LA RENCONTRE

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"C'est ma nièce, Lulama," répondit ma tante.

La femme fronça les sourcils. "Nous n'avons pas été informés de votre arrivée". Qui vous a permis d'emmener une inconnue ici ? Demanda-t-elle sèchement.

Ma tante parut un peu gênée. "Eh bien, j'ai pensé que cela pourrait être bénéfique pour elle de venir ici". "Nous sommes de la même famille, après tout," répondit-elle.

"De la même famille apres tout" vue ma posture je ne vais pas sourciller face à cette remarque par contre elle va devoir m'expliquer ca aussi.

La femme croisa les bras. "Je suis désolée, mais ce n'est pas possible". Nous avons des procédures à suivre, et les visiteurs ne sont pas autorisés et surtout pas dans cette tenue, où est passée votre décence madame Clark. Je vais devoir appeler la direction pour vérifier votre identité "Aboya-t-elle dans ma direction".

Si j'étais venue cambrioler cette tour remplie de verre ça se serait su ai-je envie de lui envoyer, mais la petite personne que je suis va se contenter de la regarder. Je laisse tout dans les bras de ma tante, après tout c'est elle qui est venue me tirer de ma petite vie tranquille.

Je me sentais très mal à l'aise alors que ma tante tentait d'expliquer la raison de ma présence dans la tour.

Pour une raison quelconque elle prit la femme de la sécurité à part et l'amena assez loin de moi, seul le brut de leur chaussure montée sur 2 étages résonnait derrière elles.

Pathétique et vulnérable cette sensation n’était pas en ma faveur, moi, Lulama me retrouver coincée dans ce bourbier incompréhensible.

En jetant des coups d'œil furtifs autour de moi une seule solution s'offrait à moi.

En prenant bien garde a ne pas faire de bruit je decide de rebrousser chemin et de reprendre "l'ascenseur" cet objet était incroyable ont peux aller d'un endroit a un autre sans marcher, maman aurait été très surprise de voir ca.

Le cœur battant, espérant que personne ne me verrait. J'ai appuyé frénétiquement sur le bouton d'appel et j'ai senti un immense soulagement lorsque les portes se sont ouvertes juste à temps.

Je me suis introduit à l'intérieur de celui-ci et ai appuyé sur le bouton pour le dernier étage.

Pour je ne sais quelle raison un bruit assourdissant se fit entendre et plus rien.

J'ai réappuyé sur un des boutons mais je ne sentais plus aucun mouvement, au nom de Zeus.

Que ce passait-t-il, j'avais comme l'impression que la poisse me poursuivait.

Je me suis retrouvée coincée dans l'ascenseur, mon cœur battait la chamade alors que l'espace se rétrécissait de plus en plus autour de moi. J'ai appuyé sur tous les boutons pour essayer de faire fonctionner l'appareil, mais rien ne se passait. J'étais piégée.

Soudain, la porte s'est ouverte et un homme est entré dans l'ascenseur. Il était grand, musclé, avec des cheveux noirs et des yeux couleur noisettes qui semblaient me déshabiller du regard.

Pour le coup il n’y avait pas grand chose à déshabiller, je n'étais vêtue que de ma robe bleue, mes pieds nus à même sol.

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