Chapitre 9

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- Qui est là ? Demande Romain bien trop calme.

  Personne ne se manifeste et la peur d'être vue commence à devenir si grande que j'en ai le souffle couper. Si ça s'apprend je pourrais être emprisonner pour ce que j'ai fait ou encore pire être tuée !

- Il y a quelqu'un ? Dis-je plus fort en priant pour que personne ne se manifeste et que ce soit juste le fruit de notre imagination ou bien le bruit du vent dans les arbre.

  Nous restons ainsi figer pendant plusieurs minutes et quand on voit que personne n'apparaît on se décide enfin à bouger.

- Je suis sur que ce n'est rien. Tente Romain pour me rassurer.

- Je risque gros si on me surprend dans tes bras ou avec mes lèvres coller au tienne !

- C'est pour ça qu'on ne se verra que je chez moi. Ma mère n'est pas souvent là alors on sera tranquille.

Je hoche doucement la tête.

- Tu sais. Commence t-il en replacent une mèche de cheveux dernière mon oreille. Je comprend que tu ais peur, que ce ne soit pas facile mais on est ensemble ok ? Et tant que je serais là je ne laisserais rien t'arriver. Dit-il en caressant doucement ma joue.

***

  Je me sentais mal après ce sifflement mais Romain à su me calmer, normalement je doit le rejoindre chez lui ce soir vers 22 heure mais avant je suis chez Sébastien qui n'a toujours pas l'air d'aller bien alors pour essayer de lui changer les idée je décide de lui parler de ce moment que j'ai passer avec Romain.

- Il est vraiment mignon tu sais. Mais... je pense que j'ai peur de ce qu'il pourrais ce passer si on est découvert.

- Si vous prenez vos précaution tout devrez bien se passer et pour ce bruit je suis sur que tu t'inquiète pour rien.

- Je trouve ça injuste de devoir vivre dans la peur alors que nous ne faisons que nous aimer. Râlais-je.

- Au moins tu est lucide sur les risque que tu encours et c'est peut-être ça que te sauvera.

  Je trouve Sébastien plus morose que d'habitude et repense à ce qu'il m'a dit sur ça mère, hier ça faisait huit ans qu'elle était morte. Peut-être que ça lui ferais du bien de parler d'elle ?

- Tu pense à ta mère ? Demandais-je en connaissant déjà la réponse.

- Oui. Souffle t-il.

- Parle moi d'elle.

Il sembla surpris par ma demande mais un sourire triste étira ses lèvre et il commença :

- Elle était d'une incroyable beauté, dans mes souvenir elle est la plus belle femme que j'ai jamais vue. Mais malheureusement la vie en à voulu autrement, c'était une 45 et même si elle approchais de la moyenne aucun cadeau ne lui serais donner.

- Comment elle à rencontrer ton père ? Le questionnais-je.

- Je ne sais plus trop, depuis sa mort papa ne veut plus en parler... je crois... je crois qu'elle travaillait pour sa famille. Mon père est tout de suite tomber fou d'elle et ceux peut importe son rang, alors il on commencer à se fréquenter puis quand mon père a eu l'âge et qu'il à quitter le domaine familiale il a emmener ma mère avec lui. Comme un prince sauve sa princesse il l'a sauver du mauvais traitement qu'elle subissais pour lui donner une vie meilleure dans le secret car si lorsqu'on est mineur les risque sont seulement l'emprisonnement à l'âges adulte c'est bien la mort qui t'attend.

- Ils ont été découvert ensemble ?

Je vois sa main trembler légèrement alors je la lui presse avec la mienne en signe de réconfort.

- Oui. J'avais huit ans et dehors il neiger quand quelqu'un a toquer à la porte. Mon père à ouvert et dix homme en vêtement militaire son rentrer dans la maison. A ce moment là j'était à l'étage avec ma mère, elle me lisait une histoire, je n'ai pas compris quand j'ai vu cet homme débarquer dans ma chambre, quand il m'a vue il a eu un regard remplis de dégout. Je ne comprenais pas pourquoi il me regardais comme ça ni cet haine dans son regard lorsqu'il posa les yeux sur ma mère, et en quelque seconde seulement elle me fut arraché, l'homme lui attrapa les cheveux et la traina à travers la chambre, le couloirs, dans les escalier. Il y avais beaucoup de bruit, des bruit de coup, des crie et un coup de feu.

Une larme coula le long de son visage qu'il se précipita de la retirer.

- Sébastien...

- Je me sens tellement faible putain ! Explose t-il. C'est tellement injuste ils m'ont tout pris ! Ma mère, mon innocence, mon bonheur et même mon père, même si il est vivant depuis ça mort on dirais un zombie, il ne vit que pour son travaille et lorsqu'il est à la maison il n'est jamais sobre.

