Chapitre 3
J'étais nu maintenant, et même si je n'avais jamais rien éprouvé pour une femme, j'avais une légère érection. Je me glissai donc dans ce bain qui m'attendait.
- Voulez-vous que j'y ajoute des sels ou des huiles de bain ou simplement un peu de bain moussant.
- Non, ce sera parfait, ma chère Judy.
- Vous êtes un homme intelligent, vous avez tout de suite compris ce que j'attendais de vous. Laissez-moi vous frotter le dos pour commencer.
Elle prit un gant, sur lequel elle déposa un savon, qu'elle frotta énergiquement. Une fois plein de mousse elle commença à m'astiquer le dos. Doucement au début, puis plus énergiquement par la suite. Elle prit mes pieds, l'un après l'autre et les savonna délicatement.
- Vos pieds auraient besoin d'être manucuré. Accepteriez vous que je m'en occupe.
- Vous seriez bien aimable.
Un par un, elle s'occupa délicatement de mes orteils et prit même le temps de les hydrater soigneusement.
- Pourriez vous, vous mettre debout, maintenant, si vous le voulez bien.
J'obéis le plus simplement du monde. Elle continua son nettoyage, les jambes pour commencer, en remontant petit à petit vers ma queue qui commençait à réagir.
Mais que t'arrive t'il ??? Une femme Vraiment, tu n'as pas honte.
Parfois, je parlais mentalement à mon manche, n'ayant que peu d'occasion de parler à d'autres personnes.
Une fois arrivée à mes couilles, elle glissa de nouveau le savon, qui roulait contre ma peau. Ça forme douce et ovale, comme un jouet érotique, acheté dans le commerce, était délicieuse. Elle s'occupait maintenant de ma verge, qui était devenue vraiment dure à force d'être astiquée de la sorte.
- Victor, faire bander un homo... J'adore. C'est tellement valorisant pour une femme.
- Ravi de vous rendre ce service, Judy.
- Oh, dis-je, dans un petit cri aigu de surprise.
- Appréciez-vous ce savon qui glisse sur votre anus.
- Divin, absolument divin.
- Victor, je sens qu'il se détend et j'aimerais vous glisser un doigt... dans... dans le cul.
Elle venait de finir cette phrase à toute vitesse et d'une toute petite voix, comme si elle se trouvait ridicule.
- J'aimerais que vous glissiez un doigt dans mon cul, Judy.
Il était là, ce doigt plein de savon en train de glisser en moi et je sentais que cette femme avait la capacité de me faire jouir si elle le désirait.
- Oh Victor, vous êtes et vous serez mon meilleur souvenir de St Sylvestre, à n'en pas douter. Je l'ai tout de suite vu. Je l'ai tout de suite vu.
Elle répétait cette phrase comme le va-et-vient d'un coït. Même ces mots me pénétraient.
- Maintenant, je vais vous rincer. dites moi si l'eau n'est pas trop froide.
- Parfaite !
- Voudriez vous m'accorder, au moins, maintenant qu'elle est toute propre, de la mettre dans ma bouche.
- D'accord, mais juste un peu, car vous l'avez bien mérité.
D'un coup, elle goba ma queue et gémissait du bonheur de sucer un homo. Etait-ce sa première fois ? En tout qu'à ce n'était pas la première bite qu'elle suçait. Elle était douée.
- Je ne voudrais pas abuser ou vous faire jouir mon ami. Vous pouvez sortir maintenant que je vous essuie et que je vous coupe les cheveux, si vous le voulez bien.
- Judy, vous êtes une femme formidable et vous serez aussi mon meilleur souvenir de St Sylvestre.
Elle me frottait énergiquement tout le corps, avec une serviette gigantesque, qui aurait pu me servir de couverture.
Elle sortit une chaise et me fit asseoir. Avec habileté, elle me coupa les cheveux aux ciseaux et au peigne. Aucune vibration désagréable de tondeuse ne vint déranger ce moment divin. Puis pour finir elle me tendit un miroir.
- Magnifique ma chère.
- Vous trouverez sur le meuble, derrière vous, des vêtements. J'ai choisi deux tailles, dans le doute, mais en général, je ne me trompe pas. Donc commencez par celui de droite, il devrait être parfait.
Effectivement, ces vêtements étaient faits pour moi. Je me sentais un nouvel homme, le temps d'un soir, j'oubliais ce que j'étais devenu et j'étais beau.
- Nous pouvons donc maintenant passer à table, Victor.
- Je vous suis Judy.
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