A la prochaine Théopharne !
Bien que La Vrama se mettait en branle (dans des mesures législatives en rapport aux expériences hebdomadaires des Hommes de bonnes vertus) , les membres familiales de Théopharne se trouvaient à se demander : - quelles véhémences pouvaient-ils exercer sur leurs fils pour que son but dans son train train journalier rassemble vivacité et intensité dans ses actions ?
Marchant vers son chez soi, Théopharne laissait Jédoké reprendre le fil d’une vie solitaire ; il admettait toutefois : « Au revoir Jédoké, je te remercie pour ces moments ensemble. Repasse me voir quand tu le désires. Je suis toujours aux aguets. »
Jédoké prenait la parole et se plaisait de lui faire remarquer : « Merci Théopharne, file chez toi et ne pense plus à ta profonde mélancolie. Elle nuit à notre vie commune. Je te le dis. »
Théopharne remettait un baiser pleins de délices sur la joue de Jédoké ; se laissant immerger par ces émotions, Jédoké serrait son compagnon très fort à la taille.
Théopharne se dirigeait chez lui ; après quelques pas, il parvenait au loin à apercevoir les visages d’une bande de jeunes loups comme lui. Sachant très bien que ses douze pairs d’yeux, il les connaissait ; il se mettait à entamer une discussion avec l’une d’entre elles : Vésulias, une de ses nombreuses amies.
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