l'inauguration : l'éclosion d'une relation sincère
Il était 12h25, et l'excitation électrisait l'air alors que la cérémonie d'ouverture du parc s'apprêtait à débuter. Ariston et Transakin descendirent gracieusement de la voiture et se dirigeait avec détermination vers l'estrade érigée en une matinée, prête à être le théâtre de l’imminence de la grande déclaration de Transakin. Ariston, conscient de l'importance du moment, s'efforçait d'exprimer un respect sincère envers son hôte lorsqu'il prendrait la parole. Une parole émue et encombrée par le dépôt de la combustion de la cigarette, des résidus toxiques ingurgités pendant de longs mois.
Transakin, porté par l'aura que cette œuvre grandiose lui conférerait en termes de notoriété, se tenait prêt devant un public averti, sensible aux prouesses orales de leur gouverneur. Chaque personnalité invitée trouvait une chaise d'une facture exceptionnelle et offrait un commodité, reflet de la grandeur de l'événement. Autour du parc, une multitude de personnes, émerveillées et admiratives, avait observé l'architecte au travail à l’époque des grands travaux, sa cigarette à la main et aujourd’hui, elle trépignait d'enthousiasme pour sa réalisation. En effet, ils avaient été témoins de ses ordres distillés avec compassion et détermination, et le voyait comme un atout aux côtés de Transakin.
L'heure tant attendue arriva, et Transakin prit la parole avec une élégance majestueuse. « Messieurs, Mesdames, comme vous le savez, nous nous réunissons aujourd'hui pour rendre hommage à notre parc municipal, dont la longévité dépasse la plupart de votre âge... » Le discours du bourgmestre se transforma en une symphonie de détails sur la création du parc, ses multiples rénovations au fil des siècles et évoquait naturellement les hommes visionnaires capables de donner à la cité un bouquet éblouissant qui captivait les citoyens.
Ariston, alors qu’il cherchait le fil de son discours et parce qu’il n'était pas habitué aux envolées oratoires, il pensait sincèrement et humblement remercier la foule, ses hôtes, et à inviter tous à profiter de ce renouveau de la cité. À 13h15, le moment d'Ariston arriva, et il s'avança vers le micro. Le stress initialement ressenti se dissipa progressivement. « Je remercie Monseigneur pour m'avoir de nouveau sollicité pour sa campagne électorale. Pour revenir sur cette œuvre, je tiens à exprimer ma gratitude envers chaque membre de mon équipe. Sans eux, le succès de cette réalisation aurait été impossible. Nous avons traversé des moments difficiles, mais ensemble, nous avons offert à chacun la possibilité d'admirer ce qu'un homme ordinaire peut accomplir. Merci sincèrement de votre enthousiasme envers notre création. »
Ariston conclut son discours, salué par une ovation magistrale, tout comme Transakin dont le discours avait pris fin, et invitait les convives à savourer les délices préparés par les meilleurs cuisiniers de la région au cœur du parc luxuriant.
Transakin, alors qu’il s'entretenait avec Ariston après le discours, exprima son admiration : « Vous avez réalisé une prestation magnifique, humble et pleine de promesses, exactement comme je les aime. Bien joué ! » Transakin dévia ensuite vers les convives et passa le reste de l'après-midi à saluer et partager la joie avec tous. Quant à Ariston, il ressentait une fierté immense lorsqu’il voyait ce monde heureux profiter des commodités du parc. Entre-temps, Transakin avait réussi à attirer des commerces des quatre coins de la cité pour l'inauguration, . Ils proposaient des produits aux prix abordables et faisaient la promotion d'une diversité d’objet dont la valeur valait le détour. Un chapitre mémorable s'écrivait dans l'histoire de la cité, marqué par la collaboration fructueuse et le triomphe d'une vision partagée.
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