Je le sert dans mes bras, il se laisse aller et pleure, il pleure comme si ces larmes avaient été bloquer pendant des années dans l'impossibilité de s'exprimer. Et j'ai mal, j'ai mal pour lui et pour ce qu'il a du vivre à un si jeune âge. J'ai mal pour sa mère qui voulais juste vivre dans les bras de l'homme qu'elle aime.

***

Cela fais au moins une heure que Sébastien est dans mes bras, maintenant beaucoup plus calme est apaiser il à l'air sincèrement gêner de ce qu'il vient de se passer.

- Désoler à cause de moi t'a du passer une après-midi pourri. Dit-il en riant.

- Bien sur que non, puis j'ai pu en apprendre plus sur toi. Tentais-je dans un sourire.

- Je t'aime vraiment Eden.

Je lui souri tendrement pendant que je vois ses yeux se fermer doucement. Son visage recouvert par les boucle d'or à l'air complètement paisible, je me penche vers lui et lui embrasse la joue.

- Moi aussi je t'aime.

Puis je quitte sa maison me rappelant que j'ai rendez-vous chez Romain dans dix minutes.

***

J'arrive finalement avec au moins vingt minutes de retard après avoir tourner en rond pendant un bon moment complètement perdu. Sa maison fais au moins deux fois la mienne ! Je m'approche pour sonner mais à peine ai-je atteint la porte que cette dernière s'ouvre sur le visage rayonnant de Romain.

- Tu est en retard. Me fit-il remarquer.

- Désoler j'ai galéré à trouver ton adresse.

- Quand ces comme ça envoie moi un message je n'aime pas te savoirs seule dehors à une heure pareille.

Dès que la porte se referme sur nous, Romain m'attire contre lui pour m'embrasser. Je crois bien que je ne m'y habituerais jamais !

- Un film ça te dis ? Me propose t-il.

J'accise est le suis jusqu'à son salon où il me propose plusieurs films qui ont tous en point commun le thème de l'épouvante. Finalement nous optons pour un classique, Annabelle. Du vue et revu, des effet pas ouf autant vous dire que j'ai plus peur de mon prof d'histoire que de ce film. Mais je suis crever et donc je ne pense pas que ça me portera préjudice si je ne suis pas trop attentive.

Le film se passa, pendant tout le long j'ai garder mes doigts entrelacer à ceux de Romain, quelque fois il venait m'embrasser la joue ou le coup mais contre tout attente j'était plus absorber par le film que par mon petit ami. Maintenant sur le perron nous somme près à nous séparer.

- C'était une super soirée ! M'exclamais-je.

- Je suis quand même un peu déçu, moi qui avais choisi un film d'horreur exprès pour que tu te réfugies dans mes bras c'est raté. Répond t-il boudeur.

Je me met sur la pointe des pieds et l'embrasse.

- Dommage que je ne soit pas une chochotte alors !

Il a un rire et après de longue négociation je rentre chez moi seule. Sur tout le trajet je repense à cette soirée, courte mais incroyable je ne serais pas trop l'explique on a juste regarder un film mais sa présence à mes côté, sa mains dans la mienne m'on donner l'impression de passer un moment hors du temps. Comme si le monde c'était mis sur pose nous laissant aller à notre petite idylle comme si les risque n'était pas présent comme si tout ça était normale.

***

Cela fais déjà trois mois que Romain et moi filons le parfaite amours, il est la lumière qui éclaire mon monde, c'est niai je le sais mais avec lui je me contre fou de ce à quoi je peut ressembler, depuis que nous avons commencer à sortir ensemble je me sens différente j'ai beaucoup plus confiance en moi, je fais beaucoup plus attention pour lui plaire et même si notre relation reste secrète nous nous voyons tout les soirs afin de profiter un peu l'un de l'autres. J'ai aussi fais énormément de progrès dans la lecture et dans l'écriture grâce à Raphaël que je continue de voir souvent afin d'étudier. Je me dirige d'ailleurs vers la salle 15 où nous avons l'habitude de nous rejoindre.

- Salut ! Je balance toujours aussi enjoué.

- Dépêche toi tu as du retard. Me dit-il froidement.

Moi qui croyais que nous avions fais fait des progrès apparemment c'est retours à la case départ ! Super !

- Monsieur est grognon à ce que je vois.

Il me lance un regard aussi froid que la glace et sans ajouter un mots sort ses livres. Je ne compte absolument pas travailler dans une ambiance aussi pourri. C'est prouver scientifiquement qu'une mauvaise ambiance est défavorable à l'apprentissage.

- Pourquoi tu fais la gueule ta eu une salle note ? Je demande.

- Ca ne te regarde pas.

Je regarde sa lèvre fendu est me demande si cette blessure est la cause de sa mauvaise humeur, presque à chaque fois que nous nous voyons il à une nouvelle blessure, rien de forcément trop grave mais quand même ça m'inquiète sans que je sache réellement pourquoi. En quelque seconde toute mon attention est sur sa lèvre. Qui à bien pu lui faire ça ? Personne n'oserais le faire chier au lycée il est bien trop respecter et populaire. Peut-être chez lui ?

