Chapitre 7
Je me retourne vers la source de cet appelle est découvre un garçon de mon âges. Une leur malicieuse se trouve dans ses yeux noirs, et son front légèrement mouiller comme ses long cheveux brun montre qu'il sort de douche. Surement un sportif, pensais-je.
Je le regarde déjà prête à encaisser une remarque quand il me tend un dessin.
- Tu la oublier quand tu as quitter le cours ce matin.
- Oh. Merci.
Il se gratte l'arrière de la tête en regardant son pied qui va de gauche à droite.
- Désoler pour Iris, elle peut être... virulente et blessante parfois. Me dit-il l'air sincèrement gêné.
- Tu est ami avec elle ? Demandais-je honteuse qu'il ai vu notre échange peut laborieux pendant le cours d'art.
- On se connais depuis petit alors oui. Mais je ne traîne pas spécialement avec elle.
- Je voie. Je répondais sans savoir quoi dire.
- Romain. Dit-il en tendant sa main avec un sourire dragueur.
- Eden. Je répond en la serrant surement toute rouge.
Je mentirais si je disais qu'il n'étais pas beau garçon, ses cheveux lisse attacher en queux de cheval ferais surement craquer n'importe quelle fille normalement constituer.
- Tes cheveux. Je commence sans terminer ma phrase.
- Mes cheveux ? Dit-il perplexe.
- Ils sont incroyable !
Il a un doux rire qui vient caresser mes oreille puis me répond d'une voix charmeuse tout en enroulant l'un de ses doigt autours d'une de mes mèches :
- Pas autant que les tient. Susurre t-il à mon oreille.
Si je n'étais pas déjà assez rouge là je doit carrément être cramoisit. Je ne sais pas si ces sa voix ou bien son physique plus qu'avantageux mais mon corps semble réagir à chaque toucher de ses mains et chaque son qui sort de sa bouche.
Je rie gêné.
- Tu rigole il sont tout crépu.
- Justement. C'est ce détail qui les rend magnifique, authentique.
Je rie à nouveaux. Mais qu'est ce qui m'arrive ? Je ressemble à toute ses fille qui rigole comme des dinde quand Raphaël passe à côté d'elle.
- Ton rire. Lui aussi est magnifique.
- Je te conseil d'arrêter si tu ne veux pas que je crois que tu me drague. Je luis répond semi sérieuse.
- Et qui te dis que je te drague pas ?
Ma bouche s'ouvre de sorte à former un "O". Me draguer ? Pourquoi ?
- On... on ne peut pas ! Affirmais-je.
- Et pourquoi ne pourrions pas chaton ? Demande t-il avec ce même air de malice que lorsqu'il m'a aborder.
- Parce qu'on doit pas avoir le même indice de beauté ! Tu doit être à 65% et moi...
- Tu me vexe là chaton je suis bien supérieur à 65%. Puis finalement qu'est ce qu'on s'en fou. N'est donc pas qu'un chiffre ?
J'aime ça façon de penser.
- C'est interdit !
- Je franchirais tout les interdit pour un minois comme le tien chaton.
- Je...
- Je n'aurais jamais cru courir après une fille comme ça. Laisse moi au moins une chance. Ce soir ça te dit ?
- Mais pour faire quoi ? A cause de mon indice de beauté inférieur je suis interdite à la plus part des...
Il pose un doigt sur mes lèvres avant d'ajouter :
- Ça c'est moi qui gère bébé. On se dit 17 h 30 devant le parc ?
Je hoche la tête encore troublé par la présence de son doigt sur ma bouche.
- Très bien alors à toute à l'heure jolie Eden.
Il s'éloigne aussi vite qu'il est venu. Comme un mirage. Il est venu est à tout chamboulé sur son passage. Ne fais pas confiance au homme Eden. Il te fera du mal. Il n'est pas comme toi. Si tu t'approche de trop pré tu finira les ailes brûlé. Ces voix dans ma tête se mélange les unes et les autres mais je décide de les faire taire. Il n'y qu'un seul moyen de voir ce que va donner cette relations et c'est d'essayer.
Je repense à Sébastien chez qui je devais passer l'après midi et me sens coupable de l'abandonner une fois de plus. Mais il n'en voudra pas ?
***
- Je suis vraiment désoler, j'ai un imprévu de dernière minutes je vais vraiment pas pouvoirs venir. Je dis coupable.
Sébastien me regarde et je prie intérieurement pour qu'il ne se rende pas compte des réelle raison qui me pousse à annulé son invitation. J'ai finalement décider de garder pour moi se rendez-vous avec Romain, je sais bien que Sébastien ne m'aurais pas juger pour quelque chose comme ça mais je suis par contre persuadé qu'il aurait essayer de me dissuadé d'y aller.
- Ce n'est rien. Il répond simplement mais je décèle quand même dans son regard qu'il est déçu.
- Mais on se fait ça demain si tu veux.
Il hoche simplement la tête et je ne peut réprimer ce sentiment de culpabilité, aussi je n'arrive pas à ignorer cette lueur qui brille dans ses yeux. Du stress ? Ou peut être un sentiment de mal être extrême. Une chose est sur c'est que au fond de moi je ressent ce présentiment qui me dit que je n'aurais peut être pas du accepter, que j'aurais du aller chez Sébastien comme c'était prévu. Mais j'essaye de passer au dessus. Ce ne sont que des présentiment de toute façon.
