La course au désespoir irrémédiable
Théopharne se trouvait comme manipulé ; par un échiquier sans réussite, ses pauvres membres vilipendaient ses actions toujours plus désordonnées. Irrémédiablement échec, il ne supportait pas : - son trop faible taux d’exaltation, - un manque de regain de bien être, - une aura fragilisée par son manque de personnalité.
Avec le peu de confiance, il se retrouvait à concevoir sa surface terne et mélancolique ; il pénétrait dans les méandres virulents d’un affaissement de sa perception de lui : mauvaise, inadéquate et titubante.
Ces lâches pensées le persuadaient de lâcher prise : où il en était et ce qu’il était convenable pour lui. Tel ce bout de bois qu’il arpentait, à l’instar d’un bout de papier, lui paraissait un moyen de s’évader (hors de son béton de marbre et d’enraciner sa percutante face écarlate foncé à l’intérieur de lui.)
Ne sachant pas sa propre histoire : s’imaginant au-delà des espoirs mis sur lui, ses pensées s’intromettaient comme de la monnaie usée : un vieux sous faisait des idées bourbes. Sans aucune envie, il s’infligeait le supplice des blessures infrangibles de l’être, aussi bon était - il ; il ne pouvait pas se rebiffer et appréhender cette farce insidieuse de mauvais et obscur élan nauséabond.
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