- Qu'est ce qui est arriver à ta lèvre ? Je demande en effleurant la concerner.

Il à un mouvement vif et se recule.

- Rien de grave.

- Tu te fais battre ? Demandais-je timidement. Je ne voit que ça à ses blessure si ce n'est pas quelqu'un de l'extérieur ça signifie que ça se passe à l'intérieur.

D'un coup sans que je m'y attende il explose d'un rire franc et je me sens presque idiote.

- Moi battre ? Oh princesse qui oserais lever la main sur quelqu'un comme moi ?

- Je... je sais pas. Mais alors qui t'a fais ça ? Comment est-ce arriver ?

Il se lève et prend la chaise à côté de moi. Il plonge ses yeux de miel dans les miens et souffle :

- Vois tu princesse, en ce moment je suis énervé alors je me défoule comme je le peut.

- Comment tu te défoule et pourquoi est tu énerver ?

Il rie à nouveau. Son rire et chaud et chaleureux, il illumine son visage habituellement si froid et montre le vraie Raphaël. Un garçon qui sous c'est air de gros dure peut faire ce genre de visage.

- J'aimerais te dire qu'entend que mec badasse je me livre à des combats clandestin une fois la nuit tomber mais la vérité c'est que, sa voix baisse d'un octave et je doit me rapprocher pour entendre la suite. J'aime juste la boxe.

- Ça fais quand même badasse je trouve.

Il arque un sourcille.

- Tu n'aime pas les mec dangereux et qui sont dans l'illégales princesse ?

- Pourquoi aimerais-je ça ? Après tout lorsqu'on aime quelqu'un on ne veut pas le savoir en danger.

- Je rêve où c'est une déclaration ?

- Prend pas trop tes rêve pour une réalité.

D'un coup son visage se rapproche un peut trop du miens. Son souffle sur mon visage me provoque mille frisons incontrôlable et l'intensité de son regard me provoque une vague de chaleurs étrange à travers tout le corp.

- Raph... Raphaël ? Demandais-je tout bas.

Son visage continue de se rapprocher, je recule jusqu'à me retrouver coller contre le mur, Raphaël me dominant de toute sa taille.

- Tu ne veut pas que je soit blesser ?

- Bien sur... bien sur que non ! Répliquais-je précipitamment en tournant la tête sur la droite la sensation de chaleur se faisant plus grande, plus importante. J'ai l'impression que mes vêtement m'étouffe, qu'ils ont rétrécit d'au moins deux taille. Raphaël à un pouvoir sur mon corps que je ne comprend pas, que je n'explique pas. Quand je suis avec lui cette sensation de chaleur ne me quitte jamais, mon regard qui cherche toujours le siens et mes yeux inévitablement attirer par ses lèvre.

Un de ses doigt entrelace une mèche de les cheveux tirant légèrement dessus tandis que son autres mains se pose sur ma hanche son regard toujours bloquer au miens.

Je toussote légèrement consciente de se moment intime que nous partageons lui et moi. Non pas que je veuille le briser mais j'ai l'impression de trahir Romain. Romain, je n'ai pas penser à lui une seule fois depuis que je suis arriver dans cette minuscule salle.

- Tu transpire princesse, as-tu chaud ?

- Euh... ouais il doit y avoir trop chauffage ici. D'ailleurs tu n'a toujours pas répondu à ma question.

- Quelle question princesse ?

Je lève les yeux en l'air face à ce surnom qu'il se bute à me donner depuis notre première rencontre.

- Pourquoi es tu énerver ?

- Rien qui ne te regarde. Mais maintenant que j'y pense tu devrais être plus discrète.

- Discrète ? Répétais-je incrédule.

- Tu sais. Toi, Romain.

Mes yeux s'écarquille d'horreur. Comment le sait-il ?

- C'était toi. Dis-je tout bas. C'était toi qui a siffler !

- Je ne voit pas de quoi tu parle princesse. Ça crève juste les yeux.

- Mais arrête avec ce surnom à la fin ! J'explose.

- Un conseil fait attention à toi. Termine t-il.

***

L'altercation que j'ai eu avec Raphaël tout à l'heure n'a cesser de tourner en boucle dans ma tête et cet avertissement c'était quoi au juste ? Etais-ce réellement un conseil ou une menace ?

J'ouvre mon casier pour prendre mes manuelle quand un papier jaune y tombe ainsi qu'une photo.

"Fais attention à toi Silva ou ton secret pourrais bien éclater au grand jours."

La note était accompagner d'une photo. De moi et Romain entrain de nous embrasser le premier jours.

J'espère que ce chapitre vous aura plu, n'hésiter pas à me donner votre avis ;)


Camelia Hawkins

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