A la base, nous devions tous être dans le même bateau, sauf qu’il y a plusieurs problèmes, ils peuvent perdre leurs bourses et donc se faire viré, et ils ne sentent pas le parfum, il y a que moi qui le sens.

Le plan est simple, je vais voir le prof est, je me débrouille pour qu’il me parle pourquoi il sent l’odeur qui me fait tourner la tête depuis maintenant des mois.

Nous avons laissé passer les partiels, puis la semaine suivante, la fac été pratiquement vide, c’est le bon moment pour passer à l’action.

Je me suis renseigné le prof est là, il prépare les cours pour l’année prochaine.

Je me suis reposé toute la journée, je suis en pleine forme, et il le faut pour mettre mon plan en action, j’espère vraiment qu’il va fonctionner, sinon, je risque beaucoup...

Mais je dois savoir...

Je me prépare tranquillement, je m’habille normalement, lorsque je rejoins l’équipe, ils sont tout en bas, ils me regardent avec le sourire.

On se fait un gros câlin, on s’embrasse puis je prends la direction de la fac, il ne faut pas que j’oublie mon sac, sinon, mon plan ne va pas fonctionner.

Je rassemble mon courage puis je fonce vers le tram, il est 15 h 55, il y a pas grand monde, en un rien de temps, je suis sur le campus, je m’arrête au terminus, en sortant, je prends le chemin du bâtiment où se trouve la salle du prof.

J’arrive devant le bâtiment, j’ouvre la porte, je prends sur la droite, pour rentrée dans les toilettes, j’ouvre la porte et entre.

Moi : il est temps de mettre le plan en action...

Je ressors quelques minutes après mon cœur comme un fou, j’ai peur, dire le contraire saurais mentir, je risque beaucoup et en même temps, j’ai besoin de réponse.

Il faut reconnaître que ça m’excite, je sors des chiottes, je me maquille, un gros rouge à lèvre bien rouge salope, je me mets en valeur, je regarde en direction de la porte pour voir si personne ne va entrer puis j’ouvre mon manteau long, je passe une chaîne autour de ma taille, elle descend jusqu’a mon vagin, elle passe entre mes fesses, puis je mets l’autre qui fait le tour de mon coup et qui descend sur ma poitrine.

Car, oui, je suis nu sous le manteau.

Je mets la capuche sur la tête, je prends mon sac et je sors, me sentir nu m’excite au plus aux des points, je suis vraiment une cochonne.

Je rejoins le hall du bâtiment, je prends le couloir puis la 5 portes.

Je suis devant son bureau, je prends une grande respiration, a cet instant-là, mes poumons sont remplis de cette odeur.

Je ne peux plus bouger, je reste là sans bouger pendant plusieurs minutes, jusqu’au moment où j’arrive à reprendre le contrôle de mon corps.

Au moment ou je toc a la porte, je me rends compte que ma chatte est tout mouille, sa coule sur mes cuisses mes seins me fond mal, j’ai envie de sexe, ici et maintenant... Je veux mon prof, oui, je suis folle, je le sais.

Pr : oui entrée

Moi (j’ouvre la porte et entre) : bonsoir professeur, je voudrais discuter avec vois, ici et maintenant.

Pr (il pose son crayon et me regarde, un frisson me parcourt le corps.) : vous êtes une mes étudiantes si je ne me trompe pas.

Moi : oui professeur.

Pr : bien, si c’est pour avoir les résultats des partiels, ils seront en ligne le 23 pas avant et le rattrapage en janvier.

Pendant qu’il parle, je m’assois sur la chaise qui est juste devant lui, je croise mes jambes.

Moi (en me mordant les lèvres) : je ne suis pas ici pour sa professeur… Tom…

Pr : professeur, je préfère.

Moi (en le coupant) : comme vous voulez professeur (je me mords la lèvre et mouille, a mord.)

Pr : qu’est ce que vous voulez ?

Moi : j’ai des questions et vous avez, je pense les réponses.

Pr : ah bon, je vous écoute, mais je n’ai pas beaucoup de temps, je vais devoir partir.

Moi : depuis plusieurs mois, je suis différente, j’ai changé, je suis plus la fille d’avant, j’ai eu le covid et en rentrant, je sens une odeur que personne d’autre ne sent, lorsque vous êtes revenu, vous aviez la même odeur... Alors, je veux comprendre... Professeur.

Il ne parle pas, il me regarde, puis.

Pr : cela est dans votre imagination mademoiselle (il se lève pour prendre la direction de la porte, je ne peux plus reculer... je me lève et ouvre le manteau, mon cœur bat tellement fort, j’ai l’impression qu’il va sortir hors de ma poitrine, il se retourne et me regarde dans les yeux.) nous en avons fini, merci.

Moi (je m’approche de lui, comme une chatte en chaleur.) : je veux simplement votre aide professeur.

Je suis à moins de deux centimètres de sa bouche, ma poitrine est écrasée contre son torse, il me fait frissonner.

Pr : vous avez deux secondes pour remettre votre manteau, ou bien vos études universitaires seront finies avant d’avoir commencé.

Moi : vous...

Pr : vous ne m’attirez pas le moindre du monde, vous me faites pitié dans cette tenue, on dirait une vieille salope qui essaie de plaire encore... Dehors, ou j’appelle la sécurité

Je suis sur le cul, il ne m’a même pas regardé, indifférence complète, il m’a ignoré.

Je rentre a la maison sans même me changer...

À suivre.