Kaléid-no-scope
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J'aime le vert d'ambre de tes yeux,
Le brun qui teint tes vêtements
Et l'or jaillissant de ton cœur.
Découvrant ta palette,
Je saisis les pinceaux
Pour nous peindre en mots
Des images plein la tête.
Dégradé de nuances surprenantes
Danse aquaréelle sur le décor
Ces touches d'humeur changeantes
Portent au-delà de ton corps.
Avec le vert de tes yeux,
Le brun qui teint tes vêtements
Et l'or jaillissant de ton cœur,
Tu nous illumines tous les deux,
Sublimant le noir et le blanc
Par des myriades de couleurs.
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