***
Il est 17 h 30 est comme prévu je suis dans le parc, assise à même le sol tout en attendant l'arriver de Romain. Adosser contre un arbre je contemple les fleurs autours de moi, pour certaine leur couleurs est aussi blanche que de la crai et pour d'autre aussi rose qu'un bonbon. Je me délecte de la douceur de l'herbe frottant mes cheville nues et apprécie les rayons du soleil sur ma peau. Mais peu à peu le doute me prend brisant ce moment de plénitude. Et si il se moquais de moi ? Si tout cela n'était qu'une mauvaise blague signé Iris ? Si ça se trouve il doivent être entrain de rire sur ma tête pendant que moi je poirote comme une imbécile.
Je me lève et au même moment Romain apparait devant moi. Je pousse un crie de stupeur.
- Je pensais pas te faire crier aussi tôt chaton.
Je lève les yeux en l'air mais ne peut réprimer un petit rire.
- Femme qui rie à ...
- Bonjours Romain heureuse de te revoir. Le coupais-je dans son élan.
- Et moi donc. Me permettrez-vous de vous conduire jusqu'à notre lieu de rendez-vous?
- C'est demandez avec tant de gentillesse.
Je le suis à travers le parc en me demandant où il pouvais bien m'emmener.
- Où allons nous ? Je me questionne.
- Ne soit pas si curieuse tu verra bientôt.
Nous arrivons devant un murs recouvert de liane. Il passe les bras entre et fais apparaitre un passage étroit mais assez large pour que lui comme moi pouvions passer.
- Les dames d'abord. Dit-il avec un mouvement de main vers le passage.
- Quel gentleman. Je rie.
Dès lors j'ai passe ce couloir étroit mes yeux s'écarquille.
- C'est magnifique. Je chuchote une main devant la bouche
- N'est ce pas. Je me suis dit que ça pouvais te plaire.
À mes pied se trouve un petit ruisseau dans le quelle se reflète le coucher de soleil, autours, des arbres, des fleurs, on se croirais presque dans un compte de fée. C'est calme, désert et seul le bruit de l'eau interrompt le silence. L'odeur du sapin est de la pluie remplie mais narine et je soupire de plaisir.
- Tu ne t'ai pas tromper. J'affirme.
- J'ai pris un plaid pour s'asseoir et deux, trois truc à grignoter.
C'est juste maintenant que je me rend compte qu'il tient un panier dans les mains. Je le regarde étendre la couverture sur le sol avant d'y prendre place. Je fais de même pendant qu'il sort plusieurs tupperware contenant tous un fruit différant.
- Quand a tu eu le temps de préparer tout ça ?
- Eh bien je n'ai eu qu'une heure cet après-midi alors j'en ai profiter.
- Je voie. Merci. Je répond avec un sourire rayonnant. Comment connais tu cet endroit ? Il est bien cacher pourtant.
- Mon père m'y amenais souvent avant qu'il meurt. Dit-il en regardant en face de lui tout en fixa l'eau d'un air distrait. Je ne pu empêcher ma main de se poser sur la sienne dans le but de le réconforter.
- Comment est-il mort ? Le questionnais-je.
- Accident de la route. Il avais bus et... et voila. Heureusement personne d'autre n'a été blesser.
Je compatie directement est décide de changer de sujet afin de ne pas plomber l'ambiance.
- Sinon pourquoi ce rendez-vous clandestin ?
- Eh bien même si l'année à commencer il y a peu je crois que... tu me plaît. Un sourire timide étire ses lèvre pendant qu'il se gratte la nuque.
- Oh. J'ai besoin de temps avant de... enfin tu vois.
- Bien sur ! Je ne comptait pas te forcer de toute façon.
Un petit blanc s'installe et me met mal à l'aise alors je me sens obliger d'ajouter :
- Mais je t'aime bien ! Je le dit et le pense vraiment.
Il a un petit rire et nous continuons de parler pendant plusieurs heures. Une, deux ou trois. Je ne sais pas vraiment à vraie dire avec lui le temps passe plus vite. Comme quand on regarde ces vidéos ridicule de chat ou de gens qui font des chute digne du prochain James Bond. Quand on commence on ne voit plus le temps passer et très vite on se rend compte que ça fais déjà deux heure. Eh bien je ressent la même chose avec lui. Mais quand le reflet du soleil fait place à celui de la lune nous décidons de rentrez.
- Je te raccompagne.
- Non c'est bon je peut rentrez seule. Je dis gêner.
- J'insiste.
***
Une fois devant ma maison je le remercie.
- De rien c'est normale. Répond t-il simplement.
- Non je parle de cette après-midi j'ai passer un super moment avec toi. Je dis en souriant sincèrement.
Je vois ses yeux quitter les miens pour atterrie sur ma bouche. Oh. Est ce qu'il va... Avant même que je n'eu terminer de penser ses lèvre s'écrase sur les mienne dans baisser chaste.
- Bon je vais y aller. A demain ma jolie Eden.
Je reste là abasourdi, les doigts sur mes lèvre tout en sachant que je ne suis pas prête d'oublier la sensation de ses lèvres douces est chaudes sur les mienne.
***
Le lendemain j'eu du mal à me réveiller tant j'ai été chambouler par ce baisser qui à tourner dans ma tête un moment avant de m'endormir et qui ma suivit jusque dans mes rêve, bien plus profond, bien moins chaste et innocent. Je rougit en repensant à ces rêves bien plus qu'étrange et me passe un coup d'eau sur le visage comme pour dire "Hey reprend toi" avant de partir pour le lycée.
Heureusement pour moi bien que je soit partie un peu plus tard que d'habitude je ne suis pas arriver en retard. Je suis même arriver en avance quand je surprend une conversations qui à l'air assez intime.
- Je t'aime.
J'éspère que ce nouveau chapitre vous aura plus, n'hésitez pas à me donner votre avis ;)
Camelia Hawkins
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