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Tu bois du café et tu pisses. Tu regardes ta verge et tu soupires. Billie… Connasse.
Tu appelles le chat, il ne vient pas, tu secoues le paquet de croquettes, il arrive en galopant. Tu as envie de lui tirer un coup de pied en plein ventre. Tu l’attrapes et tu le caresses. Il ronronne, tu le déposes doucement par terre et verse des croquettes dans son écuelle jaune toute collante.
Tu vas jusqu’à la boîte aux lettres où t’attend le journal, c’est ta sœur qui t’a offert un abonnement de trois mois. Tu lis la nécrologie comme ta grand-mère le faisait, « pour vérifier si elle n’était pas morte » qu’elle disait.
Tu aimais bien quand Billie te chevauchait. Tu lui demandais de se mettre accroupie au-dessus de toi, les jambes pliées au maximum, les talons contre de tes hanches. Elle montait et redescendait. Tu sentais son vagin bien serré, bien chaud, si doux, emballer ta queue, si dure. Tu attrapais ses seins, un dans chaque paume. Tu la fixais dans les yeux et tu tendais ton bassin vers le haut. Quand elle commençait à fatiguer, tu glissais tes mains sous ses fesses et tu l’aidais à se soulever encore un peu. La position t’excitait, mais la fatiguait.
Alors tu la retournais et tu…
Tu as renversé du café sur le journal. Tu regardes la forme de ta verge qui s’est dressée sous ton pyjama. Tu soulèves l’élastique et pose ta main dessus. Tu commences à te branler doucement. Mais ta queue ramollit, cela t’ennuie.
Tu vas chier.
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