Les familles à Vlotrios, ainsi dévoilées depuis notre parcours mesuraient le taux d’approbation de leurs politiques au sein leurs enfants par d’interminables palabres. Plus l’enfant était convaincu par un futur certain et prometteur, plus les membres familiaux apprenaient à connaître leurs hôtes unis par les liens du sang. A l’inverse, par exemple le cas de Théopharne, désabusé et nerveux, ils devaient créer un lieu propice à son éclosion ; en général. Cela se passait, selon une procession et des va et viens incessant, en collaboration avec la Vroiens dont le rôle suggérait de faire écho des mauvaises humeurs des jeunes habitants, par après, à la tour de contrôle législatif : la Vrama.

Le nœud du problème, la Vroiens le résolvait ! La pratique et l’expérience sur la torpeur involontaire de la conscience en développement rendait le visage de la Vroiens humain et empathique. Par décret, elle joignait ses conclusions à la Vrama. Et, l’instauration par cette dernière d’un système législatif adapté, convivial et minutieux lui conférait un statut élevé ; elle faisait la pluie et le beau temps au sein des plus fragiles parmi les jeunes vies de Vlotrios. On devinait l’effort consenti par la Vrama pour ne pas laisser la jeune génération abondante et tonique sans un coup de main. La recherche d’une conscience, en phase, équilibrée et vivace mettait la Vrama, active et accessible pour transmettre les valeurs, s’essorant avec le temps, de Vlotrios, en mouvance perpétuelle.