Vlotrios et l'eau potable, salée et divine : l'expérience vivante de Suinoréa
Suinoréa disait à Théopharne, de nouveau, assis au comptoir. Quelle vaillance !
«Ecoute-moi avec le peu d’expériences vivantes en tant qu’habitant ; je devrais me taire, mais la cité est immergé par de l’eau : - Vivios, le fleuve du Nord au Sud, longe la cité ; celle que tu as traversé… – Réduiros, la mer, le long des côtes, s’adonne à livrer ses plaines sablonneuses ; de l’entrainement, il en faut pour parcourir cette plage et , enfin, Atios, la source, originaire des montagnes dont la naissance remonte aux temps de la Déesse Frodotéa avec , jadis, son manteau terrestre, nous donne les possibles moyens de nous défendre face à Chitéas ; une source pure renvoie ses propres moyens de vie de protection de ses habitants.
De l’eau divine ! De l’eau salée ! De l’eau douce ! Par bleu ! je sais beaucoup sur la marée aquatique envahissant la cité ; en même temps, je méconnais toute l’attente somptueuse et la nature sauvage marin autour de Vlotrios. Cette cité passive dans la gestion de son environnement attend : - que la mer pousse et rejette ses intrus sur ses plages. Les crustacés, les mammifères marins pourraient paraître un passetemps exutoire, mais un tri de la divine nature ;
-que la Fontaine de Frodotéa. sanctifie la pureté de l’eau visqueuse dans les tâches ardues des habitants contre l’effusion volcanique contre laquelle la seule adversité était ce liquide intitulé « les larmes de la déesse » ;
- que le fleuve offre une opportunité buvable et sert à alimenter les habitants en eau douce. Ils puisent dans des bidons et la traitent à travers des pompes de récupération de déchets et d’élimination des toxiques. Ils saisissent un instrument de capture pour faire fluidifier ce liquide… »
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