De la sujétion à la libération: des actes aux paroles

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La Cervusé, un breuvage physiologiquement nocif ne ranimait pas les esprit à la volonté blessée et affleurée sporadiquement par les tumultes invraisemblable de l’existence. Tant sans faux. Dans la vie spiralée des habitants, elle affluait telle des gros pixels d’une peinture grotesque et immonde, œuvre inachevée d’un monde en péril.

Théopharne œuvrait aux côtés de sa mère et sustentait aux gosiers toujours plus voraces des clients de la taverne. Il mêlait son naturel charisme « prenez un verre, C’est offert par la maison » à sa volonté de ne pas désillusionner sa mère. Il en profitait des moments de répit pour étreindre Jédoké, sa fidèle futur épouse.

En effet, la demoiselle rivait la dégaine naturelle et comique de son fiancé. Elle connaissait son tempérament et ses airs un peu gauche. Mais, de temps en temps, elle, l’influenceuse hors pair du couple, agitait au moment de complicité des occasions de gâteries pour hausser son moral. Elle s’égosillait et gesticulait pour que Théopharne fît de son mieux, des encouragements hospitaliers.

Suinoréa désirait percevoir cette étincelle de maturité chez son fils. Pour elle, son couple reposait, entièrement, sur une attirance physique. Elle se disait que le moment viendrait où l’amour affleurerait leur vie, laissant au temps de s’apprivoiser et de concevoir un avenir commun et radieux au frontière de la félicité, avec ou sans bambins.

Elle disait à Théopharne : « Déverse ce baril dans ce tuyau alimentant le robinet. Avec la Cervusé, nous sommes aux aguets. Qu’en penses tu Théopharne ? Fatigué ? »

Théopharne désirait revoir l’obséquiosité de son confort et disait : « Maman, je suis éreinté. Je veux quelques moments de répits pour dialoguer avec les clients, ma vraie destinée, à savoir : paraître le plus sympathique possible.

De ce petit moment de relâche, venait s’asseoir un client du nom de Gèprial, un conteur, barbe blanche et vêtements décontractés et initiait un dialogue avec Théopharne.

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