à moi, je tiens à vous assurer que tout ce que je dis à votre sujet est sincère. Une fois que demain et le jour crucial des élections seront passés, revenez me voir pour discuter plus en détail de l'aide que nous pourrions apporter aux plus démunis. En toute circonstance, j'aimerais que vous utilisiez votre talent artistique pour devenir le chef de ma campagne électorale pour les prochaines élections. Qu'en pensez-vous?"
Ariston, d'un ton légèrement embarrassé, répondit avec sincérité : « C'est un honneur immense pour moi. En fait, je suis convaincu que, si vous honorez vos promesses, vous deviendrez le meilleur bourgmestre que cette ville ait jamais connu. Je suis profondément attaché au soutien des plus démunis, et compte tenu de votre appui à ma proposition, je peux vous assurer que j'accepte ce nouveau poste avec enthousiasme. Quand pouvons-nous commencer ? » Alors que le bourgmestre répliqua d'un ton sec, il déclara : « Vous pouvez débuter dès la conclusion du discours. Les élections auront lieu dans trois mois. Pensez-vous être en mesure de représenter fidèlement mon électorat ?
» Ariston répliqua avec assurance : « Absolument, nous irons même au-delà pour refléter votre engagement envers les plus démunis et faire de cette cité un bastion d'innovations sociales. »
Alors qu’il prenait congé de Transakin en fin de journée, Ariston ressentit le besoin de se confronter une fois de plus à la tentation de la cigarette. Cependant, une force invisible l'en empêcha, tout comme deux mois auparavant, lorsque cette même force l'avait empêché de renoncer à cette habitude nocive. Il se dit en lui-même : « C’est étrange. Aujourd’hui, alors que ce poison rend les gens addictifs, par ma créativité et ma volonté, mon esprit dorénavant m’interdit d’en fumer une. Est-ce que je serais guéri »
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