la fabuleuse magnificence de la vie à l'extérieur : Théopharne, Suinoréa et Géprial
Mais, très peu de moi, de puiser ta fringante source d’imagination. Tu découvriras, par toi-même, les tonitruante splendeurs d’un mystère environnant autour de ton plantureux périple sur les rives de Vlotrios.
Si tu fouilles dans les dunes sous le torride soleil du littoral, si tu y prends gardes, tu sauras autant receler ta connaissance du monde de l’incroyablement petit que celui plus vaste d’un grand terreau de magnificences, fait pour toi, intrépide curieux.
Encore une simple chose ! Sous les revêches monuments d’un point de vue esthétique telle une grossière esquisse d’un immense délabrement laissée à même le sol argileux, un culte lâchement abandonné en l’honneur de la déesse Frodotéa, tu pourras découvrir des spécimens de créatures au dos écarlate et au bec aplati appelés les Spérulas. On dit d’eux qu’ils ont le pouvoir de se guérir de leurs maux physiques. Un docile mammifère dont l’unique denrée vit chez nous ! A toi d’en explorer ces moindres recoins d’une somptueuse nature de vie ! »
Sur la fin, Géprial mettait les recherches de son expérience sur le comptoir et partageait avec Théopharne les différentes facettes sublimes de ses longs séjours sur la plage de Vlotrios.
Théopharne fasciné par ce rendu fascinant du monde et des trouvailles de Géprial, se disait regénéré par la présence de bestioles inconnues au bataillon : « Extraordinaire, une vraie troupe d’élevage ! Pourvu que je puisse un jour m’y rendre mais ce n’est pas gagné vu que je ne dispose que de très peu de permissions dans ma famille. Maman privilègie une expérience à même le sol qu’au-delà les frontières de la vue, de la raison et de la pertinence ! Peut-être si je voulais marcher là-bas avec mon père et Jédoké? Surfer sur les bords des rivages et s’épanouir d’une impitoyable vue de l’Inconnu, perspicace pour quelqu’un comme moi désirant commettre le bond vers l’extérieur !
Alors que Suinoréa engloutissait des asperges au sucre, elle faisait mine de reconnaître dans les bienfaits de la nature et de l’être qu’on devînt si on initiait une aventure en dehors des chemins battus, une façon pour Théopharne de devenir mature.
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