Les gages 1/3

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Suites du chapitre 42 (Ne soit jamais sûre de rien)

Je ne devais pas revoir Paul avant sept jours. Il était prévu qu'il soit en déplacement professionnel pour la journée, puis en week-end prolongé dans les Vosges et je devais enchaîner avec un déplacement sportif de deux jours. Mais au vu de nos derniers échanges, j'imaginais que cette séparation ne serait que physique.

C'était à son tour de me donner un gage et j'aurais bien aimé qu'il prenne le temps de me l'envoyer dans la journée. Je lui avais rappelé et il n'avait pas répondu, mais j'imaginais qu'il était sûrement occupé, sachant qu'il venait de partir à la montagne.

Le lendemain matin, je recevais une belle photo de montagne de la part de Paul.

« Profite bien de tes vacances », lui écrivais-je

« Merci et je vais en profiter pour trouver un gage à te donner à mon retour »

« Vivement que tu rentres :) »

Chaque jour, j'eus le droit à une photo de ses vacances au ski, accompagnée d'un « je crois que j'ai une idée... » et « prête pour mon retour... ».

Quand ce fut mon tour de partir, j'inversais le rituel avec des photos sportives accompagnées d'un « Impatiente... » et « À demain... ».

Mercredi sept heures

« A tout de suite Elisa... »

« ... »

« Je vois que tu es fin prête »

Donc, comme à mon habitude, en arrivant, je faisais le tour des bureaux pour dire bonjour à tous mes collègues. J'eus droit, de la part de Paul, à un large sourire espiègle.

À dix-heures, pour notre pause-café, il vint se mettre à ma gauche en passant derrière moi. Comme à chaque fois et encore plus à cet instant, je sentis un frisson de plaisir me traverser le corps. Il avait légèrement adouci sa voix, quand il parlait et ce son envoûtant faisait monter le désir et mouiller mon sexe.

Il décida de retourner à son bureau avant moi et en repassant derrière moi, il approcha légèrement sa bouche de mon oreille et me dit :

- Retire ta culotte.

Le son qui sortait de sa bouche était si faible que je n'étais pas sûre d'avoir bien compris.

« Paul, tu m'as demandé de retirer ma culotte ? »

« Oui, mais tu le fais à ton bureau »

« Mais je suis en jupe... »

« Justement »

Heureusement, de mon bureau, j'étais caché de mes collègues par d'énormes piles de dossiers. Alors avec un peu de gymnastique et d'habileté, j'ôtais ma culotte. Et effectivement, je vis sur elle que ce petit jeu avait eu pour effet de particulièrement lubrifier mon vagin.

« C'est fait ! »

« Reste comme ça jusqu'à cette après-midi »

« Bien Maître

Mais ce midi, débrouille toi pour venir vérifier que je n'en ai plus »

« Ok »

« Attention, cela doit être discret, mais en présence des collègues »

« Hein ? »

« Tu as très bien compris. Tu as quelques heures pour trouver une solution »

« Bien Maîtresse »

« :) »

J'étais tellement excitée par ce jeu que j'étais obligé d'aller régulièrement aux toilettes pour essuyer l'excès de Cyprine et ne pas tâcher ma jupe.

Nous avions fini de manger et comme à chaque fois nous nous retrouvions dans un des bureaux pour discuter. J'étais obligée de faire très attention à mes mouvements pour que mes collègues ne voient pas certaines parties de mon anatomie. Et à 13 h pile tout le monde se dirigeait vers le café. De nouveau, Paul se mit à côté de moi autour des armoires basses qui faisaient office de coin café. Nous n'étions plus que cinq à encore boire le café et Paul et moi n'étions que tous les deux de notre côté. Sa tasse se renversa légèrement sur le plan de travail et il s'accroupit pour ouvrir l'armoire, dans laquel se trouvait les éponges. En même temps, qu'il cherchait, je sentis sa main remonter le long de mes cuisses, pour venir effleurer mes lèvres humides.

Surtout ne pas fermer les yeux, surtout continuer à respirer...

De retour à mon bureau, je reçus un autre message de Paul.

« Ta chatte était bien humide. Alors avant de remettre ta culotte, je veux une vidéo de toi léchant ta mouille. »

Je glissais donc mon index, dans mon sexe plein de Cyprine. Il était luisant et appétissant. De ma main gauche, je pris mon téléphone portable pour immortaliser ce moment, léchant goulûment ce nectar.

« Tu as l'air de te régaler »

« Délicieux », lui dis-je.

Et j'ajoutais :

« Ce soir, avant que je ne parte, attends-moi au sous-sol, près de ma voiture. »

« Quels sont tes projets ? Car je dois rentrer de bonne heure pour regarder les reines du shopping ;) »

« Je veux que tu viennes as ton tour glisser tes doigts dans ma chatte, pour en connaître le goût »

« Et à quelle heure dois-tu partir ? »

« 18h30 »

Pierre, serait-il là, il n'avait pas répondu et au moment de partir le bureau était vide.

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