La Vroiens, la Vrama : d'après la nature de Théopharne, que serait le plus adapté ?

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Un jour, Vitouriop, le père de Théopharne, Suinoréa, sa mère, Jédoké et l’intéressé prenaient la résolution de rencontrer un sociétaire éminent de la Vrama ; une friande opportunité s’offrait à eux dont l’exécution tenait à un fil de rasoir.

Alors que Théopharne et Jédoké hésitait, le père en compagnie de Suinoréa voulait le meilleur, pour leur fils, son futur et ses aspirations ; ils s’empressaient de convenir un lieu de rendez-vous, sans hésiter, et l’ouverture d’une discussion revigorante.

A quel moment de l’histoire, la Vrama devait-il s’occuper des opérations ? Pourquoi, si La Vroiens se préoccupait des consciences des habitants, n’était-elle pas prompte à s’adonner aux premiers soins des souffrants mentaux ?

Ainsi, La Vroiens allait soigner cette personne et mettre sur pied Théopharne d’un remède aussi puissant (par l’imprégnation d’une éducation progressive) que léger (par des paroles voilés et dispersés) : les forces de l’esprit sont ténébreuses et ensoleillées d’aspects tangibles et d’autres intangibles.

Voyez ce qu’on pourrait faire si on devait s’insurger à chaque fois qu’une personne agissait selon une vision à lui, créative et instinctive. La raison a ses propres normes contradictoires pour tous ceux dont le rôle est avant tout de certifier les certitudes de la vie. Les personnalités de chacun influent dramatiquement sur la vie d’autrui quand celles-ci sont perchées au filament de la rupture. Que le ciel nous veuille clément et indulgent pour notre jeune héros si malsain à se positionner, le sans ressource phycologique, la parole comme seule fait d’armes pour un peu de confort !

Théopharne ne pouvait pas se détrôner de sa fixation : être aux normes de la société, lui, dont une vie ludique et les élucubrations de débauche retentissaient comme une étincelle lumineuse de son paraître, certifiant un moulin à parole si enchanteur dans ses propos.

Voici la narration de cette intervention de la Vroiens entre le père et le fonctionnaire. Mais, avant tout, voyons donc qui était le père.

Vitouriop possédait des qualités aussi bien mentales que physique, or il avait aussi des défauts aux yeux de sa femme : le manque de poigne, la nonchalance ainsi que l’atténuation des moments clefs familiaux. A la poursuite d’un équilibre affectif autour de son cercle restreint des personnes qu’ils aimaient, il s’adonnait heureux et déterminé à sa passion : la pêche à la ligne et l’embarcation sur un voilier.

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