No/Low
Trois ans après la pandémie, j’ai chopé le Covid, le K.P2 Flirt qui nous vient des états-unis d’Amérique. La fièvre s’est déclenchée le 9 juillet 2024, elle a duré une semaine, suivie d’une grosse fatigue et d’une perte totale d’appétit (j’avais toujours eu faim depuis le 18 novembre 2011, le jour où j’ai arrêté de fumer).
À J+13 j’étais encore positif à l’autotest SARS COV 2. Jusqu’à cette date fatidique du 9 juillet ou je suis tombé, je buvais beaucoup d’alcool depuis une quinzaine d’années. Depuis les trois dernières années, encore plus, de quoi être sûrement au-delà des limites raisonnables du taux de gamma GT acceptables en analyse de sang. J’ai arrêté net depuis le 9 juillet. Jusqu’au 4 août où j’ai pu reboire un peu de cidre. Entre les deux, aucune envie, aucun manque, rien.
Plus tard j’ai testé un Muscadet, un petit centilitre, ça m’a paru aussi fort que du Whisky et je déteste les alcools forts. Voilà. C’est fini. Ou ça commence. Je suis devenu un No-Low. Ce coronavirus m’a vacciné. Sûrement grâce à quelques lésions au cerveau, bien placées. Maintenant c’est No alcool ou Low alcool. Encore une dépendance en moins. J’ai adoré boire. J’ai adoré fumer. Mais c’est fini tout ça. La vie est ailleurs.
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