Partie 8 : "Je... suis"
« Alors qu’il allait sur le chemin
Là
Notre héros vit deux êtres dans le besoin
Bas
Il s’approche d’eux et demanda :
« - Que vous est-il arrivé ? »
Plus-tôt
Eux étaient couché et ne pouvaient plus parler
Défaut
Alors l’enfant leur fit boire de l’eau
Et il pansa les plaies
Abîmées
Il cousu et répara les corps épais
Bandé
Et l’un d’eux évoqua le brigand armé
« - Il est enragé comme un loup »
Goinfre
« Fort comme un ours »
Pingre
« Nul n’a pu le vaincre »
L’âme courageuse l’enflamme
Prêt
Après les avoir accompagnés, il partit en campagne
Frais
Jusqu’à l’orée d’une forêt
« - Nul passe qui ne trépasse »
Suivre
Entend-il sortir de cette impasse
Givre
« Tu es bien jeune, ne veux-tu pas vivre ? »
« - J’ai vécu plus que tu ne l’imagines »
Encore
« Et je viens t’ôter ici toutes racines »
Confort
« Car tu n’es pas le plus fort »
« - Mon imagination à ses limites »
Oui
« Mais ta raison se délite »
Suivi
« Et la mort ton ennemie »
A ces mots le géant se découvre
Arrive
Avec lui la forêt s’ouvre
Massive
Et loup et ours suivent
Dès lors le visage de l’enfant se fige
Mauvaise
Le regard sur l’ours l’afflige
Balaise
Ce dernier montre un malaise
Puis il passe au loup
Fadé
Il grogne et son visage secoue
Sondé
A l’intérieur le loup est commandé
Puis un signe des yeux suffit
Prévu
Les deux animaux sautent sur l’ancien ami
Confus
Le géant brigand dépourvu
« - Mais ! Qui es-tu ? »
Viarge
Demanda-t-il, perdu
Larve
A notre héros devant le frais cadavre
Celui-ci alors condamne
Insane
Fermant pour l’éternité l’organe
Profane
« - Je… suis Harlan Martan »
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