Les vases communiquent des obligations, entre désarrois et richesses, de Vitouriop à Théopharne

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Et, pour Vitouriop, ce n’était ni la fin ni le début, mais, invertissant ses actions aux souvenirs des paroles de Nestiriote, il se trouvait au point culminant de son désir, imaginé par sa protection assurée à l’encontre de Théopharne. Pourrait-il un jour se faire pénitence du puissant traumatisme qu’il a fait enduré à son fils de son manque évocateur de transmissions de valeurs ? Fort peu enclin à des relations amicales spontanées, tourbillon de sa maladie de désespoir, il soumettait sa sainte croix de victime à son tableau de chasse, vase empli des pleurs de ce dernier

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Personne n’admirait mieux que Vitouriop les efforts déployés pour vaincre la boisson sucrée. La douleur, la souffrance, abreuvait le produit, étincelante pour les pupilles.

Son fils, à l’allure tragique, avait été, volontairement, choisi pour se voir infliger toute la virulence addictive de la Cervusé. Vitouriop se demandait comment il avait su dire oui à Nestiriote, le fonctionnaire de la Vroiens. Cet évènement mettrait en avant, du pied à la tête, les ressources de Théopharne, jusqu’à frapper la surface de ces valeurs de son moral, son énergie et sa divine parole.

« Pour retrouver son fervent activisme », lui avait on fait remarquer à la Vroiens, « pour son bien », encore fallait-il que Vitouriop entendît, attentivement, le murmure de sa légère voix au milieu de ses milliards de pensées.

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Le désir, vraisemblable à de l'amour, ce désir envers son fils Théopharne, un attrait émotif paternel semblable à une affection hors du commun, menait, prenait la direction de , poussait Vitouriop dans le bas du bas de l’angoisse. Son mécontentement saupoudrait d'une ligne-frontière ses pensées flatteuses envers son fils. Ce père, philosophe pour le bien de son fils, devait forcer à faire scintiller un changement dans l’esprit conciliant de Théopharne, mettant l'accent, sur une interrogation de tant de promesses. Une différence de ton ciblé sur les gestes et brèches d'une expérience unique, sur deux idées primordiales et contraires prenait la forme d’une sélection pour Théopharne. Explicitement, à ce stade, Vitouriop avait pris ses pincettes pour faire la distinction entre ces deux images-là. Forcément poussées vers l'une ou l'autre extrême, il était question, d'une part, de remplir sa vie, béate et épanouie et, d'autre part, être plus passive, d'une déchéance, subite, d'une vie à trépas, sans retour.

Le visage visible du jeune adulte, dans le vague de son « que dois-je faire ? » et de ses supposés pleurs de défaillance mis comme des boulets depuis des années, se devait un réveil. Mais, face à un bilan singulier de son bonheur, ses fondations personnelles devaient faire envoler son aura apte à stimuler la confiance en lui et un regard plein de malice. Son jeune esprit, dans la solvabilité de ces propres interrogations ou enregistrées, puisait un réservoir puissant de normes comportementales autorisés. Au cœur de lui-même, les valeurs y compris celles de son enfance avaient à être mises à neuf.

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Bien peu habile aux pensées miroirs, très peu à vrai dire, le jeune homme mettait dans sa besace cette envie peu normative de boire le calice jusqu’à la lie.

Peu importe, si l’environnement lui était défavorable, il devait dire oui à la tentation du breuvage sucré de la dépendance. La Cervusé était oh combien une attirance d’une conscience peu habile, pour ce qui était bon pour le corps. Elle se dénuait par ces regards doux, douloureuse de renonciation.

Plongé dans ces pensées encombrantes sur sa maturité, Théopharne avançait par des pas sensiblement courageux face à sa conscience remplissant son bon fonctionnement, estimant vouloir améliorer un « je » robuste et libre.

Comme si de piquantes épines de cactus lui flambaient le derrière, Théopharne devait manier ses intentions, prudent et sous le commandement d’une pensée libre

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Comment Théopharne, commandant auto-régisseur de ses pensées, ferait apparaître un confortable et stimulant cousin à sa vie si ce n’est par une machination toute soignée de ces constats finement choisis ? Sa minceur miroir (son manque de philosophie) était l’effet que son corps et esprit (agissements et comportements) était sous la maison tutélaire de ses parents.

A fortiori, pour avoir cette collision avec sa véritable vocation, la Cervusé, tue-mauvaise conscience, était une source somptueuse d’un état meilleur, de son esprit.

Encore quelques jours, et, cette boisson lui donnerait une phase rosée. Il apparaîtrait, tel un éclair sous un ciel lumineux, ces éléments, en sommeil de sa conscience. La volonté d’un jeune homme esseulé avait la Cervusé comme seul outil de communiquer, un futur brouillé, une vue au-delà du seul visible. Pour réaliser une telle entreprise, il devra mettre les mains dans le cambouis de ces désirs